Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un thriller implacable que l'on suit sous tension. Avec Guillaume Canet, épatant.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Il en est un qui crève l’écran. Guillaume Canet, méconnaissable, métamorphosé, amputé de ses tics, trucs et grimaces maniéristes, enfin autorisé à ne pas se regarder jouer. À vif, sans artifice. Qui l’eût cru ?
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Poursuivi par une caméra fébrile, engagée au coeur de l'action, "Mon garçon" est un film bien écrit, imprimé sur pellicule ultrasensible et qui enfourche au fur et à mesure les codes du thriller.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Public
par Florence Roman
Si vous avez aimé "Prisoners", ce polar incroyable dans lequel Hugh Jackman cherche le ravisseur de sa fille, vous serez séduits !
Télé 2 semaines
par Emilie Meunier
Une véritable expérience au réalisme bluffant !
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Critikat.com
par Benoît Smith
"Mon garçon" ne commet aucune faute de goût dans son exécution de motifs familiers de son schéma narratif, réussit un ou deux jolis coups de tension, mais dans l'ensemble ne surprend que peu et jamais durablement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Le résultat est impeccable, sauf que l'imagination y perd ce que l'ambiance y gagne. Autrement dit, les ressorts de l'histoire ne sont jamais étonnants. Le souci de réalisme, interdisant toute embardée spectaculaire, provoque même un sentiment de frustration.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Jérôme Garcin
Laissons de côté le polar, il n'est pas très original. C'est la manière brouillonne, imprévisible, physique, exaltée dont Guillaume Canet s'en empare, lui-même traqué par la caméra portée de Christian Carion, qui fait l'intérêt de ce film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet douloureusement d’actualité, un film conçu comme une véritable expérience de tournage en s’affranchissant des contraintes d’un scénario préétabli, mais dont la liberté narrative en vient à se mouler dans les formes un peu convenues du film de genre.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un thriller râpeux où le comédien, transfiguré, infuse une tension, une souffrance et une colère jamais sur-jouées.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Christian Carion imagine un polar conceptuel en faisant tourner son acteur sans connaissance du scénario. Un climat de mystère parvient à s’installer, mais sans déboucher finalement sur grand-chose.
Positif
par Philippe Rouyer
Sur toute la première moitié qui fait largement appel à des ressorts psychologiques, le dispositif fonctionne très bien. (...) La seconde moitié, qui se rattache directement au film de genre, avec découverte et poursuite d'un gang de ravisseurs, est moins convaincante.
Première
par Christophe Narbonne
(...) une traque obsessionnelle filmée caméra à l’épaule dans une zone montagneuse dont le caractère menaçant est parfaitement exploité par Carion et son chef op’. Leur travail sur l’espace et le hors-champ culmine dans un dernier acte éprouvant pour les nerfs. Mission accomplie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
C'est la noirceur perturbante que l'on retient d'un revenche movie d'autant plus recommandable qu'il s'affranchit de toute morale douteuse inhérente au genre.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si le concept, audacieux, nous prive d'un scénario fouillé, ce thriller d'une rare intensité distille ce qu'il faut de suspense et d'angoisse ! N'est-ce pas ce que l'on attend d'un bon polar ?
Voici
par Lola Sciamma
Canet s'est jeté corps et âme dans ce thriller, tourné en six jours, sans lire le scénario pour tout découvrir en même temps que son personnage. Pari réussi.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Si l’on salue bien volontiers la grande qualité de l’interprétation de ce cinquième long-métrage de ce fils d’agriculteurs, on se surprend à regretter l’authenticité de ses précédentes fresques rurales ou historiques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Présenté au 10e Festival du film francophone d'Angoulême fin août, ce thriller n'a pas laissé un souvenir impérissable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
Si Guillaume Cent semble se prendre allègrement au jeu, n’est pas Hong Sangsoo qui veut : l’improvisation est une chimie du hasard et de l’instant dont on doit embrasser les déraillements, pas un palliatif à un schéma narratif trop calibrée.
Paris Match
par Yannick Vely
Dommage que le scénario ne tienne pas toutes les promesses de sa première partie, laissant beaucoup trop de zones d'ombre et de questions sans réponse. C'est certainement volontaire mais cela témoigne aussi d'une facilité d'écriture, laissant tout le poids émotionnel du polar sur les épaules de son héros.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
La tension du début se relâche à mesure que le récit louvoie entre fausses pistes et scènes gratuites, cherchant à progresser dans la sécheresse du registre mais faisant trop de concessions au genre et ôtant toute intériorité au parcours.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Canet est parfait, d’abord dans l’emploi du père désemparé, puis dans celui du justicier prêt à toutes les brutalités façon Charles Bronson. Mais le réalisateur Christian Carion l’entoure d’une mise en scène naturaliste, ultra sèche, censée éviter toute complaisance : malheureusement ce n’est pas tout à fait le cas…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
Lançant son protagoniste (Guillaume Canet) sur les routes des Alpes à la recherche des ravisseurs de son fils, le film, passé un moment d’incertitude, aligne les clichés afférents à la figure du père de famille vengeur, sans que jamais les conditions de tournage apportent autre chose qu’une exaspérante approximation.
Femme Actuelle
Un thriller implacable que l'on suit sous tension. Avec Guillaume Canet, épatant.
La Voix du Nord
Il en est un qui crève l’écran. Guillaume Canet, méconnaissable, métamorphosé, amputé de ses tics, trucs et grimaces maniéristes, enfin autorisé à ne pas se regarder jouer. À vif, sans artifice. Qui l’eût cru ?
Le Parisien
Poursuivi par une caméra fébrile, engagée au coeur de l'action, "Mon garçon" est un film bien écrit, imprimé sur pellicule ultrasensible et qui enfourche au fur et à mesure les codes du thriller.
Public
Si vous avez aimé "Prisoners", ce polar incroyable dans lequel Hugh Jackman cherche le ravisseur de sa fille, vous serez séduits !
Télé 2 semaines
Une véritable expérience au réalisme bluffant !
Critikat.com
"Mon garçon" ne commet aucune faute de goût dans son exécution de motifs familiers de son schéma narratif, réussit un ou deux jolis coups de tension, mais dans l'ensemble ne surprend que peu et jamais durablement.
L'Express
Le résultat est impeccable, sauf que l'imagination y perd ce que l'ambiance y gagne. Autrement dit, les ressorts de l'histoire ne sont jamais étonnants. Le souci de réalisme, interdisant toute embardée spectaculaire, provoque même un sentiment de frustration.
L'Obs
Laissons de côté le polar, il n'est pas très original. C'est la manière brouillonne, imprévisible, physique, exaltée dont Guillaume Canet s'en empare, lui-même traqué par la caméra portée de Christian Carion, qui fait l'intérêt de ce film.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet douloureusement d’actualité, un film conçu comme une véritable expérience de tournage en s’affranchissant des contraintes d’un scénario préétabli, mais dont la liberté narrative en vient à se mouler dans les formes un peu convenues du film de genre.
Le Journal du Dimanche
Un thriller râpeux où le comédien, transfiguré, infuse une tension, une souffrance et une colère jamais sur-jouées.
Les Fiches du Cinéma
Christian Carion imagine un polar conceptuel en faisant tourner son acteur sans connaissance du scénario. Un climat de mystère parvient à s’installer, mais sans déboucher finalement sur grand-chose.
Positif
Sur toute la première moitié qui fait largement appel à des ressorts psychologiques, le dispositif fonctionne très bien. (...) La seconde moitié, qui se rattache directement au film de genre, avec découverte et poursuite d'un gang de ravisseurs, est moins convaincante.
Première
(...) une traque obsessionnelle filmée caméra à l’épaule dans une zone montagneuse dont le caractère menaçant est parfaitement exploité par Carion et son chef op’. Leur travail sur l’espace et le hors-champ culmine dans un dernier acte éprouvant pour les nerfs. Mission accomplie.
Studio Ciné Live
C'est la noirceur perturbante que l'on retient d'un revenche movie d'autant plus recommandable qu'il s'affranchit de toute morale douteuse inhérente au genre.
Télé 7 Jours
Si le concept, audacieux, nous prive d'un scénario fouillé, ce thriller d'une rare intensité distille ce qu'il faut de suspense et d'angoisse ! N'est-ce pas ce que l'on attend d'un bon polar ?
Voici
Canet s'est jeté corps et âme dans ce thriller, tourné en six jours, sans lire le scénario pour tout découvrir en même temps que son personnage. Pari réussi.
aVoir-aLire.com
Si l’on salue bien volontiers la grande qualité de l’interprétation de ce cinquième long-métrage de ce fils d’agriculteurs, on se surprend à regretter l’authenticité de ses précédentes fresques rurales ou historiques.
Le Figaro
Présenté au 10e Festival du film francophone d'Angoulême fin août, ce thriller n'a pas laissé un souvenir impérissable.
Les Inrockuptibles
Si Guillaume Cent semble se prendre allègrement au jeu, n’est pas Hong Sangsoo qui veut : l’improvisation est une chimie du hasard et de l’instant dont on doit embrasser les déraillements, pas un palliatif à un schéma narratif trop calibrée.
Paris Match
Dommage que le scénario ne tienne pas toutes les promesses de sa première partie, laissant beaucoup trop de zones d'ombre et de questions sans réponse. C'est certainement volontaire mais cela témoigne aussi d'une facilité d'écriture, laissant tout le poids émotionnel du polar sur les épaules de son héros.
Sud Ouest
La tension du début se relâche à mesure que le récit louvoie entre fausses pistes et scènes gratuites, cherchant à progresser dans la sécheresse du registre mais faisant trop de concessions au genre et ôtant toute intériorité au parcours.
Télérama
Canet est parfait, d’abord dans l’emploi du père désemparé, puis dans celui du justicier prêt à toutes les brutalités façon Charles Bronson. Mais le réalisateur Christian Carion l’entoure d’une mise en scène naturaliste, ultra sèche, censée éviter toute complaisance : malheureusement ce n’est pas tout à fait le cas…
Le Monde
Lançant son protagoniste (Guillaume Canet) sur les routes des Alpes à la recherche des ravisseurs de son fils, le film, passé un moment d’incertitude, aligne les clichés afférents à la figure du père de famille vengeur, sans que jamais les conditions de tournage apportent autre chose qu’une exaspérante approximation.