Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Emile Breton
C’est une histoire simple, et c’est un film savant. D’où sa richesse, le plaisir qui ne s’épuise pas avec la première vision.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Rarement film aura à ce point montré qu'il n'est affaire que de tricoter quelques fils de réalité, dresser quelques ponts pour l'imagination, à partir d'un point qu'on pourrait simplement nommer le désir (de filmer).
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Son ampleur sous-jacente en fait ainsi une véritable Arche de Noé, tant par la diversité de ses protagonistes (un sanglier, des singes, des chats), que ce qu'il raconte des désirs ensevelis.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Tout cela compose une magnifique et mélancolique mélopée cinématographique où, comme chez Alain Cavalier ou Vincent Dieutre, les sentiments les plus personnels touchent à l'universel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Va, Toto ! ne saurait conclure, mais nous associe à cette rêverie réciproque, comme pour nous rappeler le lien charnel et désirant qui nous unit à l’ensemble du vivant. Un vivant dont chacun de nous n’est jamais, en définitive, que l’une des nombreuses zones érogènes
Libération
par Luc Chessel
Le très beau film de Pierre Creton suit avec finesse une farandole de personnages passant d’une histoire à l’autre, dans un va-et-vient entre territoires réels et divagués.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
(...) un sens indéniable de la composition poétique, ainsi qu'un hermétisme parfois décourageant. Mais reste assurément, une fois l'écran rendu à sa blancheur, la trace d'un geste unique de cinéma, radical et fragile à la fois.
Télérama
par Jacques Morice
Le réalisateur filme au jour le jour ce qui l’environne, le touche, l’angoisse, transformant toutes ces notations en éclats poétiques. On est à la fois dans le journal intime et la chronique de village fantaisiste, dans le quotidien familier et l’onirisme. Certaines séquences tiennent du petit miracle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un poil apprêté et énigmatique, mais fort de son regard aimant et de son dispositif ingénieux où l’image et le son jouent à cache-cache, le film se savoure à la façon d’une promenade bucolique inspirée et inspirante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Studio Ciné Live
par Antoine Le Fur
(...) trois histoires d'un ennui rare, malgré les caméos amusants de quelques acteurs.
L'Humanité
C’est une histoire simple, et c’est un film savant. D’où sa richesse, le plaisir qui ne s’épuise pas avec la première vision.
Cahiers du Cinéma
Rarement film aura à ce point montré qu'il n'est affaire que de tricoter quelques fils de réalité, dresser quelques ponts pour l'imagination, à partir d'un point qu'on pourrait simplement nommer le désir (de filmer).
Critikat.com
Son ampleur sous-jacente en fait ainsi une véritable Arche de Noé, tant par la diversité de ses protagonistes (un sanglier, des singes, des chats), que ce qu'il raconte des désirs ensevelis.
L'Obs
Tout cela compose une magnifique et mélancolique mélopée cinématographique où, comme chez Alain Cavalier ou Vincent Dieutre, les sentiments les plus personnels touchent à l'universel.
Le Monde
Va, Toto ! ne saurait conclure, mais nous associe à cette rêverie réciproque, comme pour nous rappeler le lien charnel et désirant qui nous unit à l’ensemble du vivant. Un vivant dont chacun de nous n’est jamais, en définitive, que l’une des nombreuses zones érogènes
Libération
Le très beau film de Pierre Creton suit avec finesse une farandole de personnages passant d’une histoire à l’autre, dans un va-et-vient entre territoires réels et divagués.
Positif
(...) un sens indéniable de la composition poétique, ainsi qu'un hermétisme parfois décourageant. Mais reste assurément, une fois l'écran rendu à sa blancheur, la trace d'un geste unique de cinéma, radical et fragile à la fois.
Télérama
Le réalisateur filme au jour le jour ce qui l’environne, le touche, l’angoisse, transformant toutes ces notations en éclats poétiques. On est à la fois dans le journal intime et la chronique de village fantaisiste, dans le quotidien familier et l’onirisme. Certaines séquences tiennent du petit miracle.
Le Journal du Dimanche
Un poil apprêté et énigmatique, mais fort de son regard aimant et de son dispositif ingénieux où l’image et le son jouent à cache-cache, le film se savoure à la façon d’une promenade bucolique inspirée et inspirante.
Studio Ciné Live
(...) trois histoires d'un ennui rare, malgré les caméos amusants de quelques acteurs.