Avis : Free Guy - Page 9

Un film de plus complètement inintéressant de par son contenu. C'est dommage ! Le plus dommage étant le message véhiculé qu'une IA peut en fait être cool. Un message que j'éviterais particulièrement de montrer aux plus jeunes.
Pour le reste, c'est et ça reste du film "full effects". Script vide de mots et scénario vu et revu. Du film pour enfants de 8 ans, voire moins. C'est dommage...

Je n'ai marre de voir des blockbusters et des films qui sont ou/et déjà formatés et ce free guy n'échappe pas la règle et du pur marketing et en plus que Disney a tout racheté.
Le réalisateur de la trilogie "La nuit au musée" veut donner hommage aux jeux-vidéos comme ready player one, tron, etc..., mais malheureusement que la sauce ne prend pas.
Le film est vraiment lent de A à Z et il ne se passe rien de tout et l'humour est lourd et pas drôle, Taiki Waititi cabotine pas possible.
spoiler: Le gamer boutonneux dans la vingtaine qui vit encore avec sa mère.
spoiler: Quand Guy utilise la paire de lunettes qui a plein d'items, le bouclier de captain america pour se défendre et le coup de poing de Hulk pour frapper contre le méchant que je trouve vraiment stupide.

La fin du film enchaine clichés sur clichés qui sont insupportables et on n'est vraiment dans le woke total.
Vous voulez voir un vrai film sur les jeux-vidéos, vous regardez plutôt Tron de Steven Lisberger et Jumanji avec Robin Williams.
Vous n'oserez pas me dire que ce produit marketing et formaté est meilleur que Tron de Lisberger et Jumanji avec Robin Williams, je ne comprend pas et on vit dans quel époque.

Pas de suspens, histoire décousue. Le plus difficile pour moi à été de regarder tout le film.. L’humour est également à revoir. Peut-être faut-il être un vrai geeks pour apprécier.

Énorme déception.

Le postulat du film était intéressant : Un PNJ qui prend conscience de lui même

Énorme potentiel.

Cependant il y a des propos woke/raciste dans le film complètement hors sujet : patriarcat, privilége blanc, neo-féminisme et la Triade de la stupidité contemporaine.

Qu'est ce que ça fout là s'il vous plaît ?

Pourquoi mettre de l'idéologie politique dans un film de ce genre ?

C'est absolument honteux.

Ça m'a complètement sorti du film.

PNJ lives matter! "Free Guy" est un peu une version 2.0 du "Truman Show" à la sauce "Ready Player One" avec Guy qui découvre un jour qu'il n'est qu'un personnage secondaire dans un jeu vidéo. Alors que son existence est futile, il décide de prendre sa vie en main et de vivre comme il l'entend et non pas comme les programmeurs l'ont décidé. Sa vie se déroule dans un univers ultra violent, ce qui n'entache pas sa bonne humeur. Il est heureux d'aller tous les jours au travail même s'il se fait braquer ou tuer plusieurs fois par jour par les joueurs. L'univers ressemble à un mélange de "Fortnite" sans le côté battle royal et de "GTA" pour la liberté et la violence des joueurs. Un univers riche et plein de références (la dernière partie est géniale pour ça que l'on prend plaisir à découvrir avec Guy et sa nouvelle amie. Shawn Levy nous propose autant une expérience cinématographique que vidéoludique. On retrouve tous les codes d'un jeu vidéo, ce qui rend l'expérience aussi immersive que plaisante. Si le sujet de base et les thèmes abordés méritaient un développement plus approfondi, on vient surtout pour se divertir et c'est chose faite avec une histoire sympathique, un univers génial, d'excellents effets spéciaux et des personnages attachants. "Free Guy" est un film divertissant qui fait passer un bon moment.

Si vous êtes geek, que les séries "Westworld" et "Upload" vous font kiffer et que vous avez apprécié "Ready Player One", "Truman Show" ou encore les récents "Jumanji", alors "Free Guy" saura amplement vous divertir ! Cette grosse production hollywoodienne, rembourrée d'influences et d'easter egg, se présente comme une comédie délirante et bien agencée, non-dépourvue d'une belle réflexion sur notre quotidien ultra connecté. "Free Guy" présente le personnage d'un employé de banque naïf et optimiste qui enchaine des journées identiques dans une ville assaillie par la criminalité. Progressivement, on constate qu'il ne s'agit en fait que d'un PNJ (personnage non-joueur) d'un jeu vidéo en ligne très à la mode et, au grand détriment des concepteurs, il va tout mettre en oeuvre pour se démarquer du décor auquel il est assigné et devenir le héros de ce monde virtuel... Particulièrement ludique, fun et rythmée en scènes d'action, cette production Disney alterne habilement les scènes de ce jeu vidéo où tout est permis et celles ancrées dans notre réalité. Le thème de la place de la technologie dans notre vie s'avère vraiment intéressant, que ce soit pour questionner notre propre humanité, nos interactions sociales et notre besoin de se "défouler" ou pour montrer la possibilité d'évolution et de rébellion de la part des intelligences artificielles. Sous une déferlante d'effets spéciaux et de clins d'oeil qui mettent en émoi les cinéphiles et les gamers, "Free Guy" questionne également ce qui fait le succès d'un jeu en mettant en parallèle la part de créativité ainsi que la solitude des concepteurs face l'attitude égoïste et avide d'argent des patrons de cette industrie en pleine expansion... Même si le ton reste essentiellement comique (avec une touche de romantisme !), le traitement de ces sujets fait gagner "Free Guy" en profondeur et en intérêt ! L'autre atout, c'est sans nul doute Ryan Reynolds et Jodie Comer (qui joue un double rôle de façon épatante !), au meilleur de leur forme, qui mènent ces situations savoureuses et ces gags bien amenés grâce à une alchimie explosive et communicative. Lil Rey Howery et Joe Keery font également plaisir à voir, sans compter les caméos ou petits rôles furtifs qui prêtent au rire... Seule la performance de Taika Waititi dans le rôle du big boss m'a déçu (ça cabotine à max !). Mais le réalisateur québécois Shawn Levy dresse ici une vision pertinente du jeu vidéo faisant de "Free Guy" un rival de première ligne pour les films de cet acabit.

Une comédie d'action efficace avec une bonne dose de second degré et une réflexion sur la place des jeux vidéos, la violence dans la société... Ryan Reynolds y est complètement dans son élément !

Scenario évidemment incohérent et donc postulat de départ dur a accepter. Mais malgres tout , un peu d'humour et de bons effets spéciaux font bien passer la pilule.

Une géniale petite idée pour un métrage délirant et surtout abouti. Ryan Reynolds y est excellent et on prend véritablement plaisir à suivre ses aventures bourrées de clins d'œil et d'humour. Avec une réalisation au poil Shawn Levy marque les esprits et propose mine de rien une réflexion somme toute intéressante sur l'univers des jeux vidéos en quasi réalité virtuelle. Perso ça m'a beaucoup amusé, j'ai trouvé les personnages hyper attachants et l'affrontement final blindé de références (et même d'un cameo) m'a régalé. Un vrai bon trip.

En tant que gamer, on a toujours très peur des films de ce genre, trop peur qu’ils fassent quelques choses de faux, ou de la critique ou je ne sais quoi. Ici, un PNJ (ou NPC en anglais) rêve de changement contrairement à ses amis qui font toujours la même chose tout le temps. D’ailleurs, s’il sort du cadre, ces derniers sont choqués et il comprend tout de suite qu’il faut qu’il ne bouge pas trop pour le moment mais il est attiré vers une fille qu’il croise dans le jeu. Qui est-elle ? Que fait-elle ? Lui qui cherche et espère l’amour il ne peut pas résister et l’approche. C’est ainsi que les choses changent lorsqu’il attrape des lunettes et voit des choses qu’il ne voyait pas avant. Il se retrouve alors projeter dans le jeu auquel il appartient. En fait, le jeu n’était pas censé être comme cela à l’origine et c’est ce que sa créatrice essaye de prouver et grâce à Guy elle va pouvoir le faire. Ca part vraiment dans n’importe quoi par moment et c’est plutôt bien réussi. Je n’ai pas aimé tout ou certains personnages mais il y a énormément de bon. Il faut alors que Guy monte en level pour réussir à arriver à celui de MolotovGirl la fille qui l’intéresse. Le truc c’est que cette dernière ressent aussi des choses pour lui mais elle ne sait pas que derrière Guy il n’y a strictement pas de joueur ! Tout est extrêmement bien travaillé, on se retrouve largement en tant que gamer. C’est un film qui ne se raconte pas, c’est un film à vivre pleinement sur grand écran et si possible en IMAX !

En résumé, Free Guy est excellent aussi bien par son scénario original, le fait que l’on retrouve clairement le monde du jeu vidéo mais en plus grâce à un très bon cast et Ryan Reynolds y est pour beaucoup. Alors même si ça part dans tous les sens sur la fin, on retrouve ce que l’on connait tous du monde du jeu vidéo, les petites subtilités que les joueurs comprendront sans aucun soucis. Mention spéciale sur le clin d’œil Disney (eh oui vu qu’ils ont racheté la Fox…), j’ai juste adoré ! Bref, une réussite ce film, drôle, divertissant, original, une petite pépite cinématographique. A voir absolument !

Un Blockbuster efficace et distrayant à défaut de voler bien haut, porté par un Ryan Reynolds plutôt convaincant.

Humour, romance et fantasy sont au menu de ce film qui se déroule en grande partie dans un monde virtuel. Une réussite dans le genre fantasy. Un scénario plutôt atypique et bien mené, les geeks/gamers devraient bien apprécier. Quelques longueurs dans la dernière partie, mais ce film reste tout de même divertissant.

Mêlant humour potache et effets spéciaux, "Free Guy" est une bonne comédie familiale d'été. On s'amuse beaucoup devant ce spectacle aussi régressif que réjouissant emmené par Ryan REYNOLDS. Une comédie d'action délirante.

Excellent..... Je n'ai pas vu passer le temps de la projection. Le spectateur est immergé dans un jeu vidéo avec tous les codes du genre. Je pense que pour apprécier pleinement le film, il faut avoir pratiqué un peu sinon risque de largage. Ryan reynolds est tres bon. Il passe également un message qui dénonce la violence dans les jeux mais il ne prend pas le pas sur l'histoire.

spoiler: Free Guy démarre comme The Lego Movie, se poursuit comme un Ready Player One rencontrant I. Robot dans GTA en mode Truman Show avant de se conclure... comme une daube.


Ryan Reynolds est l'atout numéro 1 du film, sans ses mimiques candides et ahuris j'aurai probablement débranché avant terme. La proposition de film pop corn comédie d'action tient en effet une bonne heure, le temps d'apprécier des effets spéciaux bariolés au service de scènes d'actions réjouissantes complètement barrées.

Malheureusement le n'importe nawak scénaristique fini par gâcher tout le fun entre commentaires inutiles de "stars" Twitch en face cam, découverte des gamers forcément ados, boutonneux et soulageant leur frustration sexuelle dans leur chaussettes, mort par reset de notre héro (mais en fait non), romance téléphonée, méchant aussi caricatural qu'insupportable et jargon informatique sans aucun sens finissant par une destruction de salle serveurs à coup de ache (non, elle n'était pas redondée et oui le dernier ESX suffit à tout reconstruire et non il n'y avait pas de bouton pour couper l'électricité celui-ci était probablement déjà utilisé pour que Mills puisse embrasser Free Guy).

Au final Free Guy prétend délivrer un "vibrant plaidoyer pour le libre arbitre" dans un divertissement parfaitement formaté et sans aucune cohérence, continuant ainsi comme toutes les daubes hollywoodiennes avant lui à lobotomiser les esprits qu'il prétend libérer.