Avis : Free Guy - Page 2

Un joli petit film estival qui rend hommage aux jeux vidéo et aux films Marvel + Star Wars. C'est vrai , iconoclaste car action, geek , mais aussi réflexion sur le déterminisme et le libre arbitre

Quelle déception !!!!! Alors oui R.R est super dans le rôle (les autres acteurs aussi) mais c'est tellement fait pour plaire à tout le monde.... même ma fille de 4ans peut aller le voir! Merci Disney....je pensais vraiment rire en regardant Free Guy, bah ça m'est arrivé 2fois en 2h, c'est mollasson. L'idée est pourtant très bonne.

Un "PNJ" (un personnage non-joueur) découvre sa véritable condition, celui d’un personnage de second plan au sein d’un jeu vidéo et décide de s’émanciper… Pour se démarquer des autres personnages, Guy (le "PNJ") à l’apparence extrêmement banal et d’une platitude désolante, décide de devenir le "good guy" de service (le bon gars) pour s’attirer la sympathie d’une joueuse dont il est tombé amoureux.

120 longues et éreintantes minutes durant lesquelles Ryan Reynolds nous rejoue toujours et encore la même partition depuis des années, dans un univers vidéo ludique façon Grand Theft Auto, à savoir une grande ville où les personnages sont libres de leurs mouvements, un terrain de jeu grandeur nature où meurtres, explosions et courses-poursuites (voitures, motos, tanks et même hélicoptères) sont réunis. Un bon gros bordel qui aura vite fait de nous fatiguer.

Free Guy (2021) ne tarde pas à montrer ses faiblesses, un scénario déjà maintes fois vu et revu (Invasion Los Angeles - 1988 , Les Mondes de Ralph - 2012 ou encore La Grande Aventure LEGO - 2014), porté à l’écran par un Ryan Reynolds survolté (à l’initiative du projet). Un film à son image, avec son humour potache, régressif et à la mise en scène énergique.

Produit par la 20th Century Studios (appartenant à Disney), on ne sera pas surpris d’y retrouver quelques références de la pop-culture émanant de leur catalogue (Captain America ou Star Wars). Il est d’ailleurs assez étonnant, vu l’imposant catalogue de la firme aux grandes oreilles, que le film ne soit pas plus un prétexte pour nous déverser ses références et autres marques, à l’image de Ready Player One (2018) ou plus récemment, avec Space Jam : Nouvelle Ère (2021).

Enfin, pour un film s’adressant aux gamers, il est surprenant de constater à quel point ce dernier peut être méprisant envers son public cible, en dépeignant les joueurs de jeux vidéo en débiles profonds, avec quelques caméos parfaitement inutiles de diverses stars de Twitch et autre YouTube.

Une comédie d’action formatée qui brosse dans le sens du poil les gamers, avec une intrigue prémâchée et des clins d’œil à la pop culture histoire de satisfaire son auditoire… Trop simple et trop réducteur pour convaincre.

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Un employé de banque, découvrant un jour qu’il n’est en fait qu’un personnage d’arrière-plan dans un jeu vidéo en ligne, décide de devenir le héros de sa propre histoire, quitte à la réécrire.

C'est un réalisateur touche à tout Canadien Shawn Levy ayant mis en scène de la comédie (La Nuit au musée) et de la science-fiction (Real Steel). Le scénario a été écrit par Zak Penn (Ready Player One) et Matt Lieberman.

Cela fait un moment que ce film est attendu avec son concept bien particulier de mettre en scène un PNJ. Même si je pense le résultat aurait pu être mieux, j'ai tout de même passé un véritable bon moment devant cette comédie.

Imaginer ce que donnait la vie d'un PNJ dans un jeu vidéo, il fallait oser. En effet, quoi de plus ennuyant qu'un PNJ dans un jeu. Pour ceux l'ignorant, il s'agit d'un "personnage non-joueur" soit les personnages contrôlés par l'ordinateur et ayant un script prédéfini. D'ailleurs, il est conseillé d'aimer les jeux vidéo pour regarder ce film. Je pense qu'une personne totalement extérieure à ce monde n'aura pas du tout le même plaisir.

Donc on se retrouve dans ce jeu à la mode GTA pour suivre Guy, un banquier en chemise bleue qui adore sa vie. Bien entendu, il ne se rend pas compte de sa situation. La mise en introduction est un peu fouillis mais on comprend rapidement le concept. C'est amusant de se mettre à la place d'un personnage qui habituellement n'est que le décor.

Tout va basculer quand ce dernier va vouloir enfin prendre ses propres décisions. Pendant une bonne partie du film, en terme purement technique j'étais sceptique sur les tenants du comportement de Guy. Seulement, l'explication est assez astucieuse et paraît tout à fait plausible. Sur ce point j'étais donc plutôt content car en plus, elle ouvre la porte à tout un développement scénaristique donnant un sens plus profond à la comédie.

La thématique principale va rapidement se centrer sur le libre arbitre. C'est toute la problématique autour de Guy. C'est surement pour cela qu'il est si attachant. Son existence devait être conforme à X, mais il a voulu devenir Y. L'allégorie n'est pas subtile, mais c'est assez efficace pour le domaine de la comédie.

Cependant cela ne doit pas masquer le fait qu'à côté de cela, il y a beaucoup (trop) de facilité scénaristique. Ça en devient même un peu agaçant par moments. Au vu de cette thématique plutôt bien trouvée et exploitée globalement, j'aurais aimé la trame de l'histoire soit au même niveau. Surtout que certains passages sont assez lourds dans leur traitement.

Cela ne nous empêche pas de bien rigoler. Le contenu est vraiment fun. Personnellement j'aime bien cet humour un peu déjanté. Il peut arriver n'importe quoi. De plus, les quelques références à la Pop Culture sont véritablement bien placées et font effet.

Il faut dire qu'avec Ryan Reynolds c'était dur de ne pas être satisfait. L'acteur a fait de ses rôles décalés sa spécialité. Il est à l'aise dedans et s'éclate.

J'ai aussi apprécié le mélange vie virtuelle/vie réelle. L'équilibre entre les deux se fait bien, et l'intrigue arrive à bien avancer de l'un à l'autre. Dans un film comme Ready Player One ça avait été une de mes déceptions mais ici c'est tout le contraire. Cela permet de ne pas rester enfermé dans un univers.

Dans cette optique, Jodie Comer et Joe Keery sont primordiaux. Je ne connaissais ni la Britannique, ni l'Américain, connues respectivement les séries pour Killing Eve et Stranger Things. Une chose est sûre, ils m'ont fait forte impression.

Toutefois, le personnage du "grand méchant" joué par Taika Waititi en fait un peu trop, et vient rajouter une couche sur le côté insistance.

Humour, action, amour, science-fiction… tous les ingrédients sont là pour un film actuel, familial et envoutant. Ryan Reynolds rentre parfaitement dans la peau du personnage et on trouve par moment des très bons choix de mise en scène.

A peine moyen. Déjà le film ne raconte pas vraiment l'histoire promise par les bande annonces ou les affiches. Ce n'est pas vraiment l'histoire d'un personnage de jeu vidéo qui sort de sa routine et devient petit à petit conscient et autonome (comme Westworld) , c'est plutôt l'histoire d'un couple de jeunes gentils développeurs qui se battent contre le méchant patron d'un studio de jeu vidéo qui leur a volé leur jeu pour s'en servir comme base du jeu avec lequel il est devenu très riche. "Guy", le personnage non joueur, n'est que l'objet de leur litige mais on ne s'intéresse pas vraiment à son développement. Le problème c'est que cette histoire de développeurs, dans le monde réel, est superflue, inintéressante et à la limite du supportable. Rappelons que nous ne sommes plus dans les années 90 mais en 2021. Le jeu vidéo n'est plus, ni un loisir de niche, ni un loisir pour enfant. C'est un média aujourd'hui banalisé, qui inspire le cinéma (la preuve), il y a des joueurs de tout âge, les gros studios sont des multinationales très sérieuses, les gens qui y travaillent sortent diplômés d'écoles tout aussi sérieuses. Pourtant, on trouve encore des films comme celui ci, qui semblent pourtant s'adresser aux joueurs mais qui ne connait pas le monde du jeu vidéo et en a une vision erronée et complètement datée. Les joueurs sont des gamines avec des appareils dentaires, des jeunes loosers obèses de 22 ans qui vivent chez leur maman, les développeurs sont des binoclards et les patrons de studio des milliardaires excentriques. On a même le droit à une critique des jeux vidéo (ici un clone du jeu Gran Theft Auto) qui sont trop violents alors que les jeux gentils et pacifiques c'est quand même beaucoup mieux et plus intelligent. On se croirait reparti des années en arrière avec la critique des "MEUPORG". On sait bien que personne dans toute l'équipe, du réalisateur aux acteurs et passant par les scénaristes, ne joue aux jeux vidéo et on se demande le pourquoi de ce projet.

dire que certains studios hésitent a payer la suite de Dune de Villeneuve mais que d'autres trouvent les moyens pour pondre ca ....... l'idée de base de freeguy n'est pas si mal, c'est tout le reste qui ne va pas , jeu d'acteur, enjeux, clichés a la pelle ,humour potache , certains diront que ca se laisse regarder , que ca passe le temps, mais ca ne fait qu'encourager les studios a pondre a la chaine des films daubés et aux spectateurs de finir par croire que la médiocrité est la norme ,le cinéma , même de divertissement ce n'est pas ca ! faites mieux !!!

Exceptionnel ! Merci Ryan Reynolds pour ce film. C'est tout ce que j'adore. Les effets spéciaux sont superbes. Le combat contre le "Dude" va devenir culte ! Génial !

Pas terrible, trop long (1h55), je me suis endormi à plusieurs reprises
Les images sont bien mais les idées développées n'ont rien de révolutionnaires.

Le film accumule tous les clichés dont le monde du jeu vidéo à réussi à se libérer depuis une quinzaine d'années.
Je ne sais pas si c'est par facilité scénaristique ou par ignorance, mais on dirait vraiment que personne dans ce film n'a déjà joué à un vrai jeu vidéo.
Et non! Un "codeur" ça ne programme pas en plaçant des 1 et des 0!
Ce film ne s'adresse pas aux vrais geeks mais à ceux qui prétendent l'être après avoir joué à Candy Crush...

Entre "pixel", "plaisantville" , "truman show" et" real player one" , freeguy est ce parfait mélange pour gamer ou non averti grace à ses références aux jeux interactifs à plusieurs players . Mais la où c est reussi , lefilm reste dynamique , sympathique , avec beaucoup d humour et de dérisions ce qui en fait un film plaisant et agréable à entrer dans l action etsuivre ce personnage attachant interpréter par Ryan Reynolds . En imax c est bluffant mais la 3 d est décevant . Ent tout casj ai passé un bon moment

j'adore ce genre de film, RR est comme d'habitude excellent spoiler: le film ressemble a un jour sans fin et Truman show
mais ce sont de bonnes references... ca se laisse voir sans problème et ca file la pêche, ca fait trop plaisir de voir ce genre de films ;)

comment réaliser des films aussi débiles ,celui la en est encore une preuve vivante ,ou va le cinéma avec de telles inepties,scénario nullissime acteurs sans envergures une pure perte de temps et d’argent vu le prix des places en salles !!!

Je suis bien déçu par ce nouveau film avec Ryan Reynolds, après un excellent hitman et bodygards voilà Free Guy, sur le papier ça s'annonçait plutot bien, un mec se rends compte qu'il est dans un jeux video et veux commencer à se poser des questions et se rebeller, sauf que c'est d'une nullité rarement atteinte, jamais l'histoire ne décolle si histoire il y a, c'est long, sans intérêt, une vraie torture.

Le navet de l'année !!!
Totalement incohérent, méconnaissance totale, non seulement du monde de l'I.A, mais même du monde de l'informatique tout court.
Je me demande si l'auteur de cette chose (je n'ose pas appeler ça un film) a dépassé intellectuellement l'age de 10 ans.
Le personnages sont caricaturaux : non seulement les "PNJ", mais même les personnages "réels" .
Le patron de l'entreprise qui ne sait pas que ça ne sert à rien de prendre ses serveurs à coups de hache, vu que de toutes façons les données pour un système pareil sont probablement sauvegardées tous les jours. Qui en faisant ça se contente de détruire des machines qui lui ont couté cher.
Le génie qui a écrit l'algorithme d'I .A. est réellement un surdoué pour avoir terminé ses études (doctorat pour ce niveau de conception logicielle) à un âge pareil.
Les effets spéciaux sont, je l'accorde, dignes... d'un jeu vidéo de médiocre qualité...
La fin du film est téléphonée avec le prénom du personnage principal (Guy, à la fin, devient homosexuel).
Bref c'est un film à fuir !