Note moyenne
3,4
25 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Filmsactu
Porté par un Ryan Reynolds au meilleur de sa forme, le film de Shawn Levy réussi le tour de force d’offrir un spectacle tout public à la fois intelligent et généreux qui ne prend pas son public pour une cible marketing.
20 Minutes
Cette comédie truffée de références à l'univers des jeux vidéo est très amusante.
Closer
Les situations et les dialogues sont savoureux, et Ryan Reynolds forme un duo drôlement explosif avec Jodie Comer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une grosse comédie d’action fun, certes, mais aussi une vision pertinente du jeu vidéo et du « métaverse », la nouvelle marotte des géants du numérique.
L'Ecran Fantastique
Ryan Reynold, ahuri à souhait, et Jodie Comer, aussi à l’aise en blonde informaticienne du réel qu’en brune avatar du nom de " Molotovgirl ", portent avec aisance ce récit cyberpunk en rose qui contient quand même une critique sous-jacente de l’univers des jeux, de leurs participants et la société américaine tout entière, car que cherchent en fait les joueurs à travers leur avatar ?
Le Dauphiné Libéré
Ni cynique (Space Jam 2), ni paternaliste ( Ready Player One), Free Guy réussit à saisir les enjeux actuels du jeu vidéo. Tout en restant un gros film d’action estival fun. Étonnant, n’est-ce pas ?
Le Journal du Dimanche
On éprouve immédiatement de l'empathie pour le personnage interprété par Ryan Reynolds qui donne libre cours à son humour décalé et délicieusement trash dans un hommage à la culture geek : foisonnant, euphorisant, galvanisant et inventif.
Le Journal du Geek
Avec ses références maîtrisées à la pop-culture et aux jeux vidéo, le film parlera autant aux béotiens qu’aux aficionados, qui reconnaîtront les signes les plus subtils.
Les Fiches du Cinéma
Croisement de Un jour sans fin et de Truman Show, en version jeu vidéo, Free Guy se révèle être de façon surprenante le meilleur film de Shawn Levy (La Nuit au musée, Stranger Things) et peut-être même le meilleur film consacré à l’univers du jeu vidéo.
Mad Movies
Derrière son divertissement a priori calibré, ses jolis écarts du côté du cinéma de Richard Curtis et ses quelques citations méta balancées avec une trivialité très assumée, "Free Guy" parvient tout de même à explorer des pistes thématiques terriblement actuelles.
Ouest France
Cette comédie d'action se révèle un divertissement efficace car dopée à un second degré, d'habitude absent des blockbusters.
Télé 7 Jours
Riche de belles références, cette fable, signée par le réalisateur de la saga La Nuit au musée, distille autant de fun que de réflexion sur notre époque 2.0 et, c’est inattendu, a des allures de manifeste politique : ensemble, nous les sans-grade, on peut changer le game d’un monde maboul.
Télé Loisirs
Le réalisateur Shawn Levy enrôle l'irrésistible Ryan Reynolds dans une ode délirante aux jeux vidéo et à la culture geek, joliment référencée. Assurément, Free Guy est la comédie d'action de l'été !
Ecran Large
Malgré des influences pas toujours bien digérées et une vision du jeu vidéo loin d'être pertinente, Free Guy fonctionne plutôt bien quand il s'aventure pleinement du côté de la comédie pure.
Franceinfo Culture
Spectaculaire et bien ficelé, Free Guy remplit son contrat de film pop-corn.
IGN France
Un film vite vu et vite digéré, pas désagréable, mais très loin d'être un objet persistant de cinéma. Ce n'était, de toute évidence, pas l'intention.
Le Figaro
Seule grosse production hollywoodienne de l'été à ne pas être basée sur une franchise ou sur une marque existante, la comédie laisse l'impression d'un divertissement lisse et générique. Votre volonté d'aller jusqu'à la fin de la partie dépendra, in fine, de votre degré de bienveillance vis-à-vis de Ryan Reynolds et de votre appréciation des jeux vidéo.
Le Monde
Seul un soupçon d’inquiétude manque à ce film sans aspérités, un peu trop soucieux d’incarner la part irénique de ce vieux rêve de l’humain qui a pour objet la révolte, le plus souvent terrifiante, des créatures artificielles tout droit sorties de son esprit.
Le Parisien
Le point fort du long métrage reste donc la prestation de Ryan Reynolds ( « Deadpool »), idéal dans la peau de ce figurant qui, au sein de « Free City », ne devrait se contenter que de sa routine mais prend ici conscience de son triste sort.
Libération
Free Guy vise juste avec un traitement certes spectaculaire (les effets spéciaux sont parfois déments, surtout dans la première partie) mais finalement très léger, jouant la carte du pur divertissement grand public là où d’autres se seraient indécemment vautrés dans le kouglof multi-référencé. C’est malheureusement aussi par cette légèreté que le film pèche, à commencer par le désastreux timing comique, qui désamorce une grande partie des gags [...].
Première
Free Guy réussit ici avec l’univers des jeux vidéo, des super-héros Marvel et de Disney, tout ce que la suite de Space : Jam a raté dans les grandes largeurs avec celui des Looney Tunes et de Warner. S’en emparer de manière ludique, rythmé et joyeuse. Comme un parfait mix entre Truman show et Ready Player one saupoudré des Mondes de Ralph, de Jumanji, de Grand Theft Auto et de Fortnite…
Rolling Stone
Parce que si vous n’êtes pas là juste pour voir Reynolds faire son truc, bon courage. Parce que Free Guy c’est aussi un film qui prêche le libre arbitre, tout en exigeant que vous restiez un consommateur passif de ses sensations fortes, etc.
Télérama
Même si les références sont excellentes, le sentiment de déjà-vu plombe ce film à grand spectacle. Mais le cinéaste donne un ton de comédie juvénile plaisant, que Ryan Reynolds transforme en numéro d’acteur sympathique.
La Croix
Un film à gros budget réservé aux adolescents amateurs de grosses explosions.
Critikat.com
Visiblement, il semble qu'il faudra encore attendre avant de voir le cinéma populaire porter un regard plus pertinent et singulier sur le jeu vidéo, au-delà des clichés et des conventions.