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    El Reino
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    Margot1812
    Margot1812

    37 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 avril 2019
    C'est un film incroyable, une mise en scène prodigieuse! Antonio de la Torre est bouleversant de sincérité! Allez-y !
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 mai 2020
    A voir les retours dithyrambiques sur ce thriller politique, on en vient à culpabiliser de ne pas être au diapason de tous ces éloges. Le réalisateur Rodrigo Sorogoyen nous avait pourtant passionnés avec son thriller « Que Dios nos perdone », film policier tortueux et implacable. Film qui mettait déjà en scène l’excellent acteur Antonio de la Torre, tout aussi bon en politicien véreux ici, et qui s’avérait pour le moins complexe mais compréhensible. Ici, en toute honnêteté, mettons au défi quiconque de comprendre l’entièreté de l’intrigue. Pire, celle de « Que Dios nos perdone » semble presque basique comparé à celle de « El Reino ». Donc en dépit de qualités certaines, comment être captivé par un long-métrage où l’on ne comprend strictement rien à l’histoire et où rien n’est fait pour en faciliter la lisibilité ?



    Si les grandes lignes de l’intrigue nous apparaissent petit à petit, difficile de saisir les détails d’une narration qui va à cent à l’heure, nous abreuve d’une multitude de personnages et de noms qu’on ne peut retenir ou encore se plaît à laisser de nombreux points en suspens. Ajouté à cela, de nombreuses zones d’ombres et un dénouement pour le moins abrupt, il devient vraiment difficile de trouver aimable ce thriller politique qui finit par apparaître très prétentieux. Pourtant le fond du sujet est passionnant, ruant dans les brancards d’un système corrompu jusqu’à la moelle. Il est clair que la chose politique ainsi que les médias en prennent plein la tronche, notamment avec le final délectable sur le plateau de télévision en forme de duel verbal entre le héros et une journaliste. Ce qui aurait donc pu être passionnant, jouissif et politiquement incorrect devient aussi et surtout laborieux et pénible pour le spectateur.



    Et c’est vraiment dommage et frustrant car la mise en scène est virtuose. L’énergie de celle-ci est dingue, la caméra colle littéralement aux basques du personnage principal et ne s’embarrasse d’aucune longueur (même si paradoxalement le film peut paraître long puisqu’on ne comprend pas toujours tout), filmant tous ces politicards comme dans un film de mafia. Une réalisation entre chic, paranoïa et état d’alerte maximum enveloppée dans une musique techno du meilleur effet qui ajoute à l’état d’urgence ressenti par le protagoniste principal. La seconde partie est plus prenante car elle laisse un peu les rouages obscurs du scénario (et de la politique) de côté pour se focaliser sur l’aspect thriller avec une certaine tension et quelques séquences de haute volée (la villa, la station-service et le plateau télé). Mais il est trop tard : plus d’une heure de film où on se retrouve dans le flou total à lutter pour saisir ce qui se passe et qui a fait quoi et pourquoi condamne directement notre appréciation de « El Reino ». Prétentieux et bien trop complexe, à croire que la critique dispose d’une intelligence que le spectateur n’a pas toujours ou qu’elle se concentre uniquement sur les aspects réussis pour faire bien.



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    Moorhuhn
    Moorhuhn

    146 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2019
    Dans ce contexte d’élections, rien de tel qu’un petit thriller politique survitaminé pour se mettre en appétit ou digérer (c'est au choix). El Reino est le nouveau film du jeune cinéaste espagnol Rodrigo Sorogoyen qui a notamment obtenu un beau succès d’estime avec son précédent film Que Dios nos perdone. Nous suivons ici la chute d’un politicien pris au piège dans les rouages d’un système qui a fait sa réussite mais qui, cette fois-ci, se retourne contre lui. Un film qui ne risque pas de faire les affaires des chiffres de l’abstention tant il réussit brillamment à remettre en cause des sujets qui dépassent le simple monde politique de façon habile et corrosive.

    On peut résumer simplement El Reino à une perpétuelle course contre-la-montre qui montre crescendo en tension et nous tient en haleine pendant deux petites heures qui passent à une vitesse folle. Pourtant ce n’est pas si facile de rentrer dans le film qui déroule un scénario assez complexe sur un rythme intense qui laisse finalement peu de répit au spectateur. L’introduction se fait sur un plan-séquence dynamique et aboutit ensuite sur un déjeuner où les plans se multiplient par le biais d’un montage particulièrement raide qui nous rappelle celui d’un autre film politique : In the loop d’Armando Iannucci. Mais si ce dernier s'apparente à une comédie, ce n'est pas le cas d'El Reino qui arbore des teintes plus noires et cyniques.

    Cette réalisation et ce montage ultra dynamiques peuvent surprendre dans un premier temps mais on se rend vite compte de l’épatante maîtrise de l’ensemble. La forme s’accorde très bien au fond qui, s’il ne va pas nécessairement au cœur de ce système particulièrement pourri, présente néanmoins de solides attraits. Les protagonistes, dont notamment le principal brillamment interprété par Antonio de la Torre, font l’objet d’une écriture remarquable qui laisse place nette à la nuance et à l'ambiguïté. On ne sombre ni dans la caricature de personnages pourris jusqu’à l’os ni dans la caricature de modèles de vertu repentis. Au contraire, le personnage de Manuel cherche à s’extirper de cette situation embarrassante uniquement pour sauver sa peau, même si ses amis fidèles ou non doivent trinquer à sa place. C’est ce qui donne beaucoup d’intérêt au film : dépeindre un système et surtout dépeindre ses acteurs et leurs enjeux propres de façon à comprendre ce monde clairement, sans tomber dans un enfoncement de portes ouvertes simpliste.

    Et ce film n’est pas avare en rebondissements et en séquences marquantes. Outre le plan-séquence introductif, Sorogoyen nous en propose d’autres à des moments-clés qui renforcent l’intensité et cette impression de course contre-la-montre à vitesse réelle. La dernière demi-heure est par ailleurs un modèle de tension avec des moments où l’on se retient de respirer, preuve ainsi que l'empathie envers un personnage que l'on détesterait en temps normal est bien présente. Le passage en voiture dans la nuit me marquera un petit moment je pense.

    Et que dire de cette dernière scène qui, une fois de plus dans le récit, nous interroge à la fois sur l’honnêteté du monde politico-médiatique mais aussi sur la nécessité de maintenir un certain équilibre. Difficile à mon sens de rester de marbre face à ce film qui en a dans le ventre et développe une intrigue intéressante sur bien des aspects, avec une solide écriture d'ensemble. J’ignore si le film est inspiré de faits réels mais je suis certain d’une chose: certains politiciens espagnols ont du avoir des sueurs froides en visionnant ce film !
    coperhead
    coperhead

    26 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2019
    El Reino est un film politique survolté ou l'on suit un cadre influant et vereux d'un parti espagnol qui se retrouve dans le collimateur de la justice. La caméra colle a la peau de ce dernier qui avance et agit toujours vite , avec frénésie en bluffant au final pas mal de monde .Se sentant abandonné par son entourage ,il va attaquer pour mieux se défendre .Le recit accelere encore vers la fin avec une course poursuite tout feux eteints qui augmente encore le tension . Le réalisateur Sorogoyen révèle avec virtuosite l'univers de la politique espagnole base sur des fourberie des jeux de masques et autres entourloupes
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    536 abonnés 953 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 novembre 2020
    Librement inspirée de récents scandales ayant secoué la péninsule Ibérique (affaire Gürtel), la nouvelle fiction de Rodrigo Sorogoyen ne s'embarrasse pas d'analyses amphigouriques sur le paysage politique. Il ne s'agit pas ici d'une enquête visant à révéler les germes d'un pourrissement aujourd'hui généralisé. Mais plutôt d'une étude accélérée de ses effets sur les porteurs.
    Être un politicien vertueux c'est du boulot, alors imaginez politicien véreux...Sans faire de cynisme, on se rend compte des efforts déployés par les vermines au moment où tout commence à s'effondrer pour elles. Manuel López-Vidal, l'anti-héros d'El Reino, appartient à cette catégorie, malheureusement pour lui. Heureusement pour nous, sa carrière dans la corruption politique va se heurter à un mur des plus solides : la vérité. Et comme beaucoup hommes qui s'y retrouvent confrontés, Manuel va tenter de le traverser. Donc appliquer tout ce qu'il a appris dans cette vie d'infractions : prendre les coups bas, se préparer à en donner, tenter de survivre,...Un job de dingue, je vous ai dit !
    Et la caméra de Sorogoyen ne va pas y aller à moitié. López-Vidal est constamment en mouvement, signe d'un combat qu'il livre à temps-plein contre tout ce qui l'environne (collègues devenus cafeteurs, journalistes devenus juges, amis devenus bourreaux). Alors la réalisation de Sorogoyen va s'échiner à le suivre. Avec un sens du montage hallucinant et une composition des plans démente (les caméras à l'épaule sont fulgurantes), sans oublier la musique entêtante d'Olivier Arson, El Reino nous offre une poussée d'adrénaline de deux heures ininterrompues. Il y a une rage communicative et ce règlement de comptes envers les pourris sans intégrité ni idéaux (il faut voir les personnages incapables de répondre à la question "pourquoi vous faites de la politique?"). Et tout cela converge sur une dernière demi-heure inoubliable (je pèse mes mots). Trois scènes d'une parfaite maîtrise qui pousse la tension à son paroxysme tout en synthétisant parfaitement la situation de son protagoniste principal. se tapant contre les murs et portes pour s'en sortir, contraint de voyager dans le noir comme ses ennemis, et finalement obligé de regarder son auditoire dans les yeux alors qu'il est enfin débarrassé de ses oripeaux.
    Le genre de film qui vous laisse une impression durable : celle que rien ne sera réellement résolu au bout du compte, mais que tout ne pourra pas continuer comme avant. Et pour le moment, c'est déjà plus que bien.
    Belghali P.
    Belghali P.

    1 abonné 17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mai 2019
    On ne voit pas passer les deux heurs 11 du film, pourtant dans la première heure il ne se passe pas grand chose, c'est assez confus, mais peu à peu on commence à tracer les grands traits du scénario , performance incroyable de l'acte Antonio de la Torre , que l'on suit du début jusqu'à la fin, caméra sur l'épaule, la fin est déconcertante , mais bien vu et originale. Bonne soirée assurée à la vue de ce film , qui nous fait découvrir des qualités méconnus du cinéma espagnol.
    François-Xavier C.
    François-Xavier C.

    9 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2019
    El Reino est un film brillant, nerveux, rythmé. La bande son est époustouflante, haletante et soutient en permanence le suspens, comme les battements de coeur du personnage principal dans sa course effrénée pour enrayer ce qui menace de le broyer. Les prises de vues sont un modèle du genre. Le magistral plan séquence du début nous met tout de suite en condition. L'intrigue peut sembler brouillonne et déconcertante, on devine les secrets et les turpitudes de notre héro, plus qu'on ne les comprend. Peu importe. Le suspens est maintenu tout au long. La fin est déroutante, voire décevante, mais pouvait il en être autrement qu'une logomachie journalistique pour conclure un film sur la corruption des milieux politique. A voir et à revoir pour apprécier pleinement ce film très réussi.
    harpsichord
    harpsichord

    3 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 avril 2019
    Pourquoi mettre un 5 étoiles ? Ce n'est sans doute pas le chef d'œuvre du siècle alors la raison est ailleurs.
    Les acteurs sont excellents, certains plus vrais que nature. Les personnages terriblement humains. Presqu'un documentaire. La mise en scène, épatante, fait monter la pression, même s'il vaut mieux lâcher prise et laisser filer l'intrigue plutôt qu'essayer de comprendre l'ampleur des malversations que l'on perçoit assez gigantesques.
    Je reste admiratif par l'incroyable capacité de Rodrigo Sorogoyen à rendre tout ça étouffant et de terminer le film sur un questionnement qui donne une grande respiration. Plutôt que de faire de ce film un réquisitoire à charge, par un questionnement admirablement rythmé et mis en scène autant qu'inattendu, Sorogoyen laisse à chacun la responsabilité de proposer ses réponses personnelles. Ainsi le film se termine par des points de suspension comme la dernière fugue de l'art de la fugue de Bach. Mais quels points de suspension !
    Sorti en France cette semaine, le sujet du film est brûlant d'actualité et c'est, pour moi, le traitement global du sujet, l'ouverture du sujet plutôt que sa fermeture qui méritent largement ces 5 étoiles.
    velocio
    velocio

    1 321 abonnés 3 153 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 avril 2019
    Il y a 2 ans, le réalisateur espagnol Rodrigo Sorogoyen nous avait infligé "Que dios nos perdone", un polar trop long et très mal construit, le spectateur se trouvant très souvent complètement perdu. Il n'empêche : ce film avait été très bien reçu par la presse et par beaucoup de spectateurs, tant mieux pour eux ! Et voilà que ce même Sorogoyen récidive, avec toutefois une nuance importante qui sera développée plus loin. En effet, il y a plusieurs angles pour dire ce qu'on pense d'un film. D'un point de vue purement cinématographique, il y avait une qualité que le cinéma à l'ancienne avait et, particulièrement, le cinéma américain : les personnages importants étaient, de façon précise, très vite caractérisés. Dans "El Reino", au bout de 2 h 11 minutes de films, on n'a toujours pas compris le rôle exact de plus des 3/4 des personnages, tout est confus, brouillon, quasiment incompréhensible. Certes, une bonne partie du problème provient de la vision par nous, français ne parlant pas l'espagnol, de la version originale sous-titré : les dialogues sont tellement rapides que le sous-titrage n'arrive pas à suivre et, avec ce texte qu'on lit, on perd une grande partie de ces dialogues. Comme m'a dit un ami hispanophone : ce film doit être pratiquement incompréhensible pour des non hispanophones ! Je confirme ! Par contre, il y a quelque chose qu'on comprend très bien, malgré tout, et là, c'est un deuxième angle, celui de la nuance évoquée ci-dessus, l'angle politique. Ce qu'on comprend très bien, je dirais même trop bien, c'est le désir du réalisateur et co-scénariste du film de montrer qu'on vit dans une société où absolument tout le monde est pourri, tout particulièrement les politiques, de quelque bord que ce soit et les journalistes. Et là, trop c'est trop, et, d'une certaine façon, par ses relents poujado/trumpiste, ce film arrive à être carrément puant car on sait trop, malheureusement, où conduisent très souvent de telles dénonciations tout azimut. On terminera par 2 remarques : j'avais cru comprendre que, en plus, le film souffrait d'un accompagnement de musique techno quasiment permanent. Oui, il y a bien de la musique techno, elle est d'une grande médiocrité (pouvait il en être autrement ?), mais, elle n'est pas là en permanence, heureusement ; ensuite, il y a dans "El Reino" la présence de l'excellente comédienne Barbara Lennie (la journaliste Amaia Marin) : on la retrouvera le 8 mai prochain dans "Petra", un film autrement plus intéressant que "El Reino".
    tixou0
    tixou0

    709 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 avril 2019
    C'est aussi long que "Dios nos perdone" (plus de 2 heures...qui passent, aux trois quarts, bien lentement), et le minuscule acteur Antonio De La Torre (1,63 m) est également en montre ! C'est à nouveau Rodrigo Sorogoyen (co-écriture, réalisation) qui est aux manettes de ce "El Reino" (était-il, à nouveau, impossible de traduire en français ?), c'est-à-dire de "Le Royaume" - donc, rien d'étonnant ! Après avoir copieusement tapé sur le catholicisme, le Madrilène s'essaie dans la charge sur la chose publique. Message global on ne peut plus simpllfié : "Tous pourris" (et pour ceux qui ne le sont pas encore, c'est juste une question de temps et/ou d'opportunité), l'argument étant une affaire de prévarication et autre corruption, à très grande échelle, « mouillant » toute la classe politique espagnole. Exposition interminable et brouillonne (décidément une marque de fabrique....), mouvements chavirés de caméra à gogo, comme seul "style" (ai failli partir, au bord du malaise...), "musique" façon pilon, palabres sans fin, personnages mal dessinés.... et on s'ennuie, mais qu'est-ce qu'on s'ennuie..... Cela s'arrange cependant dans le dernier quart du (très long) film (du rythme, des rebondissements...). Me félicitais donc de ma persévérance, quand le propos s'arrête brusquement, pour une fin édifiante, qui n'en est pas une !
    Pour moi, moins convaincant encore que l'opus précédent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 avril 2019
    Très bon film reposant sur d'excellents acteurs. Pas de temps morts pour cette intrigue complexe et pleine de suspens.
    Elisabeth G.
    Elisabeth G.

    185 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 avril 2019
    Un thriller politique elliptique assez incompréhensible dont l'image tremblotante donne la nausée. Restent les acteurs, notamment l'excellent Antonio de la Torre.
    Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
    moket
    moket

    541 abonnés 4 349 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juin 2020
    Malgré une réalisation nerveuse et une interprétation sans faille, difficile d'entrer complètement dans ce thriller politique, la faute à un scénario aux contours flous dont il est difficile de comprendre tous les enjeux. Et la fin expéditive n'arrange rien...
    Stéphane C
    Stéphane C

    63 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 avril 2019
    Un thriller nerveux (avec une bande-son électro continue) sur la corruption politique à grande échelle où il n'est évidemment pas question de moralité... Un réquisitoire nécessaire; la scène finale est remarquable !
    🎬🎬🎬🎬
    gregbox51
    gregbox51

    40 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 septembre 2019
    Film lourd rempli de dialogues inutiles, beaucoup de peine à se mettre dans le bain, tout est fait pour rebuter le spectateur dès le début, du temps perdu...
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