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Une plongée suffocante dans le marigot des politiciens espagnols corrompus, portée par un comédien remarquable que la caméra ne va pas lâcher pendant plus de deux heures.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
D’un braquage surréaliste dans une villa à une course-poursuite automobile dans la nuit tous feux éteints, l’action s’emballe et nous cloue au fauteuil.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ce thriller politique ultra tendu, mis en scène avec virtuosité, confirme la vitalité du jeune cinéma ibérique et le brio implacable de son acteur, Antonio de la Torre.
Raconté de son point de vue (Manuel Lopez-Vidal), le film se regarde comme un thriller. Son travail d'enquête pour démontrer qu'il n'est qu'un maillon de cette chaîne d'embrouilles est passionnant.
Passé cette mise en bouche un peu trop dense, on est happé par cet individu qui se débat contre l’adversité mais ne peut éviter la disgrâce dans une atmosphère paranoïaque.
A l’image de ses personnages habités par plusieurs vérités (la « vérité objective » et la leur), il y a plusieurs films dans "El Reino", et tous ont l’intelligence d’interroger plutôt que de condamner.
Raconter les coulisses d’un pouvoir, la putréfaction d’un milieu, tout en privilégiant le cinéma, voilà sans doute le seul moyen de révéler sans désespérer. Et Rodrigo Sorogoyen y parvient avec une maîtrise de l’uppercut qui garantit le plaisir.
Antonio de la Torre livre une prestation si admirable que son personnage de politicard ripou en devient attachant. Cette approche originale rend d’autant plus violente l’attaque lancée à l’encontre de la corruption du milieu politique espagnol dans sa globalité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Un peu laborieux au début, le film prend peu à peu de la vitesse et devient vraiment haletant dans la dernière heure. Mais pour cela, il aura fallu que le thriller prenne le pas sur le propos.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les procédés cinématographiques excluent sans cesse toute possibilité de compréhension globale des enjeux qu’il expose pour y substituer une vibration émotionnelle, certes efficace, mais facile, voire malhonnête.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
Remarquable.
La Voix du Nord
Une plongée suffocante dans le marigot des politiciens espagnols corrompus, portée par un comédien remarquable que la caméra ne va pas lâcher pendant plus de deux heures.
Ouest France
Haletant et vertigineux.
Positif
C’est à un exercice assez virtuose que nous convie Rodrigo Sorogoyen [...].
Télérama
D’un braquage surréaliste dans une villa à une course-poursuite automobile dans la nuit tous feux éteints, l’action s’emballe et nous cloue au fauteuil.
Voici
Ce thriller politique ultra tendu, mis en scène avec virtuosité, confirme la vitalité du jeune cinéma ibérique et le brio implacable de son acteur, Antonio de la Torre.
CinemaTeaser
Comment ne pas être admiratif d’un réalisateur capable de se cramer volontairement les doigts sans perdre toutefois jamais totalement le contrôle ?
Elle
Raconté de son point de vue (Manuel Lopez-Vidal), le film se regarde comme un thriller. Son travail d'enquête pour démontrer qu'il n'est qu'un maillon de cette chaîne d'embrouilles est passionnant.
L'Obs
De la Série noire, et de la meilleure.
La Croix
Après Que Dios nos perdone, le réalisateur espagnol Rodrigo Sorogoyen nous épate avec ce thriller politique au rythme survolté.
Le Dauphiné Libéré
Un film noir sur la corruption politique avec toute la force - et les limites - de la charge.
Le Figaro
Scènes hallucinantes, rythmes vertigineux, le réalisateur madrilène signe avec El reino un thriller frénétique.
Le Journal du Dimanche
Passé cette mise en bouche un peu trop dense, on est happé par cet individu qui se débat contre l’adversité mais ne peut éviter la disgrâce dans une atmosphère paranoïaque.
Le Parisien
Rodrigo Sorogoyen dirige l’acteur Antonio de la Torre dont le jeu est tout simplement formidable dans le rôle du fusible qui essaie de ne pas sauter.
Les Inrockuptibles
A l’image de ses personnages habités par plusieurs vérités (la « vérité objective » et la leur), il y a plusieurs films dans "El Reino", et tous ont l’intelligence d’interroger plutôt que de condamner.
Première
Un thriller efficace et implacable en forme de survival, qui dépeint sans détour la politique espagnole.
Sud Ouest
Raconter les coulisses d’un pouvoir, la putréfaction d’un milieu, tout en privilégiant le cinéma, voilà sans doute le seul moyen de révéler sans désespérer. Et Rodrigo Sorogoyen y parvient avec une maîtrise de l’uppercut qui garantit le plaisir.
aVoir-aLire.com
Antonio de la Torre livre une prestation si admirable que son personnage de politicard ripou en devient attachant. Cette approche originale rend d’autant plus violente l’attaque lancée à l’encontre de la corruption du milieu politique espagnol dans sa globalité.
Le Monde
Maîtrisant une assez réussie logique comportementaliste, El Reino plonge le spectateur au coeur d’une machine entropique.
Les Fiches du Cinéma
Si l’on peut ne pas être friand de sa mise en scène tapageuse, "El Reino" n’en demeure pas moins un thriller politique bien ficelé.
Libération
Un peu laborieux au début, le film prend peu à peu de la vitesse et devient vraiment haletant dans la dernière heure. Mais pour cela, il aura fallu que le thriller prenne le pas sur le propos.
Critikat.com
Les procédés cinématographiques excluent sans cesse toute possibilité de compréhension globale des enjeux qu’il expose pour y substituer une vibration émotionnelle, certes efficace, mais facile, voire malhonnête.