Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
CNews
par La rédaction
Avec "Styx", le réalisateur Wolfgang Fischer dénonce l’impuissance de la société occidentale face au calvaire enduré par ces réfugiés laissés pour compte.
L'Express
par Christophe Carrière
Grâce à la prestation de Susanne Wolff, il est profondément humain. Grâce à la rigueur du point de vue adopté, il est carrément captivant. De plus, la neutralité bienveillante invite au débat.
L'Obs
par François Forestier
Ce premier film fait preuve d'une maîtrise impressionnante : la mise en scène, la géométrie des lieux, le trouble du personnage sont d'une précision totale. Le réalisateur ne force jamais l'émotion, quitte à rester dans une certaine froideur. C'est d'autant plus fort.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
La force du film réside dans sa manière de filmer de bout en bout cette odyssée du désespoir avec une constante impassibilité apparente. Créant ainsi un perturbant effet de distance avec la tragédie qui se joue dans l’arrière-fond du cadre.
Libération
par Marcos Uzal
Tout l’intérêt de "Styx" réside dans ce côté série B, collant rigoureusement aux faits, s’appuyant sur des éléments sensoriels, travaillant les distances physiques, mettant en jeu l’invisible d’une manière très tangible, traitant un grand sujet d’actualité (notre responsabilité collective et individuelle face au sort des migrants) avec la précision d’un thriller.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un film puissant, au suspense implacable.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Le film parvient à ne pas sombrer dans un exposé des raisons de chacun, en se cramponnant aux affects de son personnage, véritable héroïne non pas rongée par le doute mais emportée par la rage de son impuissance à agir seule.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
À la fois athlétique et sensuelle, empathique et dépassée, sa comédienne livre une performance de haute volée.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Du côté de la mise en scène, le long métrage a le mérite prendre le temps de contempler son propre dispositif de survival en deux temps, l’un individualiste et désiré, l’autre collectif et impromptu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
La mise en scène joue intelligemment la carte du réalisme, donc de l’immersion. Le spectateur est sur les flots avec elle. Il y restera jusqu’au bout, bientôt impuissant et affolé face à cet autre bateau au loin sur lequel des migrants pris au piège attendent d’hypothétiques secours.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette histoire, qui se voudrait un électrochoc, ne surprend guère, hélas. Mais le réalisateur crée une atmosphère froide qui ne peut laisser indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Audrey Planchet
Wolfgang Fischer fait sonner l’alerte quant à la nécessité d’une réelle considération politique de l’immigration, mais dans ce même geste passe par la mise en spectacle de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce film qui pèche un peu par sa froideur professionnelle et son systématisme s’humanise avec la découverte de l’altérité, notamment lorsqu’un jeune réfugié à bout de souffle est recueilli sur le voilier. Pourtant, subsiste l’impression d’un devoir de bon élève bien-pensant. Un peu ennuyeux donc.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
On cherche au générique la mention de la marque Stabilo Boss, tellement intentions et situations sont surlignées en permanence. Un cas d’école pour étudiants en cinéma.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
"Styx" s’abîme à vouloir étoffer son récit d’images d’un monde affreusement réel, et se transmue alors en une fade et problématique démonstration sur les cas de conscience et la lâcheté ordinaire, qu’une caméra froide comme Gorgone ne peut pas sauver.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Hubert Niogret
Le scénario utilise trop de conventions et ne parvient pas à répondre aux questions posées.
CNews
Avec "Styx", le réalisateur Wolfgang Fischer dénonce l’impuissance de la société occidentale face au calvaire enduré par ces réfugiés laissés pour compte.
L'Express
Grâce à la prestation de Susanne Wolff, il est profondément humain. Grâce à la rigueur du point de vue adopté, il est carrément captivant. De plus, la neutralité bienveillante invite au débat.
L'Obs
Ce premier film fait preuve d'une maîtrise impressionnante : la mise en scène, la géométrie des lieux, le trouble du personnage sont d'une précision totale. Le réalisateur ne force jamais l'émotion, quitte à rester dans une certaine froideur. C'est d'autant plus fort.
La Septième Obsession
La force du film réside dans sa manière de filmer de bout en bout cette odyssée du désespoir avec une constante impassibilité apparente. Créant ainsi un perturbant effet de distance avec la tragédie qui se joue dans l’arrière-fond du cadre.
Libération
Tout l’intérêt de "Styx" réside dans ce côté série B, collant rigoureusement aux faits, s’appuyant sur des éléments sensoriels, travaillant les distances physiques, mettant en jeu l’invisible d’une manière très tangible, traitant un grand sujet d’actualité (notre responsabilité collective et individuelle face au sort des migrants) avec la précision d’un thriller.
Ouest France
Un film puissant, au suspense implacable.
Cahiers du Cinéma
Le film parvient à ne pas sombrer dans un exposé des raisons de chacun, en se cramponnant aux affects de son personnage, véritable héroïne non pas rongée par le doute mais emportée par la rage de son impuissance à agir seule.
Le Journal du Dimanche
À la fois athlétique et sensuelle, empathique et dépassée, sa comédienne livre une performance de haute volée.
Les Inrockuptibles
Du côté de la mise en scène, le long métrage a le mérite prendre le temps de contempler son propre dispositif de survival en deux temps, l’un individualiste et désiré, l’autre collectif et impromptu.
Première
La mise en scène joue intelligemment la carte du réalisme, donc de l’immersion. Le spectateur est sur les flots avec elle. Il y restera jusqu’au bout, bientôt impuissant et affolé face à cet autre bateau au loin sur lequel des migrants pris au piège attendent d’hypothétiques secours.
Télérama
Cette histoire, qui se voudrait un électrochoc, ne surprend guère, hélas. Mais le réalisateur crée une atmosphère froide qui ne peut laisser indifférent.
Critikat.com
Wolfgang Fischer fait sonner l’alerte quant à la nécessité d’une réelle considération politique de l’immigration, mais dans ce même geste passe par la mise en spectacle de son sujet.
L'Humanité
Ce film qui pèche un peu par sa froideur professionnelle et son systématisme s’humanise avec la découverte de l’altérité, notamment lorsqu’un jeune réfugié à bout de souffle est recueilli sur le voilier. Pourtant, subsiste l’impression d’un devoir de bon élève bien-pensant. Un peu ennuyeux donc.
La Croix
On cherche au générique la mention de la marque Stabilo Boss, tellement intentions et situations sont surlignées en permanence. Un cas d’école pour étudiants en cinéma.
Les Fiches du Cinéma
"Styx" s’abîme à vouloir étoffer son récit d’images d’un monde affreusement réel, et se transmue alors en une fade et problématique démonstration sur les cas de conscience et la lâcheté ordinaire, qu’une caméra froide comme Gorgone ne peut pas sauver.
Positif
Le scénario utilise trop de conventions et ne parvient pas à répondre aux questions posées.