Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Un film sur une société patriarcale en pleine mutation. Dévastateur et beau.
Culturopoing.com
par Séverine Danflous
Nana et Simon signent ici un beau portrait de femme, une femme qui rompt avec la famille traditionnelle et refuse de se laisser dicter ses choix par les convenances ou la morale grégaire.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Nana Ekvtimishvili et Simon Gross poursuivent leur collaboration pour un premier long métrage qui éclaire le parcours d’une femme en mouvement vers sa liberté dans la Géorgie patriarcale. Lumières subtiles.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
"Une famille heureuse", bel euphémisme, est le portrait sensible d’une mère courage, d’une femme au bord de la crise de nerfs, qui réapprend le bonheur de respirer, de lire, d’écouter de la musique et de contempler, depuis son balcon, le houppier des arbres, au printemps.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le poids de la famille, amplifié dans un pays à fortes traditions, face au désir de liberté d’une femme qui veut enfin vivre par et pour elle-même : un film géorgien, qui a valeur largement universelle.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Un film réaliste et sobre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Jérémy Piette
Un second long métrage en duo, subtil et beau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Dans cette histoire de séparation sans rancune, des angles morts s'éclairent, des blessures se réveillent. Et aussi, peut-être, des sentiments. Cet étonnant mouvement que décrit le film est empreint, de bout en bout, d'une très belle sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un bol d'air frais, drôle et émouvant, à la redécouverte de soi et de ceux qu'on aime.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Pour la réalisatrice comme pour son héroïne, la sensation d’être devenue étrangère à son pays offre la possibilité de le comprendre et de se comprendre.
L'Express
par Christophe Carrière
La force de ce film est de remettre en cause le principe de la norme "collé" au couple et à la famille.
La Septième Obsession
par Claire Micallef
La force d’"Une famille heureuse" est d’aller au-delà de la radiographie, réaliste mais jamais misérabiliste, de la situation de la femme géorgienne de la classe moyenne, pour témoigner d’une aspiration féminine universelle à « cultiver son jardin », à cesser pour un instant de n’être que mère, qu’épouse, que fille.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Assez de dérangement pour garantir un film vivant, émouvant et un poil ironique.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Dans ce film signé par un couple (...) les scènes de la vie conjugale, familiale, amicale ne produisent rien de plus que ce qu’elles produisent dans la vie ordinaire : des malentendus, des colères, des regrets, des fâcheries et des réconciliations. Les portes vers l’excès, et, a fortiori, la tragédie, restent résolument closes. Cette banalité dessine la limite du film, elle en fait aussi la force.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Nana et Simon déploient ici un portrait de femme puissant et subtil, aussi beau dans ses moments forts que faibles, magnifiquement porté par Ia Shugliashvili. Ode à l’émancipation d’une conception familialo-tribale d’un autre âge mais toujours très vivace, Une famille heureuse tresse superbement le local et l’universel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Bande à part
Un film sur une société patriarcale en pleine mutation. Dévastateur et beau.
Culturopoing.com
Nana et Simon signent ici un beau portrait de femme, une femme qui rompt avec la famille traditionnelle et refuse de se laisser dicter ses choix par les convenances ou la morale grégaire.
L'Humanité
Nana Ekvtimishvili et Simon Gross poursuivent leur collaboration pour un premier long métrage qui éclaire le parcours d’une femme en mouvement vers sa liberté dans la Géorgie patriarcale. Lumières subtiles.
L'Obs
"Une famille heureuse", bel euphémisme, est le portrait sensible d’une mère courage, d’une femme au bord de la crise de nerfs, qui réapprend le bonheur de respirer, de lire, d’écouter de la musique et de contempler, depuis son balcon, le houppier des arbres, au printemps.
Le Dauphiné Libéré
Le poids de la famille, amplifié dans un pays à fortes traditions, face au désir de liberté d’une femme qui veut enfin vivre par et pour elle-même : un film géorgien, qui a valeur largement universelle.
Le Figaro
Un film réaliste et sobre.
Libération
Un second long métrage en duo, subtil et beau.
Télérama
Dans cette histoire de séparation sans rancune, des angles morts s'éclairent, des blessures se réveillent. Et aussi, peut-être, des sentiments. Cet étonnant mouvement que décrit le film est empreint, de bout en bout, d'une très belle sensibilité.
Voici
Un bol d'air frais, drôle et émouvant, à la redécouverte de soi et de ceux qu'on aime.
Cahiers du Cinéma
Pour la réalisatrice comme pour son héroïne, la sensation d’être devenue étrangère à son pays offre la possibilité de le comprendre et de se comprendre.
L'Express
La force de ce film est de remettre en cause le principe de la norme "collé" au couple et à la famille.
La Septième Obsession
La force d’"Une famille heureuse" est d’aller au-delà de la radiographie, réaliste mais jamais misérabiliste, de la situation de la femme géorgienne de la classe moyenne, pour témoigner d’une aspiration féminine universelle à « cultiver son jardin », à cesser pour un instant de n’être que mère, qu’épouse, que fille.
Le Journal du Dimanche
Assez de dérangement pour garantir un film vivant, émouvant et un poil ironique.
Le Monde
Dans ce film signé par un couple (...) les scènes de la vie conjugale, familiale, amicale ne produisent rien de plus que ce qu’elles produisent dans la vie ordinaire : des malentendus, des colères, des regrets, des fâcheries et des réconciliations. Les portes vers l’excès, et, a fortiori, la tragédie, restent résolument closes. Cette banalité dessine la limite du film, elle en fait aussi la force.
Les Inrockuptibles
Nana et Simon déploient ici un portrait de femme puissant et subtil, aussi beau dans ses moments forts que faibles, magnifiquement porté par Ia Shugliashvili. Ode à l’émancipation d’une conception familialo-tribale d’un autre âge mais toujours très vivace, Une famille heureuse tresse superbement le local et l’universel.