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Votre avis sur Capone ?
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Jorik V
“Capone” est le genre de proposition cinématographique qui pourrait faire cas d’école tant on reste pantois devant cette œuvre particulière et, n’ayons pas peur des mots, ratée dans les grandes lignes. Pourtant le personnage mythique d’Al Capone. De surcroît incarné par Tom Hardy et avec le prometteur – à l’époque - Josh Trank (« Chronicle ») aux commandes, cela n’augurait que du bon de prime abord. Et c’est tout le contraire qui se produit avec ce film pénible, plat et qui se pare de ridicule plus d’une fois alors qu’on est prêt à parier que l’humour (même noir) ou le second degré n’étaient pas la volonté première de l’équipe. On retiendra tout de même une direction artistique de qualité et quelques scènes mémorables dans le bon sens mais c’est bien peu devant ce ratage dont on va expliquer les raisons.
D’abord la prestation de Tom Hardy, difficilement qualifiable. L’acteur a semble-t-il voulu se servir de la méthode des plus grands, celle de l’Actor’s Studio, pour se mettre dans la peau du plus grand gangster de tous les temps. Il devait visiblement viser un Oscar avec cette transformation extrême en un Fonz vieillissant et malade. On ne peut nier qu’il donne tout pour le rôle et qu’il n’a eu peur de rien. Incontinences, pets, filets de bave, regard hébété et grimaces incessantes jusqu’à un final en slip et peignoir où il ne ressemble plus à rien, cette prestation contredit clairement l’adage selon lequel il vaut mieux trop que pas assez. On ressent l’implication certes; et son jeu est impressionnant. Pourtant le grimage est trop intense, la composition est trop marquée et la direction d’acteur de Trank a dû être phagocytée par l’implication de son comédien principal en totale roue libre. Hardy fait peur dans tous les sens du terme et se vautre parfois dans le ridicule. Cette façon de jouer est poussée à son paroxysme et ne touche finalement pas du tout. Charlize Theron, pour « Monster » par exemple, était à la limite et s’en tirait avec les louanges. Là on hésite entre rire gêné et consternation parfois. Et il ne fait pas de doute que Tom Hardy ne laisse aucune place à ses partenaires de jeu.
L’autre souci de ce film, et non des moindres, est tout simplement son scénario et l’angle par lequel Trank a choisi de croquer ce personnage connu de tous. Le fait de choisir la dernière année de sa vie n’était pas la meilleure des idées puisque, malade et presque fou, Capone reste enfermé dans son immense villa, ruiné avec sa famille proche. Comme il ne se passe rien, tout « Capone » est focalisé sur les errements du personnage principal dans sa déchéance ou ses hallucinations sur le passé. Pas vraiment un film psychologique non plus (ou alors à côté de la plaque, tant on ne cerne pas plus l’homme, cela ressemble à une œuvre sur la fin de vie. Et finalement toutes ces rêveries et cauchemars n’aboutissent pas à grand-chose de concret ou qui permette de voir cet homme sous un autre jour. Il y a même des séquences absconses et des pistes narratives laissés en suspens qui nous perdent encore plus. Bref, on reste quelque peu pantois devant un tel naufrage et surtout on s’ennuie. Un film consternant par sa faculté à se tirer constamment une balle dans le pied et un spécimen rare dans son genre.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
D’abord la prestation de Tom Hardy, difficilement qualifiable. L’acteur a semble-t-il voulu se servir de la méthode des plus grands, celle de l’Actor’s Studio, pour se mettre dans la peau du plus grand gangster de tous les temps. Il devait visiblement viser un Oscar avec cette transformation extrême en un Fonz vieillissant et malade. On ne peut nier qu’il donne tout pour le rôle et qu’il n’a eu peur de rien. Incontinences, pets, filets de bave, regard hébété et grimaces incessantes jusqu’à un final en slip et peignoir où il ne ressemble plus à rien, cette prestation contredit clairement l’adage selon lequel il vaut mieux trop que pas assez. On ressent l’implication certes; et son jeu est impressionnant. Pourtant le grimage est trop intense, la composition est trop marquée et la direction d’acteur de Trank a dû être phagocytée par l’implication de son comédien principal en totale roue libre. Hardy fait peur dans tous les sens du terme et se vautre parfois dans le ridicule. Cette façon de jouer est poussée à son paroxysme et ne touche finalement pas du tout. Charlize Theron, pour « Monster » par exemple, était à la limite et s’en tirait avec les louanges. Là on hésite entre rire gêné et consternation parfois. Et il ne fait pas de doute que Tom Hardy ne laisse aucune place à ses partenaires de jeu.
L’autre souci de ce film, et non des moindres, est tout simplement son scénario et l’angle par lequel Trank a choisi de croquer ce personnage connu de tous. Le fait de choisir la dernière année de sa vie n’était pas la meilleure des idées puisque, malade et presque fou, Capone reste enfermé dans son immense villa, ruiné avec sa famille proche. Comme il ne se passe rien, tout « Capone » est focalisé sur les errements du personnage principal dans sa déchéance ou ses hallucinations sur le passé. Pas vraiment un film psychologique non plus (ou alors à côté de la plaque, tant on ne cerne pas plus l’homme, cela ressemble à une œuvre sur la fin de vie. Et finalement toutes ces rêveries et cauchemars n’aboutissent pas à grand-chose de concret ou qui permette de voir cet homme sous un autre jour. Il y a même des séquences absconses et des pistes narratives laissés en suspens qui nous perdent encore plus. Bref, on reste quelque peu pantois devant un tel naufrage et surtout on s’ennuie. Un film consternant par sa faculté à se tirer constamment une balle dans le pied et un spécimen rare dans son genre.
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ConFucAmuS
Étrange film que ce Fonzo, rebaptisé Capone pour le rendre plus accrocheur auprès du public. Sur le papier, le projet de Josh Trank s'inscrit dans une logique précédemment à l'œuvre sur des films tels que Cartel, Cogan ou The Irishman. Il s'agit de désacraliser la figure du gangster, exploser les coutures du biopic étincelant pour livrer une peinture sale et pathétique, sûrement plus en phase avec une réalité qu'on a tôt fait d'occulter au profit d'une légende plus vendeuse. Le titre original était bien plus parlant : on pénètre ici l'intimité du personnage, dans tout ce qu'elle peut représenter de repoussante et misérable. Nulle gloire à trouver dans la décrépitude d'un homme lentement dévoré par la maladie.
La note d'intention est claire. En fixant l'attention sur sa dernière année, Capone montre le célèbre criminel surnommé "Scarface" comme un animal blessé en cage. Une cage dorée certes (sa résidence luxueuse) mais dont la fonction ne trompe personne. Il erre au milieu de ces statues froides, de ces couloirs interminables. Jusqu'à ce que la géographie de cette maison fantôme épouse les recoins de sa mémoire labyrinthique, dans laquelle il s'égare en abrogeant à chaque virage les frontières avec le réel.
C'est une plongée déstabilisante, parfois absurde parfois désagréable. Aussi intéressante que soit l'approche adoptée par Tranks, elle se heurte à une limite toute simple : son histoire, finalement réduite au strict minimum. Ce qui a pour conséquence, une fois le dispositif et les intentions comprises (rapidement donc), de donner la sensation de trainer péniblement en longueur. Dans cette entreprise de démystification, la prestation de Tom Hardy, tout en grognements et yeux révulsés, peut aléatoirement toucher ou manquer. L'idée de mise en scène consistant à regarder le condamné se perdre dans les souvenirs et hallucinations aurait peut-être dû être transposé sur la totalité du métrage, puisque ce sont les moments les plus forts de Capone. L'idée de juxtaposer légende médiatique (radiophonique en l'occurrence) aux tristes réalités est également une très belle idée de mise en scène.
Hélas, ces instants de grâce n'empêchent pas le film de rester cantonner aux vastes divagations d'un mourant, à l'inverse d'un récit mieux construit autour de ces souvenirs et de leur poids sur la conscience fragilisée de l'homme.
La note d'intention est claire. En fixant l'attention sur sa dernière année, Capone montre le célèbre criminel surnommé "Scarface" comme un animal blessé en cage. Une cage dorée certes (sa résidence luxueuse) mais dont la fonction ne trompe personne. Il erre au milieu de ces statues froides, de ces couloirs interminables. Jusqu'à ce que la géographie de cette maison fantôme épouse les recoins de sa mémoire labyrinthique, dans laquelle il s'égare en abrogeant à chaque virage les frontières avec le réel.
C'est une plongée déstabilisante, parfois absurde parfois désagréable. Aussi intéressante que soit l'approche adoptée par Tranks, elle se heurte à une limite toute simple : son histoire, finalement réduite au strict minimum. Ce qui a pour conséquence, une fois le dispositif et les intentions comprises (rapidement donc), de donner la sensation de trainer péniblement en longueur. Dans cette entreprise de démystification, la prestation de Tom Hardy, tout en grognements et yeux révulsés, peut aléatoirement toucher ou manquer. L'idée de mise en scène consistant à regarder le condamné se perdre dans les souvenirs et hallucinations aurait peut-être dû être transposé sur la totalité du métrage, puisque ce sont les moments les plus forts de Capone. L'idée de juxtaposer légende médiatique (radiophonique en l'occurrence) aux tristes réalités est également une très belle idée de mise en scène.
Hélas, ces instants de grâce n'empêchent pas le film de rester cantonner aux vastes divagations d'un mourant, à l'inverse d'un récit mieux construit autour de ces souvenirs et de leur poids sur la conscience fragilisée de l'homme.
"Capone" est un film biographique sur les dernières années d'Al Capone. Un film plutôt intéressant, les acteurs jouent très bien mais par contre il manque beaucoup de rythme, de suspense et un film un peu long.
J'avoue que je ne comprends pas tellement les critiques et l'acharnement sur Tom Hardy, c'est un excellent acteur, il nous livre la une sacrée performance d'acteur sur un sujet qui n'avait pas été traité la fin de vie de Capone, il rentre parfaitement dans le personnage le casting qui l'entoure est excellent, on voit Capone sombrer petit à petit dans la folie, j'ai passé un excellent moment et je suis de plus en plus impressionné par cet acteur
Un vrais déchet cinématographique très déçu surtout que je l'attendais depuis longtemps ce film. Quand ont voit capone dans le film on croirait une caricature mal faites de capone on voit capone se chier dessus et se pisser dessus portant des couches c'est pas sa qu'on attend de voir quand on regarde un film sur capone , l'interprétation de Tom Hardy est médiocre il est loin derrière de l'interprétation de de Niro dans les Incorruptibles on ne comprend rien quand il parle heureusement que je l'ai vu en sous titré. On croirait vraiment un film de série B n'allez pas regarder ce film si vous voulez pas perdre 1h45 de votre vie.
Propulsé comme un réalisateur à suivre, Josh Trank, créateur du formidable Chronicle avait connu une vraie douche froide après l'accueil de son deuxième film "les 4 Fantastiques" qui se fit détruire par la critique et qui avait connu de gros problème de production.
Il est de retour 4 ans plus tard avec Capone. Il délaisse son genre de prédilection qu'est la science-fiction et réalise un film qui s'attarde sur la dernière année du célèbre criminel atteint d'une maladie grave. Une démarche surprenante, prenant à contre pied ceux qu'on aurait pu attendre de ce genre de film. Un démarche qui pourra en laisser certain sur la touche. Il désacralise le mythe de Al Capone, en essayant d'être au plus proche de sa psychologie et en en le mettant dans des situations dans lequel il est au plus bas. Il se concentre sur sa maladie, ses peurs, et fait preuve d'une inventivité assez folle pour retranscrire sa psyché sur quelques séquence. Ceci dis le film a du mal à trouver son rythme, ne sachant pas toujours sur ce qu'il veut se concentrer. Au niveau du montage, certains plans sont assez superflu. Tom Hardy, acteur que j'apprécie énormément, en fait des caisses, mais je trouve que cela lui va bien et j'y est cru à fond pendant tout le métrage. Vaut mieux sa voir à quoi s'attendre avant de voir Capone par risque d'être déçu mais dans ce qu'il fait, il le fait avec une vraie ambition et une démarche originale qui fonctionne.
Il est de retour 4 ans plus tard avec Capone. Il délaisse son genre de prédilection qu'est la science-fiction et réalise un film qui s'attarde sur la dernière année du célèbre criminel atteint d'une maladie grave. Une démarche surprenante, prenant à contre pied ceux qu'on aurait pu attendre de ce genre de film. Un démarche qui pourra en laisser certain sur la touche. Il désacralise le mythe de Al Capone, en essayant d'être au plus proche de sa psychologie et en en le mettant dans des situations dans lequel il est au plus bas. Il se concentre sur sa maladie, ses peurs, et fait preuve d'une inventivité assez folle pour retranscrire sa psyché sur quelques séquence. Ceci dis le film a du mal à trouver son rythme, ne sachant pas toujours sur ce qu'il veut se concentrer. Au niveau du montage, certains plans sont assez superflu. Tom Hardy, acteur que j'apprécie énormément, en fait des caisses, mais je trouve que cela lui va bien et j'y est cru à fond pendant tout le métrage. Vaut mieux sa voir à quoi s'attendre avant de voir Capone par risque d'être déçu mais dans ce qu'il fait, il le fait avec une vraie ambition et une démarche originale qui fonctionne.
Josh Trank qui a bien eu du mal à se remettre de l'échec des 4 fantastique risque de continuer à trainer son spleen avec ce film. Si l'idée aurait pu s'avérer intéressante en traitant les derniers jours de Capone, l'approche et son traitement laisse grandement à désirer, car malgré que le film ne soit pas spécialement long il traîne en longueur pour ne rien raconter au final, le montage n'est pas toujours adapté ce qui rend certaines scènes de démences de Capone parfois confuses et brouillonnes. Et même la réalisation en elle même est très mollassone et manque de personnalité. Tom Hardy propose un jeu pas toujours juste, à base de mimiques et de grognements. Pas totalement un biopic encore moins un film de gangsters il faut totalement mettre de côte les films de Scorsese et peut-être encore plus ceux de Palma comme Scarface, le chef-d'oeuvre l'Impasse et surtout les Incorruptibles, ou de Niro délivrait un Al Capone d'une toute autre trempe. Ce qui aurait pu être un excellent film sur un personnage devenue emblématique au file du temps s'avère une déception.
A ma gauche Tom Hardy, à ma droite Al Capone. La rencontre des deux aurait dû être tonitruante, elle n'en est que pitoyable.
Relater la dernière ligne droite du gangster le plus connu de tout les temps n'est au départ pas une mauvaise idée en soit, bien au contraire. On sent directement la volonté de Trank de vouloir inscrire le récit dans les conséquences de la vie du criminel, de son bilan à l'heure où elle s'achève. Entre regrets et nostalgie, on ne survole malheureusement uniquement sans vraiment creuser au plus profond, comme si en commençant à exploiter un sujet, on le balaye d'un revers de main quelques minutes après. Un ensemble de scènes fades (à l'exception de la séquence du flashback dans le sous sol) sans réelle corrélation entre elles comme s'il s'agissait d'un film malade, à l'image de son protagoniste principal. C'est un film qui ne raconte rien au final.
On en vient même à se demander si Tom Hardy a les épaules nécessaire pour supporter le poids d'un film à lui tout seul, tant son jeu d'acteur frise l'overdose comme la plupart de ses derniers films d'ailleurs. (acteur que l'auteur de ses lignes apprécie pourtant dans l'ensemble de sa carrière ).
Sur un postulat de départ intéressant, le récit s'effondre petit à petit pour nous plonger dans l'ennui le plus total.
Relater la dernière ligne droite du gangster le plus connu de tout les temps n'est au départ pas une mauvaise idée en soit, bien au contraire. On sent directement la volonté de Trank de vouloir inscrire le récit dans les conséquences de la vie du criminel, de son bilan à l'heure où elle s'achève. Entre regrets et nostalgie, on ne survole malheureusement uniquement sans vraiment creuser au plus profond, comme si en commençant à exploiter un sujet, on le balaye d'un revers de main quelques minutes après. Un ensemble de scènes fades (à l'exception de la séquence du flashback dans le sous sol) sans réelle corrélation entre elles comme s'il s'agissait d'un film malade, à l'image de son protagoniste principal. C'est un film qui ne raconte rien au final.
On en vient même à se demander si Tom Hardy a les épaules nécessaire pour supporter le poids d'un film à lui tout seul, tant son jeu d'acteur frise l'overdose comme la plupart de ses derniers films d'ailleurs. (acteur que l'auteur de ses lignes apprécie pourtant dans l'ensemble de sa carrière ).
Sur un postulat de départ intéressant, le récit s'effondre petit à petit pour nous plonger dans l'ennui le plus total.
Réelle déception. Le casting pourtant alléchant ne fait finement pas vibrer.... en cause, un scénario pauvre et une histoire qui manque cruellement d'intérêt. L'errance physique et psychique de capone est certes narrée mais il n'en ressort rien... pas même une émotion. Passez votre chemin
Regarder ce film c'est assister a la fin du célèbre gangster Al Capone alors cloîtré chez lui en Floride et incarné par un Tom Hardy en roue libre. En somme, rien de bien passionnant.
Bonjour à tous, j'attendais ce film impatiemment, amateur de film de gangster, ayant lu pratiquement toutes les biographie de mobster (lucky luciano, joseph bonanno, frank costello et j'en passe)
cette aparté qui pourrait avoir une influence sur ma vision du film, à défaut de la majorité d'entre vous.
ce film est donc disponible sur amazon a l'achat ou en location online, j'ai vu des notes globales très faible, et donc m'attendait, malheureusement a voir un film très mauvais, maigres une bande annonce et le style de Tom Hardy en Alphonse Capone que je trouvais très intéressants.
Calé dans mon canapé à Miami Beach, a quelques Miles de Palms Island, l'îles ou se trouve la fameuse maison, avec un cigare (oui obligé) je me suis lancé dans se film.
J'aime garder du suspense donc je ne savais pas qu'il était question de la dernière année de sa vie (que l'on apprend dès l'ouverture du film)
Du coup je me suis demandé de quoi allait parler le film, des flashback sans doute?
l'opulence qui caractérise Alphonse Capone, la démesure, un personnage sans peur, extrêmement faible physiquement, perdant sa lucidité, tout ces trais de caractères sont vraiment bien maîtrisés.
Contrairement à beaucoup de critiques je trouve le make up de Tom Hardy convainquant, toujours un cigar en bouche, oui évidemment , il n'y a rien de surprenant à cela.
beaucoup d'intensité, on se demande ou nous emmène se film, mais l'aventure est exquise.
M'interessant beaucoup à l'époque de la prohibition et à cette génération de gansgter (oui car la on est dans l'après prohibition) je n'ai rien trouvé d'improbable dans l'histoire du personnage.
Ce film ne fait pas l'éloge d'un mafieux en fin de vie, sans doute pour cela que beaucoup furent déçus.
Mon point de vue diverge de celui de nombreux d'entre vous, je respect votre vision de ce film, mais invite malgré tout à le voir. Je n'ai qu'une envie c'est d'un second visionnaire , j'attend simplement quelques jours afin d'en avoir une seconde lecture plus fraiche ( ce n'est pas quelques chose que j'ai l'habitude de faire)
J'ai dans la tête que ce film deviendra un grand classic du genre mafieux, et ai l'impression qu'il est mal perçu à ce jour, et que, comme un bon vin, il va prendre du corps avec les années.
amicalement
cette aparté qui pourrait avoir une influence sur ma vision du film, à défaut de la majorité d'entre vous.
ce film est donc disponible sur amazon a l'achat ou en location online, j'ai vu des notes globales très faible, et donc m'attendait, malheureusement a voir un film très mauvais, maigres une bande annonce et le style de Tom Hardy en Alphonse Capone que je trouvais très intéressants.
Calé dans mon canapé à Miami Beach, a quelques Miles de Palms Island, l'îles ou se trouve la fameuse maison, avec un cigare (oui obligé) je me suis lancé dans se film.
J'aime garder du suspense donc je ne savais pas qu'il était question de la dernière année de sa vie (que l'on apprend dès l'ouverture du film)
Du coup je me suis demandé de quoi allait parler le film, des flashback sans doute?
l'opulence qui caractérise Alphonse Capone, la démesure, un personnage sans peur, extrêmement faible physiquement, perdant sa lucidité, tout ces trais de caractères sont vraiment bien maîtrisés.
Contrairement à beaucoup de critiques je trouve le make up de Tom Hardy convainquant, toujours un cigar en bouche, oui évidemment , il n'y a rien de surprenant à cela.
beaucoup d'intensité, on se demande ou nous emmène se film, mais l'aventure est exquise.
M'interessant beaucoup à l'époque de la prohibition et à cette génération de gansgter (oui car la on est dans l'après prohibition) je n'ai rien trouvé d'improbable dans l'histoire du personnage.
Ce film ne fait pas l'éloge d'un mafieux en fin de vie, sans doute pour cela que beaucoup furent déçus.
Mon point de vue diverge de celui de nombreux d'entre vous, je respect votre vision de ce film, mais invite malgré tout à le voir. Je n'ai qu'une envie c'est d'un second visionnaire , j'attend simplement quelques jours afin d'en avoir une seconde lecture plus fraiche ( ce n'est pas quelques chose que j'ai l'habitude de faire)
J'ai dans la tête que ce film deviendra un grand classic du genre mafieux, et ai l'impression qu'il est mal perçu à ce jour, et que, comme un bon vin, il va prendre du corps avec les années.
amicalement
J'ai été absolument étonné de voir à quel point Capone était était tellement compliqué. C'était un désordre tellement complet. L'écriture était terrible car ce n'est même pas la faute des acteurs. La mise en scène était comme quelque chose qu'un étudiant de première année d'école de cinéma mettrait sur pied. Bien que Tom Hardy soit un grand acteur il n'avait tout simplement pas beaucoup de travail et il était en quelque sorte en train de bafouiller tout le film. Et le bourdonnement est probablement la meilleure description pour toute la production. Il n'y a aucune raison pour laquelle cela n'aurait pas pu être une histoire divertissante. Mais le réalisateur semblait avoir fait tout son possible pour saboter tout ce qu'ils touchait. A part la production qui était super. Et la fin était l'une des fins les plus mauvaise et aussi vraiment fictives que j'ai vues depuis très, très longtemps. C'était comme si ce réalisateur pensait qu'il était l'un des réalisateurs réalistes magiques mexicains. Ce film a été un échec épique à tous les niveaux...
Histoire intéressante sur les derniers jours d'Al Capone qui nous en apprend un peu plus sur le personnage, reste à savoir si cela est beaucoup romancé ou pas. Tom Hardy réalise là une prestation magistrale qui à elle seule augmente la note que je donne au film. Le reste est plutôt mou et ennuyeux par moments. J'aurais aimé voir plus de flashback sur ses grandes années. À voir une fois.
Génialissime!
La mise en abyme de la démence de Capone est un prétexte ingénieux pour qu'il soit lui-même spectateur de ses propres turpitudes.
OK au début on trouve gênant de voir la déchéance de ce génie du crime.
Mais il y a des scènes d'anthologie : spoiler: massacre à la mitrailleuse carotte au bec
, ou spoiler: rencontre sur scène avec Armstrong
, ou quand spoiler: il chante avec le lion en surimpression avec le lion du Magicien d'Oz
" Ouah!
Regard terrifiant de Tom Hardy sur son lit de souffrance.
Et Pavarotti qui sublime à maintes reprises.
Bravissimo!
La mise en abyme de la démence de Capone est un prétexte ingénieux pour qu'il soit lui-même spectateur de ses propres turpitudes.
OK au début on trouve gênant de voir la déchéance de ce génie du crime.
Mais il y a des scènes d'anthologie : spoiler: massacre à la mitrailleuse carotte au bec
, ou spoiler: rencontre sur scène avec Armstrong
, ou quand spoiler: il chante avec le lion en surimpression avec le lion du Magicien d'Oz
" Ouah!
Regard terrifiant de Tom Hardy sur son lit de souffrance.
Et Pavarotti qui sublime à maintes reprises.
Bravissimo!
De 2010 à 2020, Tom Hardy parait être gagnè par une boulimie de rôles, en particulier des hommes sauvages! Dans "Capone", il obtient le rôle titre du cèlèbre gangster dans la trouble et dure dernière annèe de son existence! Le projet intèresse et il a longtemps ètè mis en avant comme l'un des plus ambitieux de la dècennie! La sinistre sortie du film en VOD (confinement oblige) n'a malheureusement pas arrangè les choses. "Capone" (2020) est un ratage total avec une prestation très borderline de Tom Hardy rèduit à la caricature et au grimage! Un Capone aussi lourd qu'une sulfateuse en or! Filmer le poids du temps avec ces tourments (jusqu'au bord de la mort) n'est pas une mince affaire! Mais l'image est un peu trop parodique pour que l'on y adhère! Ça grogne, ça gèmit, ça pète! On n'est pas très loin du degrè zèro de la dèchèance physique! Et pourtant il y a une certaine fascination à suivre son calvaire, notamment dans une scène fameuse avec Matt Dillon! Cinq minutes intenses, le reste est assez long et ennuyeux...
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