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Votre avis sur Le Reveil de la sorciere rouge ?
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le réveil de la sorcière rouge. Bcp de liens, aucun n'est utilisable ! Ici, naturellement, en payant ! Je me demande où part l'argent ? A un gros riche ? Même pas vers les intéressés du film ! Ups ! C'est nul. vraiment l'internet et ses combines ! Rien ou pas grand chose de positif. . . J'espère que je n'ai pas choqué. En disant simplement ma pensée. . .
Parmi les films les plus estimés par John Wayne, « Le Réveil de la Sorcière Rouge » accuse aujourd’hui son âge. Au-delà des procédés de trucages dépassés qui doivent être acceptés lorsqu’on visionne ce type de films, c’est la narration alambiquée et la platitude de la réalisation qui empêchent l’entreprise d’acquérir un véritable souffle. Comparé au travail d’un Cecil B. DeMille par exemple capable de mêler fresque romantique et aventure trépidante, Edward Ludwig finit par s’enliser dans le drame sentimental trop bancal pour emporter l’adhésion.
Si certaines séquences sont particulièrement réussies, voire poétiques par moments, et si les personnages ont une véritable ambiguïté, le récit manque de limpidité pour s’apparenter à la tragédie qu’il voudrait être. Trop « premier degré » dans ses intentions, il agace parfois par sa naïveté et son incapacité à conserver une certaine profondeur qu’il effleure par moments.
Les flashbacks maladroits et les motivations nébuleuses de chacun des personnages font que le film reste un honnête divertissement qui ne parvient pas à se hisser à la hauteur de ses ambitions. C’est dommage notamment pour John Wayne qui montre ici qu’il n’était pas uniquement à son aise un colt enfoncé dans son ceinturon.
Si certaines séquences sont particulièrement réussies, voire poétiques par moments, et si les personnages ont une véritable ambiguïté, le récit manque de limpidité pour s’apparenter à la tragédie qu’il voudrait être. Trop « premier degré » dans ses intentions, il agace parfois par sa naïveté et son incapacité à conserver une certaine profondeur qu’il effleure par moments.
Les flashbacks maladroits et les motivations nébuleuses de chacun des personnages font que le film reste un honnête divertissement qui ne parvient pas à se hisser à la hauteur de ses ambitions. C’est dommage notamment pour John Wayne qui montre ici qu’il n’était pas uniquement à son aise un colt enfoncé dans son ceinturon.
selenie
Le film joue surtout sur la carte de l'exotisme et de l'aventure coloniale avec ce côté suranné qui ajoute aux charmes de l'ensemble. L'histoire se déroule entre deux mondes, la piraterie qui se modernise déjà et le colonianisme encore sous-jacent avec au milieu un aventurier pris au piège de l'amour. Le scénario est plutôt bien troussé, bien aidé par un montage qui permet de garder notre intérêt et ce, même si l'intrigue est peu légère puisque le pourquoi du comment de la "vengeance" manque un peu de puissance et de densité. Néanmoins Edward Ludwig signe peut-être son meilleur film grâce à plusieurs séquences marquantes comme les scènes sous-marines et, surtout, une fin inattendue.
Site : Selenie
Site : Selenie
C'est un classique qui restera pour l'èternitè labellisè « film prèfèrè de John Wayne » . Des Marquises aux Cèlèbes, De Sumatra aux Hawaïs, la paix idyllique et la beautè du Pacifique Sud restèrent intactes des siècles durant! Mais l'homme blanc arriva, mit le tout dans sa poche et s'attacha à le vendre! Ses grands empires commerciaux tel la Batjak Limited, appartenant aux Hollandais Mayrant Sydneye, s'infiltrèrent partout, affamès, avides et exigeants!
spoiler:
C'est en l'an 1860 que Sam Rosen s'enfuit à bord de la Sorcière Rouge, navire amiral de Batjak Line, sous le commandement du capitaine Ralls incarnè ètonnamment par le « Duke » . Les yeux de ce dernier semblaient chargès d'un mystère! il suscitait loyautè et dèvotion chez ceux qui le servaient!
Rèalisè en 1948 par Edward Ludwig qui signait là l'un de ses meilleurs longs, cet exercice d'aventures maritimes garde pour lui l'innocence de son èpoque coloniale et un arrière-goût de dèjanterie feutrèe toujours inattendu! Les scènes sous-marines dans le final peuvent être considèrèes à juste titre comme les plus fascinantes de l'histoire du cinèma...
Rèalisè en 1948 par Edward Ludwig qui signait là l'un de ses meilleurs longs, cet exercice d'aventures maritimes garde pour lui l'innocence de son èpoque coloniale et un arrière-goût de dèjanterie feutrèe toujours inattendu! Les scènes sous-marines dans le final peuvent être considèrèes à juste titre comme les plus fascinantes de l'histoire du cinèma...
NeoLain
John Wayne en marin qui par sa propre volonté coulera un navire qu'on lui prête et qui se nomme La Sorcière Rouge. La raison de cela ? je vous laisse le réveil de visionner le film. L'histoire est un peu molle et ce qui reste à flot dans l'esprit, une bagarre avec une pieuvre et la fin,
spoiler:
le personnage de Wayne meurt.
Autant dire que c'est rare de voir spoiler: mourir John Wayne
das un film. Vous retrouverez l'actrice Gail Russell (L'Ange et le Mauvais Garçon), qui joue a nouveau avec l'acteur.
Autant dire que c'est rare de voir spoiler: mourir John Wayne
das un film. Vous retrouverez l'actrice Gail Russell (L'Ange et le Mauvais Garçon), qui joue a nouveau avec l'acteur.
weihnachtsmann
Film passion, romantique et exotique. Quelques scènes intéressantes mais dans l'ensemble assez confus à cause des retours dans le passé. Mais des décors sympas et un peu d'aventure. La sorcière rouge est un navire et non un spectre qui ravirait les amateurs de frisson.....à signaler également que l'on voit pour l'unique fois (je pense) John Wayne en scaphandrier!!!!!!!!!
Revoir " le réveil de la sorcière rouge " c'est ouvrir les portes sur un monde évanoui, celui des films de studio à la réalité tapageuse, au romantisme infini ... Dans ce chef d'oeuvre du film d'aventures au noir et blanc sublimé par une photographie hors du temps, John Wayne interprète un héros tourmenté, prisonnier d'un amour intemporel et habité par l'océan dont la force nous poursuit encore bien après la vision du film ... " Le réveil de la sorcière rouge " invite au bonheur, au voyage, à l'illumination .
C'est une oeuvre sublime, une libération mélancolique !
Ce film me hante ...
C'est une oeuvre sublime, une libération mélancolique !
Ce film me hante ...
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