Avis : Doctor Strange in the Multiverse of Madness - Page 2

Un très bon Marvel qui fera plaisir au fans de la première heure si vous avez aimé Doctor Strange 1,Wanda Vision et Spider-Man No way home y a de forte chance que celui ci soit dans la même lignée en terme d’attente de plus la pâte artistique de Sam Raimi ce fait énormément ressentir un mélange parfait entre le magies et l’horreur un film à fort foncé 😁

Le film part dans tous les sens. Le multivers semble être la carte de Marvel pour ne plus se soucier d'un scénario bien mener...

Très bon film! Un Marvel qui m'a particulièrement plu, plus que les autres. Les effets spéciaux sont toujours aussi époustouflants et omniprésents dans cet opus. Contrairement à tous les autres Marvel, Doctor Strange 2 est plus sombre, plus dark et à parfois une réalisation qui frôle l'horreur et c'est une très bonne chose. Quelques scènes pourront cependant choquer les plus jeunes ou les plus sensibles. Le point faible du film est la complexité du scénario: il est bon mais on se perd trop rapidement et pour le comprendre on est quasiment obligé d'avoir vu Wandavision. On ne comprend pas certaines scènes et nous n'avons pas d'explications pour nous éclairés. Ça reste malgré cela un Marvel qui est très bon en beaucoup de points et je le conseille.

Nullissime, ou alors c'est moi qui comprend plus rien... déjà si on a pas vu la série Wanda c'est difficile à suivre , en plus on mélange tous les personnages du tout Marvel, c'est de la sur enchère, on est parti avant la fin .

J'avais de plus en plus de mal avec les Marvel, mais là... C'est le fond.
C'est nullissime, long de tenir jusqu'à la fin (d'ailleurs des gens se sont endormis dans la salle). Le scénario est inexistant, ca n'a ni queue ni tête... A fuir absolument

très déçu.... les 30 premières minutes très bien mais tout le reste du film nul.
Om dirais un vieux film d'horreur, avec un très mauvais jeux d'acteurs les combats sont très mal réalisés et il y en a trop enfin bref décevant surtout qu'on n'est en 2022

Dans cette suite des aventures de Doctor Strange, le magicien voyageur temporel n’échappe pas à la platitude et au manque de consistance de son scénario. Sous son tourbillon d’effets spéciaux et d'univers parallèles, le film ne laisse qu’un spectacle sans véritable enjeux dont on retient avant tout des dialogues creux et des séquences trop longues.

Avec Docteur strange 2, Marvel change carrément de ton. Le premier film du MCU à caractère sombre et horrifique, on adore et on en veut plus des comme ça ! Très bonne réalisation de la part du cher Sam Raymi, on reconnaît bien là sa touche de l'horreur. Pour ma part, quelques déceptions suite aux '' caméos annoncés ". Cela n'en reste pas moin divertissant et assez badasse dans l'ensemble.

Décidément Disney détruit vraiment tout ce qu'il rachète. Caricature insipide sans réelle histoire, sans enjeux... Les premiers Marvel épiques sont tellement loin...

Déçu de Sam Raimi pour le coup. Le scénario en plus d'être anxiogène et dégueulasse, il manque cruellement de fond avec des enjeux absolument pas crédible.

Je défends souvent les films de MCU, mais là je dois dire que je suis très déçu par ce film. Le scénario est vide de sens, plus de 2h de film où finalement il ne se passe absolument rien, surtout quand on découvre le dénouement du film. Le choix de trajectoire pour Wanda est une déception surtout quand on voit son évolution tout au long du MCU.

C’est une réalisation de Sam Raimi pour le personnage créé par le dessinateur Steve Ditko et le scénariste Stan Lee en 1963. Il reprend le flambeau de Scott Derrickson qui avait laissé le projet suite à un différend créatif.


Quelques mois après Spider-Man: No Way Home qui avait été un phénomène absolu, le MCU est de retour. Cette fois, c'est pour le second film solo consacré au Doctor Strange. L’univers connecté Marvel est de plus en plus riche. Forcément, afin de mieux comprendre les enjeux, il est préférable d’avoir des connaissances sur les films et séries Marvel. Pour ce 28e film de l'univers cinématographique Marvel et le 5e de la phase IV, il est préférable d’avoir vu EndGame, mais aussi Spider-Man: No Way Home ainsi que les séries WandaVision et Loki. Alors attention si vous n’avez pas vu tout cela, vous ne serez pas perdu, mais cependant, il est important de noter que vous n’allez peut-être pas profiter pleinement de toutes les capacités de ce film. Qu’on se le dise Marvel à frapper un très gros coup.

Il est souvent reproché au MCU d’avoir des films stéréotypés se ressemblant trop. C’est un reproche qu’on ne pourra pas faire à Doctor Strange in the Multiverse of Madness. En effet, on note la pâte Sam Raimi. Le réalisateur qui nous avait déjà concocté la première saga Spider-Man de 2002 à 2007, reprends un malin plaisir à s’occuper de l’univers Marvel. Sa réalisation est pleine de caractère. Pour ceux qui ne supportent pas l’humour parfois mal dosé dans cette franchise, cette fois-ci cela ne va pas être le cas. Au début, il y a quelques points d’humour bien senti, mais plus le film va progresser plus le ton va être sérieux. Il y a véritablement une atmosphère mystique qui s’installe au fur et à mesure que l’on découvre le multivers. Le cadrage et la photographie vont tendre jusqu’au style horrifique. Entre le dynamisme marqué de certaines séquences, et une image sombre, c’est une expérience nouvelle pour Marvel le plus sombre. Tout cela sans compter un certain degré de violence dans les affrontements. Pour notre plus grand plaisir, la bande originale est aussi magistrale. Tout cela fait qu’on est très facilement envoûté par le contenu proposé.

Il est difficile de s’ennuyer durant ce film. Il n'y a pas de temps mort. L’histoire va être très intéressante en explorant la psychologie de différents personnages-clés de l’univers Marvel. Sans surprise, sont mis en avant le Docteur Strange et Wanda. Il est donc intéressant de voir comment leur mal-être va être exploité pour créer l’intrigue. En plus de cette trame où deux figurent fort se confrontent, on a aussi beaucoup de diversité. Déjà avec l’arrivée de nouveaux personnages comme America Chavez et d'autres surprises. Puis grâce au potentiel infini du multivers. Celui-ci va nous permettre d'explorer des contrées aussi mystérieuses que dangereuses. On sent un énorme travail pour avoir donné vie à ses différentes versions de la Terre. Tout cela en restant très simple de compréhension. Il manquera peut-être uniquement un final de grande intensité. Celui proposé est fort, mais pas aussi grandiose qu’on aurait aimé.




Encore une fois Benedict Cumberbatch excelle dans ce rôle. Plus les films passent plus son personnage prend du volume. À savoir que c’est son sixième après Doctor Strange, Thor : Ragnarok, Avengers : Infinity War, Avengers: Endgame et Spider-Man: No Way Home. Elizabeth Olsen est tout aussi exceptionnel. Elle nous offre plusieurs passages déchirants. Ce n'est pas toujours que le MCU permet d'avoir des émotions fortes concernant des histoires personnelles des personnages. C’est donc d’autant plus une satisfaction que ces deux acteurs soient pleinement exploités. On ne peut qu’être ravi de revoir Chiwetel Ejiofor, Benedict Wong et Rachel McAdams. La grande révélation est Xochitl Gomez. La jeune Américaine d’origine mexicaine représente sûrement le futur du MCU.

Il s'agit du 28e film de l'univers cinématographique Marvel et le 5e de la phase IV Le réalisateur du premier opus, Scott Derrickson, exprime lui son envie de continuer l'aventure et ambitionne de faire une suite à la manière de The Dark Knight : Le Chevalier noir Scott Derrickson évoque l'idée d'utiliser Nightmare comme antagoniste le tournage est repoussé en raison de la pandémie de Covid-19 et débute le 4 novembre 2020 à Londres sous le titre de travail de Stellar Vorte Des scènes seront par ailleurs ensuite tournées à New York, Los Angeles et Vancouver le compositeur danny elfman retrouve sam raimi apres darkman la trilogie spiderman et du monde fantastique d oz
une bonne suite pour le docteur strange

De simplement évoqué dans le premier Doctor Strange, le multivers est devenu le subterfuge rêvé pour faire rebondir le Marvel Cinematic Universe. Le concept fut largement exploité dans Spider-Man : No Way Home et la série Loki ou What if..., ne restait plus qu'à le renvoyer à son instigateur tel un boomerang. C'est chose faite avec Multiverse of Madness, voyant le cher Stephen Strange se confronter aux conséquences de cette porte ouverte sur de multiples dimensions parallèles.

La première d'entre elles, c'est voir Scott Derrickson, réalisateur transparent du premier volet, se faire gentiment pousser vers la sortie pour "différends créatifs" comme on dit poliment. Apparemment, Derrickson ne s'accordait plus aux critères Marvel (!) qui est donc allé chercher...Sam Raimi, réalisateur des Evil Dead et évidemment Spider-Man, pas du genre à servir de prête-nom pour aller roupiller derrière les moniteurs. Où trouver une logique autre que commerciale ? Étonnamment, Raimi retourne les choses à son avantage. En partie.

Que vous ayez suivi assidûment ou non les productions Marvel sur grand écran ou Disney +, soyez rassurés. Aucun risque de ne pas comprendre quelque chose puisqu'il n'y a pas grand chose à comprendre de toute façon. Qu'on aime ou pas cette giga-franchise, on ne peut lui contester sa grande absurdité sur le plan scénaristique. Le raisonnement de Sam Raimi est donc le suivant : plutôt que de s'épuiser à le combattre, pourquoi ne pas l'embrasser ?

Vous retrouverez donc les tics habituels : personnages négligeables, histoire écrite sur un coin de nappe et effets visuels baveux. Des précisions ? En dehors d'Elizabeth Olsen (qui trône sur le film) et Bennedict Cumberbatch, les autres comédiens/-nes n'ont rien ou presque rien à défendre. À part Rachel McAdams, ils ne se forcent pas non plus, par exemple Xochitl Gomez, Benedict Wong. Ajoutons les quelques invités dont la présence (justifiée, pour une fois) est rigide, en décalage, pas du tout synchrone. En ce qui concerne le festin numérique, il est à la fois bourratif et pas très nourrissant (beaucoup d'incrustations vilaines). Pendant la première heure, c'en est presque douloureux tant le génie de Raimi semble grippé. On discerne quelques idées au détour d'une énucléation rigolote ou d'un historique en fondus enchainés, mais c'est encore timide. Trop pour masquer le script bébête. Effectivement, il se réservait pour la deuxième moitié.

Le rôle d'un auteur chez Marvel ? Se taper l'organisation de la fiesta (traduction : les séquences dialoguées peu engageantes) pour être congédié au moment où elle commence. Un secret de polichinelle, les scènes d'action sont confiées à une seconde équipe qui les met en boîte en parallèle du tournage principal. C'est l'inverse ce coup-ci, comme pour le récent Shang-Chi. Sitôt que la partie exposition/références est dépassée, Raimi rappelle qui est à la barre et accélère. Le montage alterné a quelques limites mais on retrouve davantage le style foufou, les travellings débullés (avec la caméra inclinée), les gros plans furieux et la louche de gore (vous avez bien lu). D'un coup, Multiverse of Madness redevient la chose de son auteur, de la série Z cradingue assumée qui envoie des scènes exaltées (un combat musical). Une permutation inespérée, presque à même de racheter cette première heure laborieuse. Dernièrement, et sans prévenir, ce Doctor Strange 2 nous offre un antagoniste bouleversant comme on en avait plus vu depuis...le Bouffon Vert incarné par Willem Dafoe. Tout homme de spectacle qu'il est, Raimi a bien conscience que l'affect pour le personnage se doit d'être proportionnel à la menace qu'il représente. Il lui offre un conclusion qui risque d'en émouvoir plus d'un.

Les craintes étaient là. Certaines se sont révélées exactes. Mais d'autres ont été tenues en respect sur la simple foi en la mise en scène. En injectant son goût de l'insolite et du déviant, il rattrape ce qui n'aurait pu être qu'un volet de plus dans la longue litanie de productions futiles. Dans l'absolu, c'est déjà bien. On a pas à se contenter d'un film tenant à peine sur ses appuis, on peut en revanche se contenter d'un film boîteux signé Sam Raimi.

Cinq fans du MCU rentrent dans une salle de cinéma. Ils sont fervents fans du Docteur depuis son introduction en 2016. Deux heures et six minutes plus tard, cinq fans du MCU sortent d'une salle de cinéma. Dépités, dégoutés, cela faisait longtemps qu'ils n'avaient pas vu de si bonnes idées gâchées par un si mauvais scénario, une si mauvaise réalisation, une si mauvaise post-production.

Ce film est globalement un paradoxe de qualité. On alterne entre des scènes fulgurantes de très bon effets spéciaux, de plans magistraux, de cuts permettant des contrastes entre les situations de plusieurs personnages spoiler: (Wanda mère et Wanda sorcière se relevant simultanément, la caméra suivant en alternance entre les frames les deux personnages, masterclass)
pour ensuite arriver à des scènes plates, inutilement longues, des transitions au montage qui m'ont donné une soudaine envie de quitter la salle et d'invoquer le droit au remboursement de la future opération de mes rétines détruites après le visionnage d'une telle chose. Et entre les plans grandioses et le montage dégueulasse, dans les limbes, se situe la CGI.

Une CGI atteinte, pour on ne sait quelle raison, d'un dédoublement de la personnalité prononcé, alternant entre le mémorable et l'oubliable. Pour la faire simple, le passage dans le multivers (là est tout le centre du film), est un chef d'œuvre artistique et créatif. Et puis on continue le film. Et on voit des effets pas ouf, mais qui font le taff. La seule question que je me suis posé, c'est: "C'est vraiment les gars qui nous ont pondu Thanos qui nous font ça?"

Heureusement, heureusement, le "combat" final -qui ressemble plus à une séance de psy saupoudrée de cassage de gueule- contre l'antagoniste principal du film (Spoil: spoiler: Wanda
) est globalement assez réussi surtout, dédicace spéciale, pour les effets spéciaux du Docteur.

Enfin, car il faut terminer de creuser la tombe de ce "chef d'œuvre" selon certains fans, parlons du point névralgique, parlons de l'objet de toutes discordes, parlons du scénario. Et plutôt que du scénario parlons de l'écriture, que nous allons couplé avec la post-prod et le montage.

Comment, peut-on, avec un scénario si facile à faire et à reproduire (on parle du MCU les gars, pas d'un Fincher, gentils contre méchants, point barre), comment peut-on rater un scénario comme ça? En gros, le film va dans tout les sens, le montage place la tension là où elle est inutile, oublie comment on introduit des personnages, et plus que ça, se permet d'oublier des personnages. On nous introduit une mioche inutile à part qu'elle a un pouvoir, celui de voyager entre les dimensions.

Pourquoi devoir introduire un élément si crucial à l'histoire avec un personnage si plat? Même le médaillon de Docteur Strange a plus de personnalité et de profondeur que "America" (oui, ils ont appelé la gosse "America", oui oui). Pourquoi ne pas s'être contenté d'utiliser un objet pour ça, et pas un personnage, si c'est pour le rater? Et si on parle d'objet à atteindre, pourquoi est-ce qu'on nous a fait chier avec un bouquin dont tout le monde se branle, mettant l'accent sur un élément qui spoiler: disparaît immédiatement après être atteint par les protagoniste?
pour ensuite aller un peu n'importe où, de nous parler de je ne sais quoi, de faire planer un élément crucial (plot twist: son petit cœur tout fragile) du Docteur tout en le mettant en arrière plan immédiatement après.

Car oui, je parlais de tension, et de mettre l'accent sur certains éléments. Dans un monde parfait, dans une autre réalité, ce film réussit à mettre l'accent où il le faut, quand il le faut. Le film regorge de bonnes idées, mais comme moi en soirée, de bonnes idées tout le temps quand on est pas en état de les mettre en place, ça fait de la merde. Comme l'introduction du fan service (vous comprendrez si vous regardez cette bouse), comme les combats, ça fait de la merde.

Je hais ce film. Je le hais car il s'inscrit dans la suite logique de la foirade désastreuse qu'est la partie IV du MCU, à faire des films bateaux et oubliables au possible, à faire un caca absolu en y rajoutant le nom de Doctor Strange en étiquetage sur le navet moisi qu'est ce film. Je hais ce film car si je n'avais pas les références, je ne comprendrais pas qui est qui. Je hais ce film pour être un épisode d'une série géante qui commence à battre des ailes de manière incertaine comme Game Of Thrones l'a fait, se crashant dans une écriture voulant uniquement faire marcher la boite à billets dans un monde où le terme blockbuster veut juste dire horreur cosmique cachée sous les traits d'un film. Je hais ce film, je hais ce film de tout mon cœur. En sortant de la salle, je voulais aller au repaire des potes sorciers du Docteur Strange pour apprendre comment botter le cul d'une industrie du cinéma qui me dégoute. Je hais ce film, je veux en pleurer des larmes de sang.

Ceci dit, c'est n'est que mon avis. Un avis d'un seum extrême, oui, mais un avis quand même. Je ne recommande absolument pas ce tas de boue qu'est Doctor Strange In the Multiverse Of Madness, point final. Heureusement, si le Multivers existe, il y a une réalité où à la place de pondre cette critique plus salée que la Mer Morte, je suis ébahit devant le chef d'œuvre qu'est la version de cette réalité de ce film. Mais ça, on ne peut que le rêver.