Doctor Strange in the Multiverse of Madness : Critique presse
Doctor Strange in the Multiverse of Madness
Note moyenne
3,2
32 titres de presse
L'Ecran Fantastique
Mad Movies
20 Minutes
CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
Filmsactu
Franceinfo Culture
IGN France
LCI
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Journal du Geek
Public
Télé 7 Jours
Cahiers du Cinéma
Elle
GQ
La Voix du Nord
Le Monde
Le Point
Première
aVoir-aLire.com
Critikat.com
Le Parisien
Les Echos
Les Fiches du Cinéma
Libération
Mad Movies
Positif
Télérama
Les Inrockuptibles
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Loin d’être une succession sans âme de morceaux de bravoure – et pourtant ils sont légion ! – le film s’attarde à traquer les douleurs et les failles de Strange.
Mad Movies
par Alexandre Poncet
POUR - Si les premières minutes sont enchaînées à la formule du MCU, le cinéaste détourne les figures imposées pour mieux ressusciter le cinéma qui l'a fait connaître.
20 Minutes
par Caroline Vié
Tout le monde peut se régaler avec ce divertissement réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Complètement fou, bombardé de moments gores, Doctor Strange in the Multiverse of Madness propose aux fans de partager une expérience psychédélique tâchée d’hémoglobine. Mention spéciale à Elizabeth Olsen, dont le personnage de la Sorcière Rouge s’impose comme le plus inoubliable du film. Enfin, c’est notre avis.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Multiverse of Madness démontre que les super-héros Marvel ont encore des territoires inconnus à aller explorer, et que Sam Raimi a toujours le feu sacré.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Alors qu'on n'attendait plus grand-chose du MCU, Doctor Strange in the Multiverse of Madness parvient à surprendre. Sam Raimi n'est pas en pleine possession de ses moyens, mais il résiste face à la machine, et signe le volet de la saga le plus fun et inspiré depuis très longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Si tout n’est pas parfait dans Doctor Strange in the Multiverse of Madness, le film est néanmoins très réussi et offre un spectacle dantesque qui devrait à la fois satisfaire les fans du réalisateur d’Evil Dead et ceux du MCU.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Camille Belsoeur et Tristan Alirezai
Vingt ans après son Spider-Man culte, Sam Raimi apporte au MCU son savoir-faire et une touche de cinéma d'horreur tout en respectant la cohérence des 27 films précédents.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
IGN France
par Erwan Lafleuriel
Une belle maitrise du multivers pour un scénario beaucoup plus intime qu'on ne l'imaginait, mais qui a du mal à faire passer l'émotion. La patte de Sam Raimi renforce l'ensemble du film.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
LCI
par Delphine De Freitas
Sam Raimi signe un film généreux, sombre et bluffant quand il s’agit de mettre en images le multivers.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Car si Multiverse of Madness reste relativement sage sur les mondes parallèles, le film lâche la bride sur la réalisation. Sam Raimi enchaîne les trouvailles visuelles et les plans marquants avec un plaisir communicatif.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Raimi offre au public un grand 8 vertigineux et pop, bardé d’action et gorgé d’effets numériques visuellement incroyables. Lui seul sans doute était capable de marier la magie avec la science-fiction dans un divertissement, parfois incompréhensible, mais tellement jubilatoire!
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Véritable surprise à bien des égards, Doctor Strange in the Multiverse of Madness est une réussite. Devant la caméra de Sam Raimi, le Marvel Cinematic Universe arbore une nouvelle teinte : celle du sang. Si le curseur aurait pu être poussé plus loin, l’incursion du cinéaste dans la franchise bénéficie d’une singularité que l’on peut saluer.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Public
par La Rédaction
Ce nouveau volet légendaire repousse les limites du multiverse encore plus loin !
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Un spectacle de haute volée.
Cahiers du Cinéma
par Philippe Fauvel
Le premier volet de Doctor Strange était sans doute trop kaléidoscopique pour convaincre, avec toutes ses chaussetrappes et l’ironie permanente du neurochirurgien désabusé. Ce Multiverse of Madness a plus de tenue, il inquiète, surprend, amuse aussi (on s’y questionne : Spider-Man tisse-t-il ses toiles avec son trou de balle ?).
Elle
par Tanneguy de Kerpoisson
« Doctor Strange 2 » est un film opaque et violent, bourré de défauts mais visuellement impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
GQ
par Adam Sanchez
Ni totalement décevante ni incarnée de bout en bout, cette super-production ne manquera pas une nouvelle fois de faire sensation dans les milliers de salles de cinéma où il sera diffusé à travers le monde.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Discret depuis presque dix ans, le réalisateur d’une mémorable trilogie « Spider-Man » mais aussi d’une saga gore culte (« Evil Dead ») met son grain de folie dans le dernier-né de l’écurie Disney-Marvel. La suite de « Doctor Strange » trouve sa propre identité, surprenante. Plutôt bien vu !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Mathieu Macheret
Certes, Doctor Strange in the Multiverse of Madness ne révolutionnera pas le blockbuster façon Marvel. Mais sa petite touche d’excentricité fait du bien. Elle réintroduit une once de prototypage dans une chaîne de production qui semblait jusqu’alors indéfectiblement verrouillée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Philippe Guedj
Baptisée « In the Multiverse of Madness », cette suite laisse miraculeusement visible la patte du réalisateur culte, malgré un écrasant cahier des charges.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Sylvestre Picard
Sam Raimi a bien réussi à imprimer sa patte au nouveau superfilm du MCU, même s‘il ressemble à l’arrivée à un super gros épisode de Rick et Morty.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si l’on éprouve au bout d’un moment une certaine exaspération face à la profusion de couleurs et de lumière, la narration finit par emporter le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Seules quelques séquences laissent entrevoir le film qu’aurait pu être ce Doctor Strange sans le pesant cahier des charges imposé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par La Rédaction
Le Multivers englobe tellement de dimensions, que les personnages traversent parfois à toute allure, que l’intrigue est difficile à suivre. Restent, dans ce déluge d’effets spéciaux, quelques moments où le réalisateur, le grand Sam Raimi, parvient à faire ressentir sa "patte", et la belle prestation d’Elizabeth Olsen, toujours inspirée dans le rôle de Wanda Maximoff.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
« Doctor Strange 2 » est essentiellement un parc d'attractions audiovisuel où Benedict Cumberbatch mime des mouvements de tai-chi pour pourfendre ses adversaires d'images de synthèse. Un film qui vient s'ajouter à la saga Marvel. Un de plus.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Après plusieurs films réussis, la franchise Marvel se prend les pieds dans la cape du Doctor Strange. Scénario sans enjeux, dialogues peu inspirés, personnages sans charisme, séquences trop longues, parfois carrément niaises... On s’ennuie ferme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Lamm
Sauf que : la fête ne prend jamais vraiment, et l’on garde en tête jusqu’à l’ultime image cette interprétation des rêves en fenêtres vers d’autres mondes, annulant en un claquement de doigts tout ce que laissait entrevoir la psychanalyse sur notre inconscient, océan déchaîné de pulsions qui en dit tant sur l’humain, sur l’imaginaire, le fantastique, même l’horreur et les super-héros.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
CONTRE - Loin de s'approprier le projet en profondeur, Sam Raimi a seulement ajouté des améliorations cosmétiques à une histoire de super-héros.
Positif
par Grégory Valens
Reste que, contrairement au premier Doctor Strange qui proposait une relecture philosophique de la trajectoire du super-héros, même les comédiens semblent las dans cette suite mollassonne – Cumberbatch tirant tout de même son épingle du jeu grâce aux incarnations des multiples déclinaisons de son personnage.
Télérama
par Cécile Mury
Tout enflé de références et de personnages empruntés à leur propre mythologie connexe, le film prend le même risque que Doctor Strange : à force d’empiler les univers, on risque de les écrabouiller.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Boulimique d’univers parallèles, de prophéties ancestrales et de pouvoirs en tout genre, le nouveau Marvel est une invraisemblable bouillabaisse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Ecran Fantastique
Loin d’être une succession sans âme de morceaux de bravoure – et pourtant ils sont légion ! – le film s’attarde à traquer les douleurs et les failles de Strange.
Mad Movies
POUR - Si les premières minutes sont enchaînées à la formule du MCU, le cinéaste détourne les figures imposées pour mieux ressusciter le cinéma qui l'a fait connaître.
20 Minutes
Tout le monde peut se régaler avec ce divertissement réjouissant.
CNews
Complètement fou, bombardé de moments gores, Doctor Strange in the Multiverse of Madness propose aux fans de partager une expérience psychédélique tâchée d’hémoglobine. Mention spéciale à Elizabeth Olsen, dont le personnage de la Sorcière Rouge s’impose comme le plus inoubliable du film. Enfin, c’est notre avis.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Multiverse of Madness démontre que les super-héros Marvel ont encore des territoires inconnus à aller explorer, et que Sam Raimi a toujours le feu sacré.
Ecran Large
Alors qu'on n'attendait plus grand-chose du MCU, Doctor Strange in the Multiverse of Madness parvient à surprendre. Sam Raimi n'est pas en pleine possession de ses moyens, mais il résiste face à la machine, et signe le volet de la saga le plus fun et inspiré depuis très longtemps.
Filmsactu
Si tout n’est pas parfait dans Doctor Strange in the Multiverse of Madness, le film est néanmoins très réussi et offre un spectacle dantesque qui devrait à la fois satisfaire les fans du réalisateur d’Evil Dead et ceux du MCU.
Franceinfo Culture
Vingt ans après son Spider-Man culte, Sam Raimi apporte au MCU son savoir-faire et une touche de cinéma d'horreur tout en respectant la cohérence des 27 films précédents.
IGN France
Une belle maitrise du multivers pour un scénario beaucoup plus intime qu'on ne l'imaginait, mais qui a du mal à faire passer l'émotion. La patte de Sam Raimi renforce l'ensemble du film.
LCI
Sam Raimi signe un film généreux, sombre et bluffant quand il s’agit de mettre en images le multivers.
Le Dauphiné Libéré
Car si Multiverse of Madness reste relativement sage sur les mondes parallèles, le film lâche la bride sur la réalisation. Sam Raimi enchaîne les trouvailles visuelles et les plans marquants avec un plaisir communicatif.
Le Figaro
Raimi offre au public un grand 8 vertigineux et pop, bardé d’action et gorgé d’effets numériques visuellement incroyables. Lui seul sans doute était capable de marier la magie avec la science-fiction dans un divertissement, parfois incompréhensible, mais tellement jubilatoire!
Le Journal du Geek
Véritable surprise à bien des égards, Doctor Strange in the Multiverse of Madness est une réussite. Devant la caméra de Sam Raimi, le Marvel Cinematic Universe arbore une nouvelle teinte : celle du sang. Si le curseur aurait pu être poussé plus loin, l’incursion du cinéaste dans la franchise bénéficie d’une singularité que l’on peut saluer.
Public
Ce nouveau volet légendaire repousse les limites du multiverse encore plus loin !
Télé 7 Jours
Un spectacle de haute volée.
Cahiers du Cinéma
Le premier volet de Doctor Strange était sans doute trop kaléidoscopique pour convaincre, avec toutes ses chaussetrappes et l’ironie permanente du neurochirurgien désabusé. Ce Multiverse of Madness a plus de tenue, il inquiète, surprend, amuse aussi (on s’y questionne : Spider-Man tisse-t-il ses toiles avec son trou de balle ?).
Elle
« Doctor Strange 2 » est un film opaque et violent, bourré de défauts mais visuellement impressionnant.
GQ
Ni totalement décevante ni incarnée de bout en bout, cette super-production ne manquera pas une nouvelle fois de faire sensation dans les milliers de salles de cinéma où il sera diffusé à travers le monde.
La Voix du Nord
Discret depuis presque dix ans, le réalisateur d’une mémorable trilogie « Spider-Man » mais aussi d’une saga gore culte (« Evil Dead ») met son grain de folie dans le dernier-né de l’écurie Disney-Marvel. La suite de « Doctor Strange » trouve sa propre identité, surprenante. Plutôt bien vu !
Le Monde
Certes, Doctor Strange in the Multiverse of Madness ne révolutionnera pas le blockbuster façon Marvel. Mais sa petite touche d’excentricité fait du bien. Elle réintroduit une once de prototypage dans une chaîne de production qui semblait jusqu’alors indéfectiblement verrouillée.
Le Point
Baptisée « In the Multiverse of Madness », cette suite laisse miraculeusement visible la patte du réalisateur culte, malgré un écrasant cahier des charges.
Première
Sam Raimi a bien réussi à imprimer sa patte au nouveau superfilm du MCU, même s‘il ressemble à l’arrivée à un super gros épisode de Rick et Morty.
aVoir-aLire.com
Si l’on éprouve au bout d’un moment une certaine exaspération face à la profusion de couleurs et de lumière, la narration finit par emporter le spectateur.
Critikat.com
Seules quelques séquences laissent entrevoir le film qu’aurait pu être ce Doctor Strange sans le pesant cahier des charges imposé.
Le Parisien
Le Multivers englobe tellement de dimensions, que les personnages traversent parfois à toute allure, que l’intrigue est difficile à suivre. Restent, dans ce déluge d’effets spéciaux, quelques moments où le réalisateur, le grand Sam Raimi, parvient à faire ressentir sa "patte", et la belle prestation d’Elizabeth Olsen, toujours inspirée dans le rôle de Wanda Maximoff.
Les Echos
« Doctor Strange 2 » est essentiellement un parc d'attractions audiovisuel où Benedict Cumberbatch mime des mouvements de tai-chi pour pourfendre ses adversaires d'images de synthèse. Un film qui vient s'ajouter à la saga Marvel. Un de plus.
Les Fiches du Cinéma
Après plusieurs films réussis, la franchise Marvel se prend les pieds dans la cape du Doctor Strange. Scénario sans enjeux, dialogues peu inspirés, personnages sans charisme, séquences trop longues, parfois carrément niaises... On s’ennuie ferme.
Libération
Sauf que : la fête ne prend jamais vraiment, et l’on garde en tête jusqu’à l’ultime image cette interprétation des rêves en fenêtres vers d’autres mondes, annulant en un claquement de doigts tout ce que laissait entrevoir la psychanalyse sur notre inconscient, océan déchaîné de pulsions qui en dit tant sur l’humain, sur l’imaginaire, le fantastique, même l’horreur et les super-héros.
Mad Movies
CONTRE - Loin de s'approprier le projet en profondeur, Sam Raimi a seulement ajouté des améliorations cosmétiques à une histoire de super-héros.
Positif
Reste que, contrairement au premier Doctor Strange qui proposait une relecture philosophique de la trajectoire du super-héros, même les comédiens semblent las dans cette suite mollassonne – Cumberbatch tirant tout de même son épingle du jeu grâce aux incarnations des multiples déclinaisons de son personnage.
Télérama
Tout enflé de références et de personnages empruntés à leur propre mythologie connexe, le film prend le même risque que Doctor Strange : à force d’empiler les univers, on risque de les écrabouiller.
Les Inrockuptibles
Boulimique d’univers parallèles, de prophéties ancestrales et de pouvoirs en tout genre, le nouveau Marvel est une invraisemblable bouillabaisse.