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pauloo
5 abonnés
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2,5
Publiée le 25 juin 2020
Ayant regardé de nombreux Pixar je trouve que cest le moins réussi de toute la liste, l'histoire est basique, un peu ennuyeuse. Mais il est vrai que la scène de fin est belle. Passer de Coco à En Avant ça fait mal...
Génial. Je pense quand même qu’il faut avoir un petit côté Geek donjons et dragons en soi .. Ce que j’ai ahah. Franchement encore une fois Disney et Pixar ne m’ont pas déçue comme d’habitude ils sont au dessus du Game. C’est encore une fois le même schéma. On a hâte on pleure on rit on passe par toutes les emotions. Il est vraiment cool ! Je valide à 100% !
Dans un monde Heroic-Fantasy que la croyance en la magie a depuis longtemps déserté, deux frères vont devoir retrouver la foi en ces valeurs ancestrales pour avoir une chance d’accomplir ce qui leur tient le plus à coeur (et c’est à la fois classique, drôle et émouvant). De Pixar, on attendait certes un peu plus original que ce voyage initiatique, même si tous les Pixar ne sont finalement pas autre chose que des voyages initiatiques...mais tout de même, ‘Là-haut’ ou ‘Vice-versa’, par exemple, étaient d’une toute autre trempe : même si ‘En avant’ a le mérite de ne pas accumuler les private-jokes à destination des rôlistes confirmés, on regrette qu’il ne nous emmène pas plus souvent dans des territoires inattendus. C’est que ‘En avant’ est un Pixar “bouche-trou”, pensé pour s’intercaler entre des projets plus porteurs, comme l’avait été en son temps ‘Le voyage d’Arlo’, avec qui il partage une tendance à fonctionner sur la célébration des mécanismes de la cellule familiale américaine dans un contexte anachronique, et qu’il reste visuellement très classique, loin des audaces formelles qu’on retrouve dans les courts-métrages du studio de Burbank. A tout moment, on sait où on en est, et on sait où on va. Est-ce à dire que Pixar a perdu de sa superbe, qu’ils ne règnent plus en maîtres incontestés sur l’animation américaine et que certains des meilleurs Dreamworks peuvent désormais leur tailler des croupières sans difficultés ? Il y a un peu de ça, mais ‘En avant’ reste quand même le premier Pixar depuis le fantastique ‘Coco’, il y a trois ans, à ne pas se reposer sur une franchise préexistante. Surtout, il parvient à faire sourire au moyen de ses multiples péripéties bon enfant, avant de vous sortir en coup fourré une petite séquence émotion de derrière les fagots...avant de vous séduire à nouveau avec un clin d’oeil bien senti ou une idée géniale...avant de vous sonner une fois de plus avec un truc conçu rien que pour vous faire chialer. Et ces montagnes russes émotionnelles qui vous projettent d’une extrême à l’autre avec un sens du timing impitoyable, il n’y a décidément que Pixar qui puisse y parvenir.
Le film est très bien, Pixar n'a jamais été décevant (sauf exception). Comme à leur habitude, leurs personnages sont touchants, drôles et le scénario est certes classique mais efficace et à un beau message pour les plus jeunes d'entre nous, à méditer pour tous âges. L'animation est encore et toujours sublime. Seul problème : je trouve que la VF n'est pas formidable, plus précisément la voix française de Yann.
Scénario vu et revu. Un grand frère qui sert de modèle pour son petit frère suite au décès d'un des parents. La seule chose originale est l'univers dans lequel vivent les personnages. Cela apporte un peu de diversité à l'histoire. La qualité graphique reste exceptionnelle, un bon Pixar comme on les aime. Cela reste un film d'animation totalement pour enfants, sans réelle partie adulte. Tout est couru d'avance, on voit tout venir malheureusement. Le suspens est absent du début à la fin.
Très bonne surprise que ce Pixar sorti discrètement mais bien supérieur au dernier épisode de la saga toy story. Certes le design est quelque peu commun et on ne retiendra pas l'originalité ou l'humour au final trop peu présent, mais la ou le film brille c'est par son atmosphère toujours légère malgré le sérieux de ses thématiques, abordées avec une justesse et une délicatesse qui force le respect, venant cueillir le spectateur dans un final joliment mis en scène où tout se met en place avec un réel savoir faire qui ne peut qu'être salué. C'est intelligent, c'est fun, c'est rythmé (malgré une mise en place un peu poussive) et les deux héros sont hypers attachants. Du très bon Pixar auquel manquait juste une direction artistique un peu plus originale pour sortir du lot et mériter une attention plus grande. A voir.
« En Avant » est le premier dessin animé Pixar de l’année 2020. L’histoire nous plonge dans un mode imaginaire qui a su se développer et se moderniser à l’image de notre monde. Deux jeunes frères vont se lancer dans une quête magique dans l’espoir de faire revenir le père le temps d’une journée. Ce monde partagé entre fantasy et modernité m’a très vite embarqué. Les personnages sont très attachants à l’image de Barley qui vole la vedette à son frère au fur et à mesure de l’histoire. L’émotion est de la partie avec des passages particulièrement marquants et qui parleront à ceux qui ont perdu des proches. Les messages véhiculés par le dessin animé sont très positifs et poussent à aller de l’avant. Belle surprise même si Pixar nous a habitué à de très bons longs-métrages.
Comment le même studio qui sort une majorité de films majeurs lance la même année l'un de ses chef d'œuvre (Soul) et un autre assez quelconque, sans surprise et destiné aux plus jeunes (En avant). L'un des moins bons films du studio!
Très très grosse déception. On est loin mais très loin de la qualité scénaristique du studio Disney / Pixar. Ennuyant, aucun humour, musique décevante, scénario décevant, les personnages pas attachant, bref un ratage complet.
Vu en avant première ce jour. Toujours aussi excellent ! Pixar ne déroge pas à la qualité scénaristique à laquelle ils nous ont habitué. Il y a encore plusieurs degrés de lecture ravissant petit et grands. L’architecture dramatique est d'une finesse et d'une intelligence toujours aussi bluffante, et j'ai adoré que la quête ne s'appuie pas sur des cascades d'effets et des "super pouvoirs". Les héros principaux (bien qu'elfes) sont des individus lambda deux frères voulant juste retrouver leur père (décédé quelques années auparavant) le temps d'une journée.... et au delà de la quête empreinte de magie certes et des rebondissements de ce road trip le coeur de l'histoire est dabns cette fratrie qui doit se "redécouvrir". Bref c'est encore du très bon Pixar !
En avant, un Disney/Pixar pas mauvais, l'idée est chouette et les personnages sont attachants. On passe un bon moment mais j'ai été habitué à mieux de la part de Pixar.
La sortie d'un nouveau film estampillé "Pixar" est toujours un événement et suscite des attentes. On attend de leurs productions qu'elles nous fassent rêver, que la magie opère et que l'on passe finalement un bon moment de cinéma. Ce dernier est présent mais se trouve bien en dessous de ce que l'on espérait. "En avant" part pourtant sur de bonnes bases avec un univers attrayant qui aurait pu générer une superbe intrigue et une bonne dose d'humour. Pourtant, on s'aperçoit rapidement que l'inspiration n'est pas au rendez-vous et que les scénaristes se contentent du minimum syndical. Alors certes, l'aventure est sympathique et le film véhicule ce qu'il faut de fraicheur mais ça s'arrête là. "En avant" ne m'a pas transporté et ne m'a fait ressentir aucune émotion particulière. On est clairement en face d'un Pixar anecdotique qui ne marquera pas l'histoire des studios.
Les fratries n'ont que rarement été mises à l'honneur chez Pixar. C'est chose faite avec "En avant", mettant en scène deux frangins elfes sur les traces de ce qu'a été leur ancien monde magique. Signé Dan Scanlon (Cars et Monstres Academy), "En avant" est ce qu'on pourrait appeler un Pixar de transition, qui sans avoir la consistance de "Vice Versa" demeure tout de même largement supérieur au "Voyage d'Arlo". On y retrouve beaucoup de thématiques propres à la franchises comme la question du deuil, l'apprentissage de la vie, les rites de passage. Le cinéaste a le mérite proposer une histoire originale au détriment d'une suite, certes ici sous influence tolkenienne. Les faiblesses scénaristiques de l'ensemble ainsi que son absence de personnages charismatiques ne permettent toutefois pas de le hisser au rang des meilleures productions du studio.