Avis : Tenet - Page 8

Si vous avez suivi la carrière de Christopher Nolan depuis sa percée en 2000 avec Memento, alors vous êtes au courant que le temps est son obsession. C'est bien autour de lui que gravitent les destins (souvent contrariés) de ses héros, coincés dans cette donnée universelle que le cinéaste comprime, étend ou distord telle une mécanique de haute précision. Pas étonnant qu'elle soit aujourd'hui le high-concept derrière Tenet.
Derrière le vernis d'un nouveau James Bond à la sauce Nolan (original donc), on tient surtout le film-somme de son auteur. Pas la peine de faire la liste, les liens avec ses précédents longs vous sauteront aux yeux (si ce n'est déjà fait). Si Tenet fait écho à tous, j'insisterai surtout sur Dunkirk. Électron libre dans le dispositif chiadé, le survival guerrier fut surtout le moment du dégraissage pour revenir aux émotions brutes, à du sensoriel. Un défi qui a semble-t-il beaucoup apporté à son réalisateur. À tel point qu'au détour d'une réplique ("n'essayez pas de le comprendre, ressentez-le") le nouveau film semble exhorter le spectateur à oublier le cérébral (et la physique) pour se laisser embarquer dans le jeu. Plus facile à dire qu'à faire, surtout quand les règles sont presque cryptiques, la faute à une écriture dans les dialogues qui manque de simplicité. Et le rythme effréné n'aide pas, malgré les 2h30. Il manque ces petites minutes de respiration pour digérer (ou déchiffrer) les explications ou revirements. Dans la quête visant à mêler concepts pointus et ambitions grand public, tenir l'équilibre est un exercice périlleux. Tenet vacille à plusieurs reprises.
Heureusement, ces scories sont largement compensées par les prouesses accomplies devant et derrière la caméra. John David Washington campe un super-espion raffiné et charismatique. Qu'il cause ou qu'il cogne, il fait un carton à tous les coups. Malgré ça, il est presque éclipsé par un Robert Pattinson au magnétisme irrésistible. Pour fermer la marche, Elizabeth Debicki ajoute beaucoup de cœur au film et toujours de manière subtile. S'il n'est pas à son zénith au stylo ce coup-ci, Christopher Nolan n'a jamais frappé aussi fort en termes de spectacle. Fervent défenseur d'un cinéma bigger than life où l'artisanat et les cascades avec les câbles priment sur le digital et les copies numériques, Tenet est juste hallucinant. L'inversion temporelle offre au long-métrage plusieurs séquences absolument stupéfiantes par leur gigantisme et leur authenticité. On ressent le poids et la puissance de chaque crochet, de chaque impact de balle...ou de boeing. Cette magnificence, elle est principalement à mettre au crédit d'un cinéaste qui connait l'importance du son, de la couleur et des lumières pour transmettre une impression ou un sentiment. En conséquence, il bénéficie d'un mixage son qui vous vrille les tympans, d'une bande originale aux motifs polyrythmiques entêtants (Ludwig Göransson s'inscrit dans la continuation des expérimentations de H. Zimmer sur Dunkirk). Enfin, il retrouve le directeur de la photographie Hoyte Van Hoytema, qui donne une palette très riche au film.
Il s'en est fallu de peu pour que Tenet tutoie les cimes atteintes par certains précédents films signés Nolan. Plus de sobriété dans l'écriture, plus d'aération dans le montage. Peu de choses, au final. Surtout au regard des énormes qualités qui irradient à l'écran, et laissent entrevoir le chemin parcouru par le réalisateur depuis sa mise en orbite. Même obsession (le temps), même soif de défi, même amour du 7ème Art, mais jamais le même film.

Ça y est, je viens de découvrir le film qui est censé redonner de l'espoir aux salles obscures, après un printemps et un été des plus moroses.

Après le film de chauve-souris, le film de magie ou encore le film de guerre, Christopher Nolan s'attaque cette fois-ci au film d'espionnage, et nous plonge par la même occasion dans les méandres du temps et ses manipulations, à travers cette histoire d'un agent recruté pour empêcher une guerre...qui a déjà eu lieue.

Et cette entreprise est à la fois réussie, mais aussi en deçà des attentes que je pouvais avoir vis-à-vis de ce film.

Réussie, car on retrouve une nouvelle fois la maîtrise de la mise en scène qui fait toute la force des films de Nolan, qui sont définitivement faits pour le grand écran. Le réalisateur britannique sait donner une ampleur tout à fait particulière à ses films, sans avoir besoin de recourir à une avalanche d'effets numériques et désincarnés comme le fait la grande majorité des blockbusters actuels.
Le fameux principe d'"inversion" du film par exemple, et l'effet que cela procure aux protagonistes, y est extrêmement bien retranscrit et donne lieu, indéniablement, aux meilleures séquences de cette super-production, faisant se confondre passé, présent et futur, tout en restant très lisible.

En deçà, car derrière l'apparente complexité de son scénario et certains dialogues exagérément flous et mystérieux, se cache une histoire relativement classique de fin du monde voulue par un méchant russe (pas le meilleur rôle de Kenneth Branagh), agrémenté de "sauts dans le temps" pour empêcher cela. Un peu comme si James Bond découvrait une machine à remonter le temps et s'en servait pour sauver le monde. Évidemment, on ne s'en rend compte que si l'on ne décolle pas ses yeux de l'écran, qu'on écoute attentivement tous les dialogues (et il y en a) et qu'on prête bien attention aux indices visuels laissés tout au long du film. Et rajouter encore à cela un certain manque d'empathie envers les protagonistes du film. Niveau scénario à tiroirs, on lui préférera "Le Prestige" ou encore "Inception".

Une chose est sûre : le temps est un cercle continu où tout finit par se rejoindre. Qu'on se trouve dans le passé ou dans le futur, chaque choix a sa conséquence, et a un impact direct sur notre présent.

Pas le meilleur film de Nolan, très maîtrisé au niveau de la forme, mais moins inspiré au niveau du fond. "Tenet" à coup sûr divisera, mais est à découvrir au cinéma. Enfin, si vous avez le temps évidemment.

J'aime tous les Nolan, je ne pouvais donc qu'adorer ce film ! Eh bien non. Le film de l'année est pour moi le navet de l'année (pour le moment). Et, venant de Christopher Nolan, ça fait vraiment mal de l'écrire. Je ne retiens de positif que les cadrages grandioses et toujours aussi maîtrisés, mais alors le reste... une intrigue simple complexifiée par des tunnels d'exposition tournant autour du thème spoiler: du voyage temporel, soit le PIRE thème à placer dans ce genre de film où tout va très vite, trop vite. Si on expédie, dès le début du film, le concept du voyage temporel avec ses paradoxes en seulement quelques phrases noyées parmi les innombrables autres sous-intrigues du film
, on n'a pas le temps d'assimiler et de comprendre. Résultat : nous sommes passifs d'entrée de jeu et on se fiche totalement de ce qui se passe et va arriver. L'histoire se déroule sous nos yeux sans que l'on ne ressente quoi que ce soit pour qui que ce soit, ce qui est une faute grave pour un film ! Le développement quasi-inexistant des personnages n'aide en rien cet amer constat et l'on a très vite envie de savoir une seule chose : quand est-ce que le générique de fin va enfin arriver et nous délivrer de ces 2h30 de torture ? Torture sonore surtout, du fait d'une musique assourdissante qui semble sans arrêt totalement à côté de la plaque et dont les sonorités parfois stridentes sont allées jusqu'à me rendre nauséeux, en plus de la migraine occasionnée par la complexité inutile de la chose. Ludwig Göransson n'a pas la maîtrise d'un Hans Zimmer qui ne se contente pas de souligner (très maladroitement) ce qui est montré à l'écran Le montage est également douteux, il y a des coupes violentes arrivant sans prévenir et la séquence finale n'est plus qu'un enchaînement d'images sans véritable sens sur une musique s'attelant à désintégrer nos ultimes neurones ayant courageusement résisté à cette arnaque honteuse du réputé grand maître du 7e art au 21e siècle. Puisse t il, à l'image de son héros, retourner dans le passé pour empêcher l'écriture de cette chose ou sa mise en production, cela sauverait le monde de la profonde crise d'ennui infligée par ce film. Allez, je me reprends un doliprane, merci Nolan !

Avec TENET. Christopher Nolan, signe très clairement l'un de ses meilleurs film.

Le scénario est brillant, et les acteurs, campent, avec beaucoup de talent, leurs rôles respectifs.

Dans ce film, on constate qu'il n'y à pas de rôles secondaires. Tout les personnages sont parfaitement utilisés.

Clairement, j'en ressors bluffé, tant Nolan maîtrise son film de A à Z.

Ce film est clairement la claque que tout le monde attendait.

Pour tout dire, je ne suis pas fan de Christopher Nolan. J’y vais même à reculons. Pour me situer, je n’ai pas vu « Inception » (2010) et j’avais noté « Interstellar » (2014), deux étoiles seulement. La lecture des quelques dizaines d’avis très critiques soulignant le côté abscons de ce « Tenet » suffisait ainsi à me décourager. Mais premier au box-office, une note moyenne au-dessus de la moyenne, plusieurs centaines de bonnes appréciations de trois à cinq étoiles. Qui suis-je pour faire la fine bouche, sans avoir vu ? Alors, j’y suis allé. Finalement, maintenant je sais. C’est comme les critiques sévères ( ?) le disent. On n’y comprend strictement rien. Restent des scènes d’action époustouflantes où ça se canarde et se tabasse. On nous l’a dit et redit, il ne faut pas essayer de comprendre cette notion de temps inversé. Bon TENET inversé ça fait encore TENET. Un palindrome que ça s’appelle ! Vous voilà sur la voie. Enfin, il vous en faudra davantage.

Nolan est un maître pour ce qui est de retourner le cerveau du spectateur. Ici, il s'est surpassé ! Si l'idée originale donne lieu à un scénario un peu obscur, en oubliant l'idée de tout comprendre, on est époustouflé par la maestria visuelle. Tenet est fascinant autant qu'il est agaçant, mais il ne laisse pas indifférent.

Nul doute que l’artificier Christopher Nolan nous offre un spectacle jamais vu sur grand écran. Nul doute que la salle de cinéma se prête à ce genre de film qui allie blockbuster d’espionnage haut de gamme et réflexion sur la linéarité du temps qui s’écoule. Evidemment que l’ensemble se suit avec un plaisir cinéphile, portée par des acteurs fabuleux, mais "Tenet" nécessite aussi une concentration de chaque instant, ne serait-ce que pour essayer de percer ses mystères. Nul doute qu’il faut le revoir plusieurs fois afin de mieux le percevoir encore. De le ressentir plutôt… Toutefois, tous ces gages de qualité en font-ils pour autant un chef d’œuvre du Septième Art ? Pas nécessairement, car nous avons peut-être atteint une limite à partir de laquelle le cinéaste Nolan va trop loin dans un propos visuellement trop complexe et intrépide, au risque de perdre en route une partie de son public le plus fidèle. Et pourtant, quel spectacle !

Ce que l’on retient avec certitude de ce film, c’est qu’il a coûté très cher tant pour le tournage lui-même (en 35 mm au 21ème siècle !) qu’en post-production avec force manipulation des images. Pour le reste, il ne faut sans doute pas essayer de rechercher une logique au déroulement de cette histoire abracadabrantesque. Pas plus que pour l’histoire du chat de Schrodinger, on n’essayera de comprendre comment le héros d’aujourd’hui se trouve confronté avec son avatar du futur dans une lutte à mort où tout est inversé et où les balles rentrent dans le barillet quand on tire... Il reste toujours dans ce futur proche (?) une CIA cruelle dans la sélection de ses agents et habile à lutter contre les Méchants quels qu’ils soient. Ça doit nous rassurer ? Tout le reste est du marketing...

Le seul intérêt de Tenet est de contribuer à sauver l'activité des cinémas français... Pour le reste, c'est une inepte bouillie temporelle accumulant tous les poncifs des films d'action américains. Quel triste spectacle que de voir le réalisateur d'Inception et Interstellar sombrer dans l'arbitraire et le non-sens ! L'histoire n'a strictement aucune prise avec le réel : ça commence comme un James Bond, puis en enchaîne en mode Nikita (l'espion sauvé in extremis et devant donner sa vie à la patrie), puis le monde est menacé par un phénomène de pseudo-science venu du futur, et puis non finalement, on cherche du plutonium et on fréquente le monde des ultra-riches vendeurs d'armes, mais pour séduire le public féminin, on met une mère éplorée qui hésite entre sauver le monde ou son fils. On a droit à des courses poursuites, des compte-à-rebours interrompus in extremis, la crise écologique, l'habituel paradoxe du grand-père qui ne peut pas être tué par son petit-fils, les voyages en Inde, en Russie, etc (comme dans tout James Bond ou Mission impossible), etc. etc. Tout cela est tellement (inutilement) complexe que, malgré les 2h30 du film, il faut faire avancer le scénario à toute vitesse, en inventant toutes les deux minutes une nouvelle théorie fumeuse pour justifier la scène qui suit. Bref, c'est complètement stupide. Espérons que Nolan retrouve ses esprits bientôt...

Tenet est probablement le Nolan le plus raté. Il renoue avec le vieux défaut qu’on lui reprochait dans ses films originels : l’absence de relief de ses personnages, qui ne sont là que pour servir l’intrigue. Nolan se caricature lui-même : l'intrigue est trop alambiquée, trop tirée par les cheveux, avec un rationnel bancal, même si on ne doute pas qu’il y ait une cohérence larvée qui nous échappe. Mais, à l’inverse d’un Inception, Interstellar ou Le Prestige, Tenet ne nous donne pas envie de le visionner à nouveau pour comprendre. Trop plat, trop creux, vide d’émotion.

Du bruit assourdissant, des acteurs qui courent en avant, en arrière non stop, une histoire à dormir debout et même assis car j'ai bien failli m'endormir tellement c'est absurde. Seule la musique assourdissante m'en a empêché. À fuir!!!

Moi pas avoir tout compris...
Inception m'avait intriqué, stimulé et finalement séduit.
Interstellar m'avait dérouté et un zest ennuyé.
Tenet, le nouveau délire de Christopher Nolan, m'a totalement largué.
J'ai tenu bon les 60 premières minutes, grâce notamment à des scénes d'action espoustouflantes. Malheureusement il restait encore 90 minutes au cours desquelles le réalisateur s'enfonce dans son trip sans se soucier de savoir si le malheureux spectateur suit et au mépris d'une quelconque cohérence.
Reste un déluge d'images bien léchées accompagné d'une bande son tonique.
C'est visuellement impeccable mais somptueusement chiant.

Après un "Interstellar" qui m'a laissé en plan (trop pompeux et bavard), et un "Dunkerque" bien trop pédant et bordélique ; je retrouve le Nolan que j'aime. Ce "Tenet" est absolument formidable ; taillé au couteau, il n'y a pas un seul cheveu qui dépasse. 2h30 qui file à une vitesse folle, aucun temps mort, aucun répit. La mise en scène est impeccable, puissante, virevoltante. Comme toujours chez Nolan (sauf l'exception Marion Cotillard !!), les acteurs sont excellents et livrent des prestations de grande envergure. La bande sonore et musicale portent le film avec beaucoup de fureur et d'efficacité (sur ce point, le réalisateur poursuit l'extraordinaire travaille sur le son, déjà porté à son paroxysme sur "Dunkerque"). Le montage est un cours de maître à lui tout seul. L'ensemble est homogène et cohérent. N'ayons pas peur de ne pas intégrer du premier coup l'ensemble de la grille de lecture du scénario ;même si des questions demeurent dans l'esprit du spectateur à la fin de la séance, les grandes lignes de l'histoire et de ses péripéties se comprennent suffisamment pour la rendre parfaitement appréciable. Bref, je recommande à tous ceux qui aiment ce type de cinéma et qui apprécient faire travailler leurs méninges !

Encore plus nul qu'Inception dans le genre mouvementé mais sans intérêt. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? C'est sans doute la devise de Nolan, mais là ça frôle le ridicule tant c'est inutilement complexe et on sent bien que de toute façon ça ne vaut pas la peine de comprendre... Film sans charme, chiant malgré sans doute un énorme budget.

Tout bonnement grandiose techniquement, mais:

pour commencer: mais suuuuuuuuuper long au démarrage, très ennuyeux mais grandiose, mais long au dém...

Un énième Nolan de génie technique, visuellement hors normes, tant l'idée du degrés d'ingéniosité pour une telle réalisation est ressentie; le film vaut le détour sur grand écran et propose un spectacle à couper le souffle, additionné à un univers sortant de tout sentier battu, bien ficelé, et très cérébral comme à son habitude: Premier Nolan que j'ai eu du mal à suivre au premier visionnage, un second ne sera pas du luxe. Bourré de situations, de révélations impliquant des virages de bord sur notre représentation des événements et leurs causes à incidences, un cerveau en ébullition face à des séquences où le temps s'écoule différemment pour les différents éléments, donnant le sentiment de non-sens et d'incohérences constantes sur le plan visuel, mais démantelés par des visions de ces mêmes événements mais en sens inverse, montrant la qualité de tournage,
pour un résultat, qui, cependant, hélas, au-delà de la situation visuelle impeccable, fait malgré tout l'impasse sur le raisonnement scientifique (évidemment dans le référentiel de l'univers de science-fiction du film), et donc prend des raccourcis pour créer de situations qui fonctionnent temporellement dans le film alors que ce ne serait pas le cas dans un monde répondant à logique,
et un début de film à la limite du supplice, pour un Nolan qui, comme rarement, propose un univers auquel on ne peut croire.

Très long voir soporifique au démarrage, la mise en place des acteurs avant que les choses ne se mettent en scène est interminable, qui malgré un file directeur haletant, a du mal à tenir en haleine. Un point que j'ai trouvé faible également pour un film de Nolan, la musique, loin des chefs d'œuvres habituels d'Hans Zimmer (on peut l'illustrer par le choix éhonté de la musique du générique de fin).
Dernier éléments que je juge personnellement d'impardonnable, les figurants de la scène d'intro, scène donnant pourtant un premier avis sur le film à suivre, dont une prise a été validée de "bonne" par le réal., alors que médiocre (Attention à la fin du décompte tout le monde fait semblant de dormir, 1 et 2 et 3 tout le monde dort, ok on la garde elle est bonne..).

On peut également noter l’absence totale d'émotion.
Un film bluffant dans sa complexité, tant en termes d'écriture que de réalisation mais impossible dans son propre univers (Je suis entrain d’essayer de protéger un objet contre un ennemi qui le volera il y a plusieurs minutes..).
Énième grand travail de ce génie, qui hélas perd un peu sur certains aspects en comparaison aux nombreux sans fautes dont Nolan nous a habitué jusqu'à présent.
spoiler: Le "pourquoi" qui ne fonctionne pas non plus: Si le paradoxe du grand père existe dans le film, pourquoi venir attaquer/modifier le passé si ça n'a d'effet que sur un présent parallèle mais pas le leur?


Accrochez-vous et bon film!