Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
CNews
par La rédaction
"Gentlemen cambrioleurs" [...] devrait aisément bénéficier d’un fort capital sympathie.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre le diabète de l’un, les prothèses de hanche de l’autre et la surdité d’un troisième, les troupes ne sont pas spécialement fraîches, ce qui donne lieu à quelques notations forcément savoureuses sur toutes ces articulations qui grincent. Mais ce qui engendre aussi une certaine mollesse (...). Heureusement, une fois le casse réussi, reste le moment fatidique : le partage du butin.
Le Parisien
par Catherine Balle
Le film manque un peu de rythme, mais les dialogues sont savoureux et l’on suit avec plaisir les engueulades et trahisons de ces criminels en bérets et blousons molletonnés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Forcément, ce braquage fomenté par des retraités donne lieu à des situations cocasses. Mais en fait de comédie, on a surtout affaire à une réflexion mélancolique sur la vieillesse. C’est à la fois la qualité et le défaut de ce film de James Marsh, qui n’est jamais là où on l’attend.
Positif
par Michel Cieutat
Le seul intérêt du film de James Marsh réside dans son interprétation, en particulier celles de Michael Caine, à l’aise dans l’autodérision, et de Tom Courtenay, fort amusant en voleur atteint de surdité et de sénilité précoce.
Voici
par Daniel Blois
Si l'humour n'est pas toujours à la hauteur, les acteurs assurent le spectacle.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Inspiré d’un vrai casse mené par un gang de papys, ce film souffre d’un rythme poussif que n’arrive pas à réveiller un humour hasardeux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
[...] ce polar a la bonne idée de réunir quelques-uns des meilleurs comédiens british de plus de 60 ans. Leur plaisir à jouer les gros durs et à cabotiner ensemble est évident. Dommage que le rythme du film se cale sur leur difficulté à se déplacer.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film en appelle à la nostalgie avec ses sex-symbols masculins des années 1960 (Michel Caine, Tom Courtenay) devenus vieillards radoteurs.
Les Fiches du Cinéma
par Mehdi Haddou
Cinq ans après le succès d’"Une merveilleuse histoire du temps", James Marsh revient avec un film inspiré de l’histoire vraie du casse de Hatton Garden. Avec un casting anglais de légende, Michael Caine en tête. Sympathique, mais pour le moins inégal.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Si l’on peut entendre l’argument selon lequel la forme doit s’adapter au fond, réaliser un film arthritique sur des vieillards n’était peut-être pas l’idée la plus lumineuse qui soit.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Chèze
On regrettera que le scénario ne soit pas à la hauteur des interprètes.
Première
par Frédéric Foubert
Tout ça serait encore plus agréable à regarder si l’intrigue n’était pas aussi inutilement alambiquée et le rythme à ce point pépère. Dommage. Mais rien qui n’entache la légende du citizen Caine.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Xavier Leherpeur
C'est à peine si le réalisateur tire parti de son casting, pourtant constitué de la fine fleur (Michael Caine, Tim Broadbent) du cinéma britannique. Un crime de lèse-majesté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Jérémie Couston
De la réalisation académique à l’interprétation apathique, tout le monde, y compris Michael Caine dans un énième numéro de vieille carne cockney, semble s’être désintéressé d’un projet à peine digne d’égayer les pensionnaires d’une maison de retraite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
"Gentlemen cambrioleurs" [...] devrait aisément bénéficier d’un fort capital sympathie.
Le Dauphiné Libéré
Entre le diabète de l’un, les prothèses de hanche de l’autre et la surdité d’un troisième, les troupes ne sont pas spécialement fraîches, ce qui donne lieu à quelques notations forcément savoureuses sur toutes ces articulations qui grincent. Mais ce qui engendre aussi une certaine mollesse (...). Heureusement, une fois le casse réussi, reste le moment fatidique : le partage du butin.
Le Parisien
Le film manque un peu de rythme, mais les dialogues sont savoureux et l’on suit avec plaisir les engueulades et trahisons de ces criminels en bérets et blousons molletonnés.
Le Point
Forcément, ce braquage fomenté par des retraités donne lieu à des situations cocasses. Mais en fait de comédie, on a surtout affaire à une réflexion mélancolique sur la vieillesse. C’est à la fois la qualité et le défaut de ce film de James Marsh, qui n’est jamais là où on l’attend.
Positif
Le seul intérêt du film de James Marsh réside dans son interprétation, en particulier celles de Michael Caine, à l’aise dans l’autodérision, et de Tom Courtenay, fort amusant en voleur atteint de surdité et de sénilité précoce.
Voici
Si l'humour n'est pas toujours à la hauteur, les acteurs assurent le spectacle.
La Croix
Inspiré d’un vrai casse mené par un gang de papys, ce film souffre d’un rythme poussif que n’arrive pas à réveiller un humour hasardeux.
Le Journal du Dimanche
[...] ce polar a la bonne idée de réunir quelques-uns des meilleurs comédiens british de plus de 60 ans. Leur plaisir à jouer les gros durs et à cabotiner ensemble est évident. Dommage que le rythme du film se cale sur leur difficulté à se déplacer.
Le Monde
Le film en appelle à la nostalgie avec ses sex-symbols masculins des années 1960 (Michel Caine, Tom Courtenay) devenus vieillards radoteurs.
Les Fiches du Cinéma
Cinq ans après le succès d’"Une merveilleuse histoire du temps", James Marsh revient avec un film inspiré de l’histoire vraie du casse de Hatton Garden. Avec un casting anglais de légende, Michael Caine en tête. Sympathique, mais pour le moins inégal.
Les Inrockuptibles
Si l’on peut entendre l’argument selon lequel la forme doit s’adapter au fond, réaliser un film arthritique sur des vieillards n’était peut-être pas l’idée la plus lumineuse qui soit.
Ouest France
On regrettera que le scénario ne soit pas à la hauteur des interprètes.
Première
Tout ça serait encore plus agréable à regarder si l’intrigue n’était pas aussi inutilement alambiquée et le rythme à ce point pépère. Dommage. Mais rien qui n’entache la légende du citizen Caine.
L'Obs
C'est à peine si le réalisateur tire parti de son casting, pourtant constitué de la fine fleur (Michael Caine, Tim Broadbent) du cinéma britannique. Un crime de lèse-majesté.
Télérama
De la réalisation académique à l’interprétation apathique, tout le monde, y compris Michael Caine dans un énième numéro de vieille carne cockney, semble s’être désintéressé d’un projet à peine digne d’égayer les pensionnaires d’une maison de retraite.