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Ufuk K
519 abonnés
1 475 critiques
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3,5
Publiée le 18 octobre 2020
Quel plaisir de retrouver ' Les Trolls 2 " dans une suite toujours aussi réjouissante que le premier volet . En effet même si j'ai trouvé l'histoire parfois bancal et une suite un peu en dessous du premier opus, c'est toujours un plaisir de retrouver des tubes du passé et aujourd'hui chanté par ses étranges créatures dans des aventures vitaminées , pailletées , drôle et émouvante avec un beau message sur la diversité dans le monde et la différence.
Nullissime déjà que le 1er n'était pas terrible mais alors là.... On frise le ridicule : autant sur les musiques que sur l'histoire en elle même Le film nous sert un message politique crrect & simpliste du vivre ensemble malgré nos différences qui s'embourbe au film des minutes qui sont très longues à tenir. Vraiment mauvais. Et l'animation pas très jolie à voir!
Ce dessin animé très coloré et très musical est la suite de « Les Trolls » sorti en 2016. Niveau animation et histoire, on a déjà vu beaucoup mieux mais on passe quand même un moment agréable avec quelques clins d’œil sympathiques à la culture coréenne (Psy et son « Gangnam style », la K-pop…) et surtout un enchaînement musical réjouissant.
J'ai adoré le 1, mes enfants aussi mais la, quelle déception ! Deja, la voix de poppy m'a affreusement perturbé (et je ne savais pas que c'était vitaa, quand j'ai vu que c'était la, je n'étais pas surpris). L'histoire est bof, tirée par les cheveux. Les enfants ont aimé mais sans plus.... moi, je me suis ennuyé... dommage, car on va pas souvent au cinéma en ce moment!
Très joli visuellement et accompagné de musiques toujours aussi entraînantes, cette suite s'embourbe dans une moralisation simpliste d'une extrême lourdeur : il faut savoir vivre ensemble et accepter les différences des autres. Ça passera peut-être par-dessus la tête des plus jeunes, mais pour les plus... matures, ça fatigue plus qu'autre chose. C'est sans doute pour ça que j'étais seul dans la salle, les autres ont flairé le piège.
Nous sommes allés voir ce film en famille (enfants de 4, 8 et 10 ans). Le plus jeune a adoré. Mon frère de 8 ans l'a trouvé drôle. Les décors sont agréables à regarder, originaux et les textures très belles (eau, cheveux, sol...). Nous avons trouvé les personnages un peu classiques voire caricaturaux mais sympathiques. L'histoire est assez convenue, la fin attendue mais le film se suit néanmoins sans ennui. Il y a beaucoup de chansons, de chorégraphies, c'est un peu lassant.
J'était un peu septique au vu de la bande annonce qui fait très gamin, mais c'est dans l'esprit troll car au final la profondeur de l'histoire en a pris un coup dans le 2 ! Avec une belle découverte de différents types de trolls, des réponses sur le 1 qu'on pouvais se poser qui sont répondu, une très bonne morale et pleins de positif tout en restant pas trop débile et très regardable, franchement je recommande, j'ai passé un très bon moment devant !
Super déçu, ce film est pourri, c'est une espèce de morale sur les différents courants musicaux, ma fille de 7 ans et moi avons détesté. Sérieusement, si je n'avais pas payé ma place de ciné, j'aurais quitté la salle au bout de 15mn... A fuir sans hésiter.
Les Trolls 2 n'était pas si détestable. Le récit offre un univers inattendu, ponctué de plusieurs continent musicaux malheureusement sous exploités. Reste une histoire classique qui rappelle Thanos et sa quête des pierres d'infinité. À déconseiller aux épileptiques.
Outre l'humour franchement lourdingue et dopé au kilo de sucre, Les Trolls 2 est un long pugilat contre les autres genres musicaux qui ne rentrent pas dans la sacrosainte case "pop". Entre les raccourcis qui font crier au scandale les puristes (on confond le metal, le punk, le hard et le rock sous une seule et même bannière grossière, puis la country avec la folk), ou genres qui n'existent que par le biais d'une seule démonstration-éclair : le reggaeton et la K-Pop, expédiés en une chanson, comme la techno qui n'a qu'une minute à grappiller en début de film, et la palme revenant aux classicos qui n'auront que quatre notes à se mettre sous la dent (les fameux : "pom pom pom pom" de Beethoven...) Ne parlons pas des caricatures musicales, qui font peine à voir (on n'est jamais vraiment dans la parodie, ce qui nous empêche d'en rire) : les "rockeurs" sont des dégénérés sociopathes qui s'habillent comme Vampira, les funky sont sertis de grosses bagouzes et lunettes volées à Elton John, les country ne sortent pas sans leur banjo... D'ailleurs, on ne sait pas vraiment où les scénaristes ont bien pu trouver que la country (folk) est un genre dépressif (un petit tour du côté de Johnny Cash, pour n'en citer qu'un, suffira à démolir toute leur séquence ridicule). En revanche, pour la pop, c'est carton-plein : on en mange une à la minute, à tel point que l'on n'a pas pu toutes les doubler (le medley au Far West est resté sans doublage, et cela s'entend...). On sature dès le début qui nous offre presque dix minutes d'extraits de chansons non-stop, un affreux medley que ne rattrape pas la suite. Le scénario est d'une niaiserie à toute épreuve (spoiler: la méchante qui devient amie de Poppy en une seconde, les chasseurs de prime qui retournent leur veste sur deux belles paroles ), avec la même résolution que l'opus précédent (spoiler: tout semble perdu, on se met à danser et chanter, et tout est résolu ... Une fois, cela passe déjà difficilement, alors deux fois...), et on ne compte pas les incohérences (le papy rock qui n'arrive pas à déplier deux doigts, mais joue du synthé à la fin... spoiler: Ou Poppy qui se déguise en rockeuse en une seconde, tandis que les autres ont fait atelier-couture pendant des plombes pour le même résultat). Rien ne semble travaillé, ni réfléchi, et le résultat se paye : si les enfants étaient généralement contents en sortant de la séance, ce sont les soupirs des adultes qui formaient une symphonie originale (un nouveau genre musical à breveter ?).
Mes filles ont adoré cette suite que je trouve un ton en dessous du premier opus tant sur les musiques que sur l'histoire en elle même Le film nous sert un message politique simpliste du vivre ensemble malgré nos différences