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    Black Christmas
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    98 critiques spectateurs

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    Michel C.
    Michel C.

    278 abonnés 1 475 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 décembre 2019
    Un "petit" film d'horreur pour adolescent(e)s...... Il n'y avait en effet que des filles à la séance à SQY Ouest.....Sans doute par ce que le casting est principalement féminin, et qu'en plus la gente masculine est masquée..... Bref, les aventures de jeunes filles sur un campus, au moment de Noël, offre des scènes - enfin quelques images furtives angoissantes et un scénario prévisible et sans surprise. La fin est précipitée, dommage !! **
    Barroul
    Barroul

    11 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 décembre 2019
    Ce film est mauvais et décrédibilise totalement la cause féministe de par ses scènes grossières et ridicules. Le scénario est bâclé et prévisible et le côté fantastique n'apporte rien au film car il n'est pas expliqué.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 décembre 2019
    spoiler:

    Le film est vraiment nul, trop dans le clichés des féministes, trop en rapport avec le viols, qui je pense devrais être essentiel de dire. La fin est trop clichés encore
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 décembre 2019
    Film a connotation politisée, totale moralisation du spectateur en rabaissant l'homme (blanc) a une simple créature emplie de haine, ne parlons pas du scénario qui n'est là que pour justifier que c'est un film et pas un Thread Twitter anti-patriarcal écrit par une étudiante de première année en étude de genre ....

    Un bon navet même pas digne d’être diffusé a la télévision

    Fortement déconseillé.
    deckard77680
    deckard77680

    3 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 décembre 2019
    Un scénario déjà vu pour une intrigue très légère... (il existe bien d'autres films dans le même genre de meilleure qualité) Ce slasher reste quand même divertissant par son final sympathique...
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 décembre 2019
    Ce second remake du film homonyme de 1974, réalisé cette fois par Sophia Takal et sorti tout récemment, est très mauvais. Effectivement, je ne m'attendais pas à un grand film d'horreur mais je dois avouer que je ne m'attendais pas non plus à un désastre pareil. Nous reprenons la même idée de base que celle des deux premiers, à savoir une sororité se faisant harcelée au téléphone puis ensuite agressée pendant la période de Noël. Bon voilà, jusque là tout va bien ,nous sommes dans un slasher classique, comme nous le montre d'ailleurs très bien la scène d'introduction. Cette scène d'introduction fait d'ailleurs du bien car ce genre de slasher se font de plus en plus rares au cinéma, je m'étais donc dit que le film était sur la bonne voie ! Mais finalement, plus on avance dans le film, plus ce dernier se ridiculise de plus en plus, il a même réussi à faire pire que le remake de 2006 ! D'ailleurs, l'idée de faire une second remake est déjà assez bancale, on peut tout de suite se dire qu'il y a plus d'idées à Hollywood etc. mais j'étais assez confiant envers celui-ci, les remakes ayant toujours été légion au cinéma d'horreur. Enfin bon, toute la première partie du film n'apporte pas grand-chose à l'histoire, le film fait l'apologie du féminisme de façon grotesque. Je ne suis pas contre le féministe ou le fait d'avoir des personnages féminins forts au cinéma, mais de nombreux films, et notamment d'horreur, l'ont fait avant celui-ci mais de façon beaucoup plus subtile et donc beaucoup plus marquante. Ici, à force d'enfoncer le clou (notamment avec tous les combats que mènent Kris contre, je cite, "les hommes blancs hétéros"), cela tombe dans le ridicule et puis surtout, le film n'est absolument pas le sujet à ce genre de débats. Lorsque l'on va voir un slasher, en général, on veut voir de l'action, pas un débat sur les rapports de genre. De ce fait, tout le reste du film va dans ce sens et nous avons donc évidemment une fin dénuée de sens, complètement ridicule et absurde. Nous aurions pu avoir une fin allant dans un sens féministe bien-sûr mais pas apportée de façon aussi grossière, là nous avons même presque l'effet inverse, c'est-à-dire que cela en devient tellement ridicule que ça décrédibilise complètement la cause. En dehors de cela, le scénario est bidon, tout simplement. Le film n'a pas su rester dans le genre du slasher mais est allé piocher dans du fantastique à deux ronds, ce qui enfonce encore plus le film d
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 537 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 décembre 2019
    À un moment ou à un autre, le tiroir-caisse qui gouverne l'esprit de Jason Blum en matière de projets horrifiques adolescents allait forcément nous pondre un film qui se sert du cadre de Noël, cette période de l'année étant habituellement désertée par le genre en salles et donc synonyme de disette pour le pape du frisson rentable. C'est désormais chose faite avec... "Black Christmas". Oui, vous avez bien lu, encore un remake de "Black Christmas" après celui de 2006 !

    Une proposition totalement originale aurait sans doute demandé trop d'efforts d'imagination ou représenté une prise de risques importante alors autant se rattacher à un grand nom de la catégorie pour attirer le regard du public. L'autre franchise d'horreur de Noël "Douce Nuit, Sanglante Nuit" ayant refait surface trop récemment avec le "Silent Night" de Steven C. Miller en 2012, les sbires de Blumhouse ont par conséquent décidé de ressusciter l'excellent film de 1974 réalisé par Bob Clark et que beaucoup considèrent comme le précurseur du slasher quatre ans avant le fameux "Halloween" de John Carpenter. Effectivement, sur le principe même de son tueur s'en prenant aux membres d'une sororité, "Black Christmas" premier du nom possédait bon nombre d'ingrédients qui deviendraient par la suite des éléments essentiels de ce sous-genre horrifique et, même visuellement, Carpenter s'inspira de la vue subjective déjà utilisée par la caméra de Bob Clark afin de nous mettre d'entrée dans les yeux de Michael Myers. Mais il serait un peu facile de ne le réduire qu'à cela car "Black Christmas" était tellement avant-gardiste qu'il dépassait déjà le cadre réducteur d'un slasher ! Les meurtres avaient bien sûr leur importance mais le film préférait miser avant tout sur son ambiance étouffante où tout était fait pour entretenir le plus possible le mystère sur son assassin déviant et ses agissements commis au sein même de la maison de ses victimes. Plus encore, "Black Christmas" était en réalité un film d'horreur doté d'une force de frappe féministe détonante pour l'époque (et encore plus vis-à-vis de pas mal de personnages féminins de slashers qui en découleront). Par le prisme des personnalités de ses étudiantes/victimes, c'était en réalité toutes les facettes de la femme dans sa globalité qui étaient menacées par un agresseur ne les voyant que comme des objets pour assouvir ses fantasmes tordus. D'ailleurs, ce n'était pas un hasard si l'héroïne se trouvait être une jeune fille enceinte et souhaitant avorter plutôt qu'abandonner ses études face à la pression de son petit ami. Devenant un frein à cette émancipation féminine, ce dernier devenait ainsi un suspect dans la logique d'un film où, lorsqu'ils n'étaient pas considérés comme inutiles (les policiers) ou oppresseurs (le père d'une victime agacé du mode de vie de sa fille), les hommes étaient tout simplement vus comme un danger pour des femmes cherchant à embrasser leur liberté.
    Bref, vous l'aurez compris,"Black Christmas" était un long-métrage plutôt brillant, au discours tout aussi engagé que visionnaire et qui a trop souvent été éludé dans l'ombre de "Halloween", on ne peut donc que vous encourager à le redécouvrir aujourd'hui.
    Bon, on s'étendra un peu moins sur le premier remake de 2006. Le film écrit et réalisé par Glen Morgan était cette fois un slasher pur jus, sympathique et souvent mésestimé (à nos yeux, évidemment) mais, en choisissant d'afficher explicitement le background de son tueur, "Black Christmas" 2006 privilégiait clairement une forme de fun horrifique (efficace) au détriment de la proposition bien plus ambitieuse de son modèle. Si cette première resucée faisait bien le job avec son casting de jeunes actrices en devenir (on a tout de même connu bien pire comme remake depuis), elle n'en avait pas moins un caractère incontestablement plus oubliable.

    Venons-en donc à cette cuvée 2019, un "Black Christmas" signée pour la première fois par une réalisatrice, Sophia Takal.
    Première chose, fuyez comme la peste la bande-annonce qui s'est donnée pour but absurde de dévoiler la quasi-totalité de l'intrigue (un suicide marketing dépassant l'entendement) !
    Deuxième donnée capitale, si vous êtes venus en espérant voir une relecture de l'histoire du film originel ou même du premier remake, vous risquez de tomber de haut ! Certes, des éléments du cadre ont été conservés (la sororité, Noël, etc) et quelques très rares clins d'oeil viennent nous rappeler le souvenir du long-métrage de 1974 mais c'est bel et bien tout, "Black Christmas" raconte une toute nouvelle intrigue n'ayant absolument rien à voir avec son lointain ancêtre sinon... un propos féministe cette fois véritablement exacerbé.
    Dans le fond, refaire surgir la thématique centrale du film de Bob Clark à l'ère du mouvement #MeToo et de ses conséquences n'a rien d'idiot mais, pendant plus d'une heure, "Black Christmas" 2019 ne va pour ainsi dire faire que ça en oubliant toute notion de subtilité. Sophia Takal entend nous faire comprendre que la misogynie est toujours une constante en cette fin de décennie et autant dire qu'elle ne va pas y aller avec le dos de la cuillère vu que le décorum universitaire s'y prête parfaitement.
    Que cela soit à un niveau institutionnel par l'intermédiaire d'un professeur aux idées nocives, au niveau des étudiants à cause des pratiques abjectes des fraternités ou même au stade plus intime de l'héroïne poursuivie par les séquelles d'un terrible drame, "Black Christmas" 2019 cible l'homme blanc et hétérosexuel sans discernement, et ce jusqu'à sombrer dans la caricature la plus totale. La charge est tellement excessive que les rares points de nuance louables (comme quand un représentant du "camp mâle ennemi" fera remarquer qu'un point de vue extrémiste ne peut qu'en engendrer un autre) sont balayées dans cette bourrasque féministe.
    De ce côté, "Black Christmas" 2019 ne fait donc pas dans la subtilité et en oublie même hélas d'être un film d'horreur convaincant pensant les trois-quarts du temps. Pas aidé par une interdiction PG-13 qui l'enferme de fait dans une approche bien trop sage et un rythme qui frise le footing bien baveux d'un gastéropode, le film se contente de se focaliser sur son discours en ne proposant rien d'autre que quelques meurtres hors-champ précipités ou des apparitions/jumpscares invariablement foirées. Bref, passée une heure, si l'on peut saluer des intentions louables ou une Imogen Poots dont la présence dans un tel projet nous interroge, on en vient à penser que rien ne viendra sauver le film du naufrage..

    Mais, heureusement pour lui, "Black Christmas" 2019 va tout de même nous sortir de notre torpeur lors de sa dernière partie. Attention, le film ne va pas varier d'un iota dans ce qu'il entend dénoncer, cependant, il va tout de même prendre un virage bien plus attrayant qui va lui permettre de justifier son ton jusqu'au-boutiste par quelques idées amusantes et surtout l'envie d'aller en découdre sur un autre registre. À ce stade et avec des geysers de sang en plus, "Black Christmas" 2019 aurait même pu se terminer sur un affrontement jubilatoire et délirant mais, encore une fois, le PG-13 condamne ce final à n'être qu'une simple recréation un brin meilleure que le reste...

    Sauvé de l'ennui confondant par sa dernière partie , "Black Christmas" 2019 n'en demeure pas point une variation moderne aussi loupée que dispensable et qui, de surcroît, a la mauvaise idée d'oublier toute l'intelligence avec laquelle son modèle construisait son propos féministe avant-gardiste. Autant revoir une nouvelle fois le film de Bob Clark, celui de Sophia Takal ne pourra jamais atteindre la même résonnance au fil du temps...
    zorro50
    zorro50

    117 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2019
    Un film d’horreur presque à 100 % féminin, dans un campus avec des « Sosorities » menacées par un serial killer dans un premier temps, puis, qui se transforme en guerre des sexes sanglante et extravagante. C’est presque crédible par instants, ce qui valorise ce film par rapport à tout ce qui a déjà été fait auparavant dans le même genre, mais pour ma part, j’ai trouvé cela un peu trop excessif
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