Derniers Avis : Black Christmas - Page 3

Au vu des critiques, je m'attendais franchement à une daube intersidérale, et finalement c'est pas si mauvais que ça, même si ça ne révolutionne pas le genre. Et pour le côté féministe très appuyé ? Il ne m'a pas dérangé du tout et m'a même fait sourire à plusieurs reprises, car après tout chacun son tour, c'est rafraîchissant de voir une bande de filles badass défoncer une bande de petits péteux tout mignons tout propres. Bon après on est loin du sans-faute non plus et ça enchaine pas mal de grosses ficelles propres au genre, sans compter les quelques incohérences par ci par là. Mais on tient tout de même jusqu'au bout sans trop se forcer tellement l'action est omniprésente. Et d'ailleurs, en parlant d'action, j'ai lu que le film avait pas mal été coupé par la prod pour ne plus être interdit au moins de 16 ans et ainsi attirer plus de spectateurs ados, et franchement ça se voit car quasi pas une goutte de sang, aucune scène un peu trash, l'ensemble est trop "propret" et c'est un poil ennuyant pour un film d'horreur...

Certains nanars mettent plusieurs minutes avant de dévoiler l'étendue de leur nullité. Ici, non, c'est nul dès le début. Discours féministo-femmen de bas étage sont entrecoupés de scènes de meutres ridicules. Faux jump scares tout pourris, serial killer ridicule, invraissemblances à la pelle, faux raccords, interprétation indigne de "Si près de chez vous" bref à voir si vous voulez vous marrer.

franchement très mauvais, avec un message pro-feministe plus que maladroit et 10 dernières minutes façon "bioman" épiques de ridicule.Remake encore plus mauvais que le remake moyen de 2007!

Une horreur de film plus qu'un film d'horreur! Réalisé par des femmes avec des femmes pour les femmes. Le film metoo par excellence où les hommes sont presque tous des ordures! Faites la même chose en inversant les rôles et où les femmes sont toutes des.... et vous allez voir les réactions... Le derniers quart d'heure est d'ailleurs d'un ridicule a toutes épreuves.

Un seul mot. Pourquoi ? Je m'attendais à un bon petit slasher, moi qui suis fan de ce genre (Scream, Vendredi 13, etc). J'ai vite compris que j'ai été mené en bateau, et je me retrouve avec un film de féminisme et des histoires de magie noire, fraternité. Franchement c'était trop pour moi.

Film exploitant maladroitement des revendications en utilisant les clichés des années 90. Mâle blanc =pas bien, je claquer un tampon devant tout le monde car on a oublié d'en mettre, pour montrer la pleine libération de la femme etc....
Au fait, à la base, c'est un film d'horreur....

Second remake de la version originale de 1974, Black christmas reprend la même idée de base que ses prédécesseurs donc côté histoire, pas de réelles surprises à l'horizon, on retrouve toujours un groupe de jeunes femmes harcelées au téléphone puis agressées au sein de leur sonorité pendant les vacances de Noël. La scène d'ouverture nous montre clairement vers quel chemin on est sur le point de se diriger : le slasher basique, où la plupart des scènes qui pourraient s'avérer intéressantes sont cachées aux spectateurs et où l'originalité est loin d'être un atout considérable.
La seule différence ici c'est que le film se concentre un peu trop à mon goût sur la cause féministe, elle est tellement décrédibilisée que ça en devient lassant. C'est vrai, quand on regarde un slasher, on s'attend à découvrir autre chose qu'un "débat" pour savoir qui, des hommes ou des femmes sont les sexes faibles. À ma grande déception, le sujet restera sur la table jusqu'à la fin du long-métrage. Il nous fera alors découvrir des scènes prévisibles, ridicules et surtout surjouées... Quoi qu'il en soit, un casting majoritairement féminin s'offre à nous et là encore, les prestations ne sont pas toujours convaincantes. Le scénario reste bien trop bancal à mon goût. C'est en combinant tous les éléments mentionnés qu'on comprend qu'il était inutile de refaire une énième réécriture puisque ce dernier n'apporte rien de nouveau ou de saisissant. Cette nouvelle version de Black christmas tombera vite dans les oubliettes…

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Au fil des ans, nous avons eu quelques remakes de cette histoire effrayante bien-aimée. Comme en 2006 par Glen Morgan. Maintenant, nous avons une toute nouvelle version 2019 réinventant Black Christmas, cette fois dirigée par Sophia Takal. Bien que le film soit bien dirigé, il est loin d'être aussi excellent ou aussi élégant que l'original de 1974. Dans la version originale, la violence était réaliste, c'était sombre et brutal. Même le remake de Morgan avait tout pour plaire. Mais le film de Takal est tellement mauvais, ce qui est vraiment dommage. Black Christmas présente également une tonne de déjà-vu frustrants. >. Une grande partie du scénario est comme ça. Sans parler qu'il faut environ trente minutes dans ce film de quatre-vingt-douze minutes pour que quelque chose d'effrayant se produise. Dans l'ensemble ce fut un film extrêmement décevant. Il a une immense quantité de problèmes, principalement liés au scénario. Il y a une excellente réalisation et un bon jeu d'acteur. Mais malgré cela, c'est vraiment un très mauvais remake...

Un remake d'un remake !!!!.
Black Christmas est un slasher qui ne mérite pas sa sortie cinéma.
Rien n'est intéressant dans ce film, aucune intrigue, des tueurs portant des masques inutiles puisque l'on voit leurs visages au court du film.
Un dénouement complètement nul.
Un raté des sorties de fin 2019.

"Je ne m'attendais à rien, j'ai quand même été déçu"...
On se retrouve ici avec ce que le genre slasher peut nous offrir de pire. Le casting est constitué d'une tête d'affiche, Imogen Poots, actrice vue dans des films pas fameux et pas trés connus, de Gary Elwes, acteur qui promettait dans son début de carriere mais qui s'est perdu depuis une dizaine d'années, et le reste qui m'est inconnu. Encore une fois, on a pris des acteurs de 30 ans pour jouer des jeunes de 17/18 ans.
Le scénario est affreux, écrit sûrement sur un bout de table lors d'une soirée arrosée. On est ici en présence d'un slasher sans gore, sans sang.
Matiné d'une dose de féminisme bien appuyée, d'une dose de fraternité qui s'apparente au nazisme et d'une dose de surnaturel. Ce film est, en 2019, une honte au genre.
La réalisation est aux fraises, s'attarde sur des séquences qui n'en ont pas besoin, bénéficie de ralentis qui sont grotesques.
Les dialogues sont insipides, tout comme l'ensemble du film, qui dure 1h30 à peu prés et qui en semble le double.
A regarder pour la curiosité.

Donc la morale de l'histoire c'est "les hommes sont méchants, les femmes sont gentilles". De manière globale, Black Christmas est un slasher film banal, plutôt convenable pour un type slasher mais rien de surprenant.

Une bonne grosse daube : La première scène donne le ton, avec l'assassinat absolument risible d'une jeune étudiante qui fait absolument tout pour se faire tuer. Le reste est clairement nul : Les acteurs ne jouent pas très bien, les meurtres sont fades, c'est lent, la réalisation et la photographie sont moches, et l'explication des motivations spoiler: des tueurs sont consternantes
Bref, c'est très très mauvais!

Plutôt satisfait du résultat dit donc ! Alors, on va dire que le plus "gros point" (j'exagère un peu) négatif de ce film c'est qu'il est long à démarrer. Après quand débarque l'attaque, c'est desuite plus dynamique que ce soit les acteurs ou l'ambiance. En parlant d'acteurs, c'est du correct. Certaines scènes sont bien flippantes.

Pas mal du tout : ils ont réussi à faire encore plus NUL que le premier remake de 2006 !! Trop balèzes ces ricains...

Et bin, finalement il n'était pas si nul que ça le remake de 2006 !!.....Euh, attendez, je vais reformuler : si, le remake de 2006 était nul...mais pas autant que celui-ci !!!! Wahoo, j'en reviens toujours pas de ce que je viens de voir : quelle indigestion, quel mal de crâne, quel gêne...pourtant dernièrement, Jason Blum nous avait gratifié de productions sympas ("Us", "Happy Birthdead 1&2", "Nightmare Island", "Halloween") ou carrément classes ("BlacKkKlansman", "Upgrade", "Glass", "Invisible Man") ; mais alors là, franchement, quel désastre ! Déjà, on va vite parler du statut de « nouveau » remake du "Black Christmas" de 1974 : escroquerie pure et dure puisqu'on ne retrouve du film original de Bob Clark que quelques éléments (Noël, une sororité, un tueur, des meurtres) et que de toutes façons le film lâche lors de son dernier acte l'étiquette de « slasher » pour partir dans le plus grand n'importe nawak. Ensuite, parlons-en justement du côté « slasher » : la première source de plaisir de ce genre demeure les morts ; mais ici pas un seul bon meurtre, voire rigolo, à se mettre sous la dent : tout est fait hors-champ après une quelconque apparition en mode « jumpscare » automatiquement foirée et, bien entendu, sans une seule petite effusion d'hémoglobine ; que c'est frustrant cette foutue sempiternelle dictature du PG-13 !!! Enfin on va parler de la soi-disante « originalité » du film : le féminisme. Alors soyons franc : jouer la carte de protagonistes féminines fortes à l'ère actuelle du mouvement #MeToo et de ses conséquences n'était pas du tout idiot bien au contraire...cependant on a oublié deux choses : 01) avoir des femmes fortes à l'écran n'a rien d'exceptionnel surtout dans le cinéma de genre (et notamment dans les slashers) ; et les exemples sont nombreux : les "Halloween" (remakes compris), la quadralogie "Scream", "Nikita", "Boulevard de la Mort", "Les Griffes de la Nuit", les quatre "Alien", "Souviens-toi…l’Eté Dernier", "Sucker Punch", "Urban Legend", "Le Silence des Agneaux", "Sasori, la Femme Scorpion", "Hard Candy", "Silent Hill", "Terminator 2", "Haute Tension", "Anatomie", "Mad Max Fury Road", "Cold Prey", les "Kill Bill", "Ring", "The Woman", "Lady Vengeance"….mince un sous-genre entier y est même dédié avec le « rape and revenge » ("Nude Nuns With Big Guns", "Asian School Girls", la trilogie "I Spit On Your Grave", "La Dernière Maison sur la Gauche", "L'Ange de la Vengeance", "Revenge", "Angel of Death"). Alors excusez du peu, mais pour le côté « original » ou « nouveau », on repassera !! 02) Avec une si forte envie d'encourager la prise de la parole chez les femmes victimes de violences et de les faire sortir de leur position de victimes, Sophia Takal va transformer son récit en truc totalement indigeste. En effet, pendant plus d'une heure, "Black Christmas" ne va parler que de « ça » en omettant toute notion évidente de subtilité : l'homme blanc hétérosexuel, sans aucun discernement, est un MONSTRE !! La charge est tellement excessive que l'on sombre dans la caricature la plus totale ; pire : le message provoque l'effet inverse de celui recherché et le discours insulte finalement autant les hommes que les femmes !! Et dans cette optique, on ne peut plus rien faire : le film bascule dans le nanardesque vulgaire le plus absolu (ah les belles grosses métaphores bien juteuses à n'en plus finir....sans déc, regardez même la scène post-générique : on cherche à nous dire quoi ??!! spoiler: « Le chat va revenir pour asservir toutes les chattes de la planète »
, wahoo, subtil le message !!.....désolé, rien que d'y repenser, je me suis re-vomi dans la bouche !). Je passerais rapidement sur la musique quasi inexistante sauf lorsqu'un jumpscare la sollicite et sur les acteurs tous plus nuls les uns que les autres (et Imogen Poots : qu'est-ce qu'elle est venue faire ici ??!! Elle avait un contrôle fiscal et devait beaucoup de fric ??!!!). Bref, "Black Christmas" 2019 n'est ni un bon slasher, ni une parodie de slasher et encore moins un film féministe...c'est juste un très MAUVAIS film, avec une intrigue prévisible, des dialogues creux, une autocensure flagrante pour obtenir la classification PG-13 et un parti pris consternant....Vous voulez vraiment voir un film de genre féministe radical ? Alors regardez les films de Lucky McKee "May", "The Woman" et "All Cheerleaders Die" : là vous en aurez pour votre argent !!