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(...) une fresque intimiste où le temps qui passe, le souvenir inaltérable de ceux qu'on a aimés, la quête maladroite du bonheur et la mélancolie des illusions perdues composent l'état des lieux le plus poignant qu'on ait vu depuis longtemps.
Un film en forme de triptyque qui possède habileté et légèreté dans ses transitions. Même si les " cassures " entre les différentes époques sont franches, le spectateur (...) s'accommode fort bien des nombreuses ellipses temporelles qui émaillent le récit.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Au coeur de Trente Ans : le passage du temps, avec son cortège d'abdications et de regrets, mais aussi la persistance du souvenir, la fidélité secrète à ses amours et à ses amitiés fondatrices...
Un titre qui dit à la fois toute la splendeur et l'ingratitude de son sujet (...). Et qui fixe un âge aussi jeune que vieux comme dernière limite après laquelle il n'est peut-être pas interdit de refaire sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
(...) on a un peu peur durant le premier quart d'heure. Mais plus le film avance, plus les liens romanesques se nouent, plus la mise en scène s'affine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Lesté par ses intrigues sentimentales et par ses stéréotypes (...), Trente ans parvient cependant à ébaucher des destins touchants. Par leur fragilité.
(...) ce travail sur les émotions plutôt que sur les décors et les costumes permettent au film de ne pas s'engluer dans le défaut des fresques cinématographiques.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) l'interprétation solide de Laurent Lucas (...), la légèreté d'Arielle Domsballe, rayonnante, et les autres seconds rôles confirment le talent de Perrin pour la direction d'acteurs.
Laurent Perrin (...) veut visiblement raconter son histoire à la manière d'un Truffaut. La technique de récit (voix off, ellipses...) souvent utilisée par le réalisateur de la Nouvelle Vague devient, traitée par Perrin une suite de références-hommages.
La critique complète est disponible sur le site Première
La nécessité d'un tel film est facilement compréhensible pour son auteur et peut s'avérer probante. Mais ce qui fonctionne dans Les Destinées sentimentales d'Assayas (...) reste ici étrangement inerte et l'ambition romanesque ne décolle pas.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Lenouveaucinema.com
(...) une fresque intimiste où le temps qui passe, le souvenir inaltérable de ceux qu'on a aimés, la quête maladroite du bonheur et la mélancolie des illusions perdues composent l'état des lieux le plus poignant qu'on ait vu depuis longtemps.
Cplanet.com
Un film en forme de triptyque qui possède habileté et légèreté dans ses transitions. Même si les " cassures " entre les différentes époques sont franches, le spectateur (...) s'accommode fort bien des nombreuses ellipses temporelles qui émaillent le récit.
L'Evénement
Au coeur de Trente Ans : le passage du temps, avec son cortège d'abdications et de regrets, mais aussi la persistance du souvenir, la fidélité secrète à ses amours et à ses amitiés fondatrices...
Les Inrockuptibles
(...) le film se construit et s'ordonne patiemment, se délestant progressivement de ses impuretés pour suivre une courbe de qualité exponentielle.
Libération
Un titre qui dit à la fois toute la splendeur et l'ingratitude de son sujet (...). Et qui fixe un âge aussi jeune que vieux comme dernière limite après laquelle il n'est peut-être pas interdit de refaire sa vie.
Télérama
(...) on a un peu peur durant le premier quart d'heure. Mais plus le film avance, plus les liens romanesques se nouent, plus la mise en scène s'affine.
Aden
Lesté par ses intrigues sentimentales et par ses stéréotypes (...), Trente ans parvient cependant à ébaucher des destins touchants. Par leur fragilité.
Chronic'art.com
(...) ce travail sur les émotions plutôt que sur les décors et les costumes permettent au film de ne pas s'engluer dans le défaut des fresques cinématographiques.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
C'est sympathique, plutôt bien fait, mais cela manque d'ampleur, d'envol, de cinéma.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(...) un jeu - inutilement alambiqué, et pourtant in fine riche d'émotion et de sens - sur le théâtre ou, plus largement, le spectacle.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
(...) l'interprétation solide de Laurent Lucas (...), la légèreté d'Arielle Domsballe, rayonnante, et les autres seconds rôles confirment le talent de Perrin pour la direction d'acteurs.
Première
Laurent Perrin (...) veut visiblement raconter son histoire à la manière d'un Truffaut. La technique de récit (voix off, ellipses...) souvent utilisée par le réalisateur de la Nouvelle Vague devient, traitée par Perrin une suite de références-hommages.
Repérages
La nécessité d'un tel film est facilement compréhensible pour son auteur et peut s'avérer probante. Mais ce qui fonctionne dans Les Destinées sentimentales d'Assayas (...) reste ici étrangement inerte et l'ambition romanesque ne décolle pas.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com