Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli et Vincent Nicolet
Film plus ouvert que les précédents de son auteur […], ce nouveau "Pinocchio" concrétise un vœu ambitieux : revenir aux racines des mythes et grands récits italiens, les moderniser, amplifier leur écho au moyen d’une approche de pur formaliste, au talent de plus en plus difficile à contester.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Justement parce qu'il assume de n'être qu'un conte avant tout, ce "Pinocchio" parvient à renouer avec un émerveillement rare et précieux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Mad Movies
par Gilles Esposito
C'est paradoxalement en revenant à la lettre du roman que l'auteur de "Tale of Tales" (mais aussi des brutaux "Dogman" et Gomorra") a réussi à retrouver les aspérités d'un mythe qui est loin d'être aussi niais qu'on le croit.
Télérama
par Marie Sauvion
POUR : On a faim dans cette Italie, martèle Garrone, et l’on retrouve alors un peu, enfin, l’empreinte du réalisateur de Gomorra (2008) et de Dogman (2018) dans la violence crue de cette pauvreté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par François-Xavier Taboni
On pourrait ainsi penser que Garrone a posé sa patte sur le chef d’œuvre de Collodi, mais son Pinocchio est finalement bien plus proche du pantin en bois d’origine que les diverses adaptations cinématographiques qui en ont été tirées.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Baigné dans une lumière solaire puis crépusculaire, ce film baroque et onirique, entièrement au premier degré, revendique l'influence du maître Luigi Comencini. Mais on pense davantage à Tod Browning (Freaks), tant l'atmosphère est malaisante, malgré une reconstitution remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Camille Nevers
Effets spéciaux chiadés, esthétisme léché… Le "Pinocchio" de Garrone est plus qu’irréprochable : il est trop lisse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Malheureusement, dès que le pantin en bois part à l’aventure, le film perd petit à petit en souffle et en poésie. Pourtant la réalisation a des mérites : en étant plus fidèle au texte de Collodi que toutes les adaptations précédentes, elle parvient à en restituer la richesse et la subtilité.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Une adaptation fidèle du conte de Carlo Collodi. Encore une ? Oui, mais, jusqu'à présent, aucune n'avait aussi bien traduit sa sombre étrangeté.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le Pinocchio de Garrone est soigné et élégant, et ravira les enfants comme leurs parents. Même si le film peut paraître un peu trop consensuel, il s’inscrit pleinement dans l’univers du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Techniquement très (trop) propre, le film est saturé de filtres colorés, de maquillages, de prothèses et d'effets numériques en tout genre. Cette vacuité ambiante finit par renvoyer au squelette du récit originel qui ne raconte rien d'autre que le dressage d'un enfant qui apprend durement à préférer le travail et l'étude aux plaisirs du jeu, de l'artifice et de l'aventure. Pour un film qui se vautre dispendieusement dans la fantaisie, ce n'est pas le moindre des contresens.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Grégory Valens
Au contraire de la poésie qui se dégageait du film pourtant mineur dans la carrière de Comencini, ce qui relève du langage du conte, dans le "Pinocchio" de Garrone, est une simple illustration des personnages et des étapes du voyage initiatique telles qu’on les a vues, en mieux, dans les dessins des éditions pour enfants ou chez Walt Disney (dont Pinocchio demeure l’un des films les plus noirs).
Télérama
par Louis Guichard
CONTRE : Passé le moment de curiosité devant le pantin nouveau, sur le berceau duquel toutes les fées du numérique se sont manifestement penchées, rien n’étonne : le film est avant tout une mise à jour technologique du conte, une adaptation aux derniers effets spéciaux disponibles. Ce qui ne remplacera jamais un regard, une vision.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Film plus ouvert que les précédents de son auteur […], ce nouveau "Pinocchio" concrétise un vœu ambitieux : revenir aux racines des mythes et grands récits italiens, les moderniser, amplifier leur écho au moyen d’une approche de pur formaliste, au talent de plus en plus difficile à contester.
Ecran Large
Justement parce qu'il assume de n'être qu'un conte avant tout, ce "Pinocchio" parvient à renouer avec un émerveillement rare et précieux.
Mad Movies
C'est paradoxalement en revenant à la lettre du roman que l'auteur de "Tale of Tales" (mais aussi des brutaux "Dogman" et Gomorra") a réussi à retrouver les aspérités d'un mythe qui est loin d'être aussi niais qu'on le croit.
Télérama
POUR : On a faim dans cette Italie, martèle Garrone, et l’on retrouve alors un peu, enfin, l’empreinte du réalisateur de Gomorra (2008) et de Dogman (2018) dans la violence crue de cette pauvreté.
Bande à part
On pourrait ainsi penser que Garrone a posé sa patte sur le chef d’œuvre de Collodi, mais son Pinocchio est finalement bien plus proche du pantin en bois d’origine que les diverses adaptations cinématographiques qui en ont été tirées.
Le Journal du Dimanche
Baigné dans une lumière solaire puis crépusculaire, ce film baroque et onirique, entièrement au premier degré, revendique l'influence du maître Luigi Comencini. Mais on pense davantage à Tod Browning (Freaks), tant l'atmosphère est malaisante, malgré une reconstitution remarquable.
Libération
Effets spéciaux chiadés, esthétisme léché… Le "Pinocchio" de Garrone est plus qu’irréprochable : il est trop lisse.
Transfuge
Malheureusement, dès que le pantin en bois part à l’aventure, le film perd petit à petit en souffle et en poésie. Pourtant la réalisation a des mérites : en étant plus fidèle au texte de Collodi que toutes les adaptations précédentes, elle parvient à en restituer la richesse et la subtilité.
Télé 7 Jours
Une adaptation fidèle du conte de Carlo Collodi. Encore une ? Oui, mais, jusqu'à présent, aucune n'avait aussi bien traduit sa sombre étrangeté.
aVoir-aLire.com
Le Pinocchio de Garrone est soigné et élégant, et ravira les enfants comme leurs parents. Même si le film peut paraître un peu trop consensuel, il s’inscrit pleinement dans l’univers du cinéaste.
Les Inrockuptibles
Techniquement très (trop) propre, le film est saturé de filtres colorés, de maquillages, de prothèses et d'effets numériques en tout genre. Cette vacuité ambiante finit par renvoyer au squelette du récit originel qui ne raconte rien d'autre que le dressage d'un enfant qui apprend durement à préférer le travail et l'étude aux plaisirs du jeu, de l'artifice et de l'aventure. Pour un film qui se vautre dispendieusement dans la fantaisie, ce n'est pas le moindre des contresens.
Positif
Au contraire de la poésie qui se dégageait du film pourtant mineur dans la carrière de Comencini, ce qui relève du langage du conte, dans le "Pinocchio" de Garrone, est une simple illustration des personnages et des étapes du voyage initiatique telles qu’on les a vues, en mieux, dans les dessins des éditions pour enfants ou chez Walt Disney (dont Pinocchio demeure l’un des films les plus noirs).
Télérama
CONTRE : Passé le moment de curiosité devant le pantin nouveau, sur le berceau duquel toutes les fées du numérique se sont manifestement penchées, rien n’étonne : le film est avant tout une mise à jour technologique du conte, une adaptation aux derniers effets spéciaux disponibles. Ce qui ne remplacera jamais un regard, une vision.