Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Pavel Lounguine a fait d'une noce un film tonique, en même temps qu'une métaphore de la situation de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cplanet.com
par Stéphanie Thonnet
Le résultat de ce non-casting est un film joyeux, à la fois d'une douce extravagance et d'une profonde lucidité. Un décapant mélange de Ken Loach, de Roberto Benigni et d'Emir Kusturica.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) au-delà des rengaines sur la corruption, sur la collusion mafia-police, la Noce surprend agréablement dans la mesure où le cinéaste ne s'appuie pas exagérément sur ces personnages emblématiques mais les intègre à sa fresque (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Une tranche de vie, qui est comme elle est, mais à prendre, forcément, puisque la vie il n'y a que cela et c'est la leur, et que le temps d'un film c'est aussi la nôtre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro Magazine
par A.P.
Voilà un film atemporel. Ca ressemble à Kusturica mais la vie est plus dure : on est cerné par les sponsors et par les chefs. Et toujours on rêve, "on rêve de Moscou" (Tchékhov).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Voilà une Noce roborative dans laquelle les acteurs rigolent grassement, transpirent, se battent (...). Le tout avec une telle énergie que le jury du Festival de Cannes les a distingués d'un prix collectif pour leur interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On peut trouver la farce bouffonne, stigmatiser ses débordements débridés, mais il est indéniable qu'au-delà des simagrées transpire une véritable énergie, que les chansons entonnées en choeur par les noceurs ont de profonds accents de sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Carrière
Passé les premières scènes d'exposition d'un didactisme apparamment sans relief, le film dérape allègrement et on se réjouit du joyeux bordel qui s'ensuit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
par Frank Beauvais
A trop vouloir forcer le trait, Pavel Lounguine en oublie de regarder proprement ses personnages : il les filme en mouvement, les laisse s'agiter et s'entrechoquer en une sorte de valse à mille temps de pantins imbibés de vodka.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Emmnanuel Cirrode
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
La Noce de Pavel Lounguine, au style brut et parfois épais, apporte une note d'espoir et une belle vitalité dans ce monde de précarité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
(...) un film russe de plus, brossant le portrait d'une société en ruine, accumulant dans une atmosphère que la vodka échauffe complaisamment les signes de destruction, quitte à y opposer quelques valeurs humanistes, une poésie de bazar (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Repérages
par Sandrine Fillipetti
(...) une façon pour le cinéaste de rendre hommage à quelques valeurs humaines, celles-là même qui permettent à un pays en crise de ne pas totalement sombrer.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Télérama
par Pierre Murat
Tout ça est un peu long et répétitif. Sous les péripéties vaudevillesques, Lounguine nous dit quand même deux ou trois choses qu'il sait - et que l'on sait aussi parfois - de la Russie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par J-Ph.Tessé
Ce que réussit, mollement, le film, c'est à construire un burlesque paillard et éthylique ; réjouissant par moments, mais insuffisant sur la longueur. Le rythme est enlevé mais tout y est repérable.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
(...) Pavel Lounguine établit une distinction simpliste et dangereuse (...) qui l'amène à filmer une représentation en lieu et place d'une réalité ; c'est-à-dire à tomber dans l'imagerie.
Fluctuat.net
par Samir Ardjoum
(...) le résultat est plus que décevant, il fige Lounguine dans un état du cinéma qui devient de plus en plus catastrophique.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Lenouveaucinema.com
par Jean-Philippe Guerand
Difficile de retrouver l'esprit critique qui animait naguère Pavel Lounguine dans cette consternante enfilade de lieux communs sur fond de carte postale destinée à l'exportation.
La critique complète est disponible sur le site Lenouveaucinema.com
Aden
Pavel Lounguine a fait d'une noce un film tonique, en même temps qu'une métaphore de la situation de son pays.
Cplanet.com
Le résultat de ce non-casting est un film joyeux, à la fois d'une douce extravagance et d'une profonde lucidité. Un décapant mélange de Ken Loach, de Roberto Benigni et d'Emir Kusturica.
L'Humanité
(...) au-delà des rengaines sur la corruption, sur la collusion mafia-police, la Noce surprend agréablement dans la mesure où le cinéaste ne s'appuie pas exagérément sur ces personnages emblématiques mais les intègre à sa fresque (...)
L'Obs
Une tranche de vie, qui est comme elle est, mais à prendre, forcément, puisque la vie il n'y a que cela et c'est la leur, et que le temps d'un film c'est aussi la nôtre.
Le Figaro Magazine
Voilà un film atemporel. Ca ressemble à Kusturica mais la vie est plus dure : on est cerné par les sponsors et par les chefs. Et toujours on rêve, "on rêve de Moscou" (Tchékhov).
Le Figaroscope
Voilà une Noce roborative dans laquelle les acteurs rigolent grassement, transpirent, se battent (...). Le tout avec une telle énergie que le jury du Festival de Cannes les a distingués d'un prix collectif pour leur interprétation.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
On peut trouver la farce bouffonne, stigmatiser ses débordements débridés, mais il est indéniable qu'au-delà des simagrées transpire une véritable énergie, que les chansons entonnées en choeur par les noceurs ont de profonds accents de sincérité.
Première
Passé les premières scènes d'exposition d'un didactisme apparamment sans relief, le film dérape allègrement et on se réjouit du joyeux bordel qui s'ensuit.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
A trop vouloir forcer le trait, Pavel Lounguine en oublie de regarder proprement ses personnages : il les filme en mouvement, les laisse s'agiter et s'entrechoquer en une sorte de valse à mille temps de pantins imbibés de vodka.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
La Noce de Pavel Lounguine, au style brut et parfois épais, apporte une note d'espoir et une belle vitalité dans ce monde de précarité.
Le Monde
(...) un film russe de plus, brossant le portrait d'une société en ruine, accumulant dans une atmosphère que la vodka échauffe complaisamment les signes de destruction, quitte à y opposer quelques valeurs humanistes, une poésie de bazar (...)
Repérages
(...) une façon pour le cinéaste de rendre hommage à quelques valeurs humaines, celles-là même qui permettent à un pays en crise de ne pas totalement sombrer.
Télérama
Tout ça est un peu long et répétitif. Sous les péripéties vaudevillesques, Lounguine nous dit quand même deux ou trois choses qu'il sait - et que l'on sait aussi parfois - de la Russie.
Urbuz
Ce que réussit, mollement, le film, c'est à construire un burlesque paillard et éthylique ; réjouissant par moments, mais insuffisant sur la longueur. Le rythme est enlevé mais tout y est repérable.
Cahiers du Cinéma
(...) Pavel Lounguine établit une distinction simpliste et dangereuse (...) qui l'amène à filmer une représentation en lieu et place d'une réalité ; c'est-à-dire à tomber dans l'imagerie.
Fluctuat.net
(...) le résultat est plus que décevant, il fige Lounguine dans un état du cinéma qui devient de plus en plus catastrophique.
Lenouveaucinema.com
Difficile de retrouver l'esprit critique qui animait naguère Pavel Lounguine dans cette consternante enfilade de lieux communs sur fond de carte postale destinée à l'exportation.