Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Pour son vingtième film, Guédiguian rassemble sa troupe, ses thèmes et filme, en hiver, dans une calanque idéale, une histoire de rêve d’hier, solidaire et généreux, qui, avec le monde défait et des réfugiés échoués, se réinvente aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
On est frappé, dès le prologue, par la précision et l’économie narrative qui noue le récit en quelques plans. Et qui fait tomber une émotion profonde, comme une chape, qui ne quittera plus le film.
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Ce film est tellement élégant, tellement évident. Sa simplicité même, son économie sûrement sont une humanité.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film lumineux sevi par des comédiens magnifiques.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Tchékhovien, mélancolique, mais pas désespéré : superbe !
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Guédiguian retrouve son Estaque, ses comédiens et ses thèmes de prédilection. Mais insensiblement, il a évolué depuis “La Ville est tranquille” : une mélancolie apaisée a remplacé le désespoir. Et c’est toujours aussi fort, émouvant et beau.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Le communisme maritime de Guédiguian a plus que jamais les atours de la rêverie et les contours du réel, entre la mer et la scène. (...) Dans ses vieux filets de pêche brillent des éclats d’avenir et quelques sanglots.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Nostalgique sans être passéiste, dramatique sans être sombre, une magnifique leçon de vie, finalement pleine d'espoir.
Positif
par Pascal Binétruy
(...) le risque du mélodrame, le goût de la fable morale, certes, mais aussi la justesse des émotions, la liberté narrative et formelle. C'est peut-être [le] film [de Robert Guédiguian] le plus maîtrisé et le moins formaté (...).
Télérama
par Jacques Morice
Que faire de ces enfants ? Que faire du resto ? Qui pour s’occuper du vieux père ? Partir ou rester ? Autant de questions qui émergent de ce récit choral, fluide, dont l’action est habilement relancée par plusieurs épisodes dramatiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Porté par la troupe habituelle, le nouveau film de Robert Guédiguian résonne comme une introspection bouleversante d’un cinéaste sur son travail et son engagement. Il est aussi l’un de ses plus accomplis.
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) chronique sincère sur fond d’amitié et d’idéaux en berne étonnamment porteuse d’espoir.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Constant comme un métronome, le talent de Guédiguian est bien à l'oeuvre dans son nouveau film.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Soigneusement glissé dans des moments suspendus, le récit limpide se nourrit de réminiscences, les flux et reflux de la mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un film droit, émouvant, désabusé mais pas résigné.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Avec sa bande de fidèles acteurs, Robert Guédiguian signe un film familial et désabusé, qui s’achève cependant sur une note d’espoir.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un moment simple et bouleversant, cristallisant à lui seul toute l’émotion du cinéma de Guédiguian.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Que ce film est beau ! Qu’il mérite d’être aimé !
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un cinéma humaniste, bienveillant et nostalgique, qui prend le temps de respirer et de se déployer avec intensité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un film délicat sur le temps qui passe.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Pour son 20e film, coécrit avec le dramaturge Serge Valletti, Robert Guédiguian, entouré de sa petite famille d’acteurs qui connaît une tranquille expansion, mélange beaucoup d’ingrédients mais il les dose avec une telle justesse, un tel équilibre, qu’il réussit l’une de ses plus belles partitions.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Avec son côté nostalgique (sublime flash-back quand la calanque était le lieu de l'amitié et la fête), Guédiguian nous dit, avec une foi dans le cinéma qui semble, elle, inentamée, ce que sont notre époque et les gens qui y vivent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Guédiguian met en scène un beau film mélancolique et lucide qui, sans effets de manches, interroge la place du politique dans l'existence de personnages en crise de foi idéologique.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Robert Guédiguian, qui comme aucun autre sait parler de la douleur avec légèreté, de l’amour avec simplicité et de politique avec finesse quand il aborde le sujet des migrants, réalise ici l’un de ses meilleurs films.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frederic Foubert
C’est l’un des Guédiguian les plus puissants et saisissants vus depuis longtemps – sans doute depuis ses grands drames du début des années 2000, la fresque chorale La Ville est tranquille et le mélo noyé de larmes Marie-Jo et ses deux amours.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Engagé, généreux et joyeusement mélancolique. Un beau Guédiguian.
Sud Ouest
par La Rédaction
Robert Guédiguian déploie une œuvre lucide et sensible.
Critikat.com
par Théo Charrière
C’est la valeur même modeste de "La Villa", si l’on compare au moins le film à la filmographie du cinéaste : la communauté, puisqu’au bord du gouffre, ne peut plus, contrairement à ses autres films, se comprendre par le truchement d’un donné pur, telle la classe ouvrière établie comme idéal fermé aux autres sections de la société.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
L'agacement n'est pas loin. Mais force est de constater que Guédiguian tient sa route.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si on prend plaisir devant ce beau film, c'est aussi grâce à ses acteurs attachants.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre nostalgie et résignation, l’évocation inégale mais touchante d’une époque révolue.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Nathalie Simon
Robert Guédiguian, à travers une fratrie, traite trop de thèmes : héritage, poids des ans, sentiments et même immigration.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
Pour son vingtième film, Guédiguian rassemble sa troupe, ses thèmes et filme, en hiver, dans une calanque idéale, une histoire de rêve d’hier, solidaire et généreux, qui, avec le monde défait et des réfugiés échoués, se réinvente aujourd’hui.
Cahiers du Cinéma
On est frappé, dès le prologue, par la précision et l’économie narrative qui noue le récit en quelques plans. Et qui fait tomber une émotion profonde, comme une chape, qui ne quittera plus le film.
Charlie Hebdo
Ce film est tellement élégant, tellement évident. Sa simplicité même, son économie sûrement sont une humanité.
Femme Actuelle
Un film lumineux sevi par des comédiens magnifiques.
Le Dauphiné Libéré
Tchékhovien, mélancolique, mais pas désespéré : superbe !
Les Fiches du Cinéma
Guédiguian retrouve son Estaque, ses comédiens et ses thèmes de prédilection. Mais insensiblement, il a évolué depuis “La Ville est tranquille” : une mélancolie apaisée a remplacé le désespoir. Et c’est toujours aussi fort, émouvant et beau.
Libération
Le communisme maritime de Guédiguian a plus que jamais les atours de la rêverie et les contours du réel, entre la mer et la scène. (...) Dans ses vieux filets de pêche brillent des éclats d’avenir et quelques sanglots.
Ouest France
Nostalgique sans être passéiste, dramatique sans être sombre, une magnifique leçon de vie, finalement pleine d'espoir.
Positif
(...) le risque du mélodrame, le goût de la fable morale, certes, mais aussi la justesse des émotions, la liberté narrative et formelle. C'est peut-être [le] film [de Robert Guédiguian] le plus maîtrisé et le moins formaté (...).
Télérama
Que faire de ces enfants ? Que faire du resto ? Qui pour s’occuper du vieux père ? Partir ou rester ? Autant de questions qui émergent de ce récit choral, fluide, dont l’action est habilement relancée par plusieurs épisodes dramatiques.
VSD
Porté par la troupe habituelle, le nouveau film de Robert Guédiguian résonne comme une introspection bouleversante d’un cinéaste sur son travail et son engagement. Il est aussi l’un de ses plus accomplis.
20 Minutes
(...) chronique sincère sur fond d’amitié et d’idéaux en berne étonnamment porteuse d’espoir.
CNews
Constant comme un métronome, le talent de Guédiguian est bien à l'oeuvre dans son nouveau film.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Soigneusement glissé dans des moments suspendus, le récit limpide se nourrit de réminiscences, les flux et reflux de la mémoire.
L'Obs
Un film droit, émouvant, désabusé mais pas résigné.
La Croix
Avec sa bande de fidèles acteurs, Robert Guédiguian signe un film familial et désabusé, qui s’achève cependant sur une note d’espoir.
La Septième Obsession
Un moment simple et bouleversant, cristallisant à lui seul toute l’émotion du cinéma de Guédiguian.
La Voix du Nord
Que ce film est beau ! Qu’il mérite d’être aimé !
Le Journal du Dimanche
Un cinéma humaniste, bienveillant et nostalgique, qui prend le temps de respirer et de se déployer avec intensité.
Le Monde
Un film délicat sur le temps qui passe.
Le Parisien
Pour son 20e film, coécrit avec le dramaturge Serge Valletti, Robert Guédiguian, entouré de sa petite famille d’acteurs qui connaît une tranquille expansion, mélange beaucoup d’ingrédients mais il les dose avec une telle justesse, un tel équilibre, qu’il réussit l’une de ses plus belles partitions.
Les Inrockuptibles
Avec son côté nostalgique (sublime flash-back quand la calanque était le lieu de l'amitié et la fête), Guédiguian nous dit, avec une foi dans le cinéma qui semble, elle, inentamée, ce que sont notre époque et les gens qui y vivent.
Marianne
Guédiguian met en scène un beau film mélancolique et lucide qui, sans effets de manches, interroge la place du politique dans l'existence de personnages en crise de foi idéologique.
Paris Match
Robert Guédiguian, qui comme aucun autre sait parler de la douleur avec légèreté, de l’amour avec simplicité et de politique avec finesse quand il aborde le sujet des migrants, réalise ici l’un de ses meilleurs films.
Première
C’est l’un des Guédiguian les plus puissants et saisissants vus depuis longtemps – sans doute depuis ses grands drames du début des années 2000, la fresque chorale La Ville est tranquille et le mélo noyé de larmes Marie-Jo et ses deux amours.
Studio Ciné Live
Engagé, généreux et joyeusement mélancolique. Un beau Guédiguian.
Sud Ouest
Robert Guédiguian déploie une œuvre lucide et sensible.
Critikat.com
C’est la valeur même modeste de "La Villa", si l’on compare au moins le film à la filmographie du cinéaste : la communauté, puisqu’au bord du gouffre, ne peut plus, contrairement à ses autres films, se comprendre par le truchement d’un donné pur, telle la classe ouvrière établie comme idéal fermé aux autres sections de la société.
L'Express
L'agacement n'est pas loin. Mais force est de constater que Guédiguian tient sa route.
Télé 7 Jours
Si on prend plaisir devant ce beau film, c'est aussi grâce à ses acteurs attachants.
aVoir-aLire.com
Entre nostalgie et résignation, l’évocation inégale mais touchante d’une époque révolue.
Le Figaro
Robert Guédiguian, à travers une fratrie, traite trop de thèmes : héritage, poids des ans, sentiments et même immigration.