Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Parisien
par Eric Leguèbe
Jean-Charles Tacchella excelle dans ce cinéma des élans du coeur qu'il filme avec sensibilité et intelligence.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Aden
par Philippe Piazzo
Un film d'amoureux fou avec un duo d'acteurs jamais harmonieux : il y a quelque chose qui cloche. Il manque l'essentiel. L'étincelle. Le désir.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) si ce n'est certes pas antipathique, ce n'est pas passionnant non plus.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Tout le monde il est beau et, à défaut d'être gentil, tout le monde il est séduisant dans cette tragi-comédie de moeurs très propre sur elle (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Annie Coppermann
(...) tout est... trop joli, et tout sonne faux. Ou désuet. Pas désagréable, certes. Mais pas enthousiasmant pour autant !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Chronic'art.com
par Frank Beauvais
On s'étonne de voir à quel point le cinéma de Tacchella n'a pas bougé. Comme si le monde était resté figé, semblable au sommaire décor d'une dramatique télévisée des années 70.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cplanet.com
par Remy Batteault
Avec Les gens qui s'aiment, Jean-Charles Tacchella rate son coup. Il ne parvient pas à nous intéresser à cette histoire cousue de fil blanc, aux dialogues percutants (...).
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Lenouveaucinema.com
par Jean-Philippe Guerand
De bons et de beaux acteurs dans une romance d'un autre âge qui fait peine à voir venant du cinéaste au regard acéré de "Cousin, cousine".
Positif
par Françoise Audé
De tout cela émane une nostalgie d'un autre âge. Les personnages, les décors et la réalisation renvoient aux années soixante, moins celles de la Nouvelle Vague que celles d'une bonne conscience consumériste que 1968 a frappé de plein fouet.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
L'air hagard, les acteurs paraissent aussi déconnectés de leurs rôles que le film de la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Au diapason d'un dialogue oscillant entre banalité fonctionnelle et formule trop nickelée, cette comédie de mœurs asthénique se perd dans un rabâchage d'idées (et d'images) passe-partout sur le cœur et ses raisons.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
Jean-Charles Tacchella excelle dans ce cinéma des élans du coeur qu'il filme avec sensibilité et intelligence.
Aden
Un film d'amoureux fou avec un duo d'acteurs jamais harmonieux : il y a quelque chose qui cloche. Il manque l'essentiel. L'étincelle. Le désir.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
(...) si ce n'est certes pas antipathique, ce n'est pas passionnant non plus.
Le Monde
Tout le monde il est beau et, à défaut d'être gentil, tout le monde il est séduisant dans cette tragi-comédie de moeurs très propre sur elle (...)
Les Echos
(...) tout est... trop joli, et tout sonne faux. Ou désuet. Pas désagréable, certes. Mais pas enthousiasmant pour autant !
Chronic'art.com
On s'étonne de voir à quel point le cinéma de Tacchella n'a pas bougé. Comme si le monde était resté figé, semblable au sommaire décor d'une dramatique télévisée des années 70.
Cplanet.com
Avec Les gens qui s'aiment, Jean-Charles Tacchella rate son coup. Il ne parvient pas à nous intéresser à cette histoire cousue de fil blanc, aux dialogues percutants (...).
Lenouveaucinema.com
De bons et de beaux acteurs dans une romance d'un autre âge qui fait peine à voir venant du cinéaste au regard acéré de "Cousin, cousine".
Positif
De tout cela émane une nostalgie d'un autre âge. Les personnages, les décors et la réalisation renvoient aux années soixante, moins celles de la Nouvelle Vague que celles d'une bonne conscience consumériste que 1968 a frappé de plein fouet.
Première
L'air hagard, les acteurs paraissent aussi déconnectés de leurs rôles que le film de la réalité.
Télérama
Au diapason d'un dialogue oscillant entre banalité fonctionnelle et formule trop nickelée, cette comédie de mœurs asthénique se perd dans un rabâchage d'idées (et d'images) passe-partout sur le cœur et ses raisons.