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nadège P.
134 abonnés
538 critiques
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2,5
Publiée le 22 février 2019
Cette comédie est très moyenne. C'est plat, sans envergure et on s'ennuie pas mal. Il manque du souffle, du piment, de meilleures idées. Là cela reste assez brouillon dans l'ensemble.
Ce film est pas mal simplement dommage que tout soit dans la bande annonce à savoir le plus drôle ce qui m'a fait rigoler de suite et donné envie de le voir donc honnête divertissement Thomas Ngijol s'est bien amusé , pour le reste chacun ce se fera sa propre opinion
Un film humoristique sur un super heros noir qui sauve un pays d Afrique rongé par la corruption, le banditisme et les ingérences post coloniales avec la France. Le film est mauvais malgré quelques bonnes vannes qui ne viendront tout de même pas sauver le film de plus la bande son est répétitive.
"Black Snake, la légende du serpent" est une bonne comédie qui parodie les film de super héro et c'est aussi le Kick-ass français. L'histoire est sympa mais je trouve dommage que le début du film soit aussi court j'aurais voulu plus d'explications avec le président du pays d'Afrique et le président français mais après les blagues sont hilarante, les acteurs jouent trés bien et un film un peu court à mon goût.
franchement déçus. Ce film semble être une comédie, mais nous n'arrivons pas à déterminer les gags. Les scènes, comme l'histoire, sont trop simplistes et même le premier degré de l'humour nous semble déjà un niveau bien supérieur à ce que ce film peut prétendre. A éviter.
Black snake est un film de comédie qui a su me faire très rire. Si vous vous attendez à un film d'auteur ou à un film Hollywoodien et bien n'allez pas voir ce film. Si vous avez le sens de l'humour et que vous comprenez la direction de l'humour tel qu'il est exposé et bien vous passerez un très bon moment. Bon film de comédie français qui ne se prend pas au sérieux.
Un film à voir. Passez un bon moment, une ou deux scènes drôles sinon le reste fait sourire. Quelques dialogues percutants. Dans l'ensemble une bonne comédie.
Humour décapant du 1er au 3ème degré d'un superman africain dans les années 1970 post colonial , avec un dictateur , des manipulations politiques et autres , de belles bagarres bien règlées, et une journaliste percutante . Ce film pourrait s'adapter à une BD . Belle réussite .
Vu ce soir, en compagnie de Thomas Ngijol et Karole Rocher (qui répondaient aux diverses questions en étant toujours aussi sympathiques et détendus) :
Black Snake est une comédie "super-héroïque" très sympa et drôle (car oui ce que bon nombre de comédies françaises ont l'air d'oublier),prenant pour canevas le cadre connu de l'origin story et de l'acceptation des responsabilités.
Etant très adepte de l'humour de NGijol ou son comparse Fabrice Eboué, on a ici tout ce qui les caractérise, à savoir un humour de sale gosse où aucune religion, ethnie, sexe est épargné, le vivre ensemble à la poubelle (sans être aussi premier degré dans le discours bien entendu) avec un petit côté OSS 117 dans son utilisation de l'époque et du contexte socio-géographique.
La mise en scène est peut-être assez fonctionnelle et méritait sans doute plus de soin, mais le tout fonctionne vraiment avec des trouvailles d'humour et même l'appropriation des codes du genre (à savoir Zorro, les films de kung fu et un chouilla de James Bond/Johnny English) en transposant le récit dans un pays d'Afrique pauvre.
Karole Rocher (compagne à la ville également) est un très bon contre-point à Ngijol et leurs scènes ensemble fonctionnent à merveille.
Bref, ça passe à une vitesse assez ahurissante, on ne s'ennuie pas et on rit (je pense notamment aux diverses scènes où le personnage principal est en décalage total avec les évènements face à lui, les scènes d'infiltration ou une scène géniale avec Jérôme le Banner
En définitive, Black Snake est une comédie sympathique
Vu en AP. Une comédie de plus qui croit qu'il suffit d'accumuler les vannes, d'empiler des gags (souvent faiblards), de taper tous azimuts pour faire un film réussi. Alors qu'une comédie, une vraie, c'est de la mécanique de haute précision, du rythme millimétré. Rien de tout ça dans Black Snake. Juste du bien franchouillard, du grand n'importe quoi tout juste sauvé du naufrage par quelques rares vannes qui passent la ligne de flottaison.
« JACKIE CHAAAN !!! » Cinq ans après son premier long-métrage en solo - Fastlife, Thomas N'Gijol est de retour à la réalisation accompagné de sa femme Karole Rocher pour une parodie de super-héros intitulée Black Snake, la légende du serpent noir. N'Gijol se moque royalement de Marvel et autres Dc Comics de ce monde spoiler: - son introduction, ses ralentis dans les scènes d'action, sa scène post-générique ainsi que cette phrase dont le super-héros reviendra - en sont des preuves formelles. Il joue avec les codes du genre avec pertinence ! Les références en sont également plaisantes spoiler: - voir l'acteur déguisé en l'apparence d'un Green Hornet - avec des dialogues se rapprochant d'un épisode de OSS 117, sans trop en atteindre l'excellence... Dans Black Snake, on suit Clotaire Sangala qui est revenu dans son pays natal en Afrique afin de voir son grand-père. Malgré un drame familial, Clotaire va devenir Black Snake « protecteur du peuple » aux yeux de la population et va devoir affronter un dictateur appelé Ezéchias. Le deuxième film du réalisateur s'avère plus appliqué et plus maîtrisé que son prédécesseur parce que le public voit un réel travail sur les costumes et décors de l'époque, en Afrique du Sud. Un univers propre tel une création de Disney/Marvel - se référant à Black Panther ! Sa distribution d'acteurs se veut sympathique avec en tête Thomas N'Gijol interprétant cet homme égoïste et séducteur (avec sa 4L) en super-héros dont il n'a aucune limite face à ses ennemis. Il y ajoute un clin d’œil à son ancien film de son partenaire Fabrice Eboué spoiler: (dont celui-ci n'offre aucun caméo...) Le Crocodile du Botswanga - parlant africain comme le président Bobo. Karole Rocher est aussi devant la caméra, rayonnante en tout point ! Edouard Baer n'est pas vraiment dans son élément ici et n'est guère hilarant dans la peau d'un vilain... L'entrée de Jérôme Le Banner alias le Gitan présageait une scène culte spoiler: mais hélas, sa scène est de courte durée d'où une légère déception (au vue de sa bande annonce)... Mais découvrir Bernard Menez en Président de la République nous réconforte ! La bande originale de Black Snake est de très bonne facture sur du spoiler: Shirazee, Dosseh, Dinos, MHD, Stromae ou encore du Orelsan, le point est à souligner ! Et, il faut bien saisir toutes les informations de l'histoire et faire aussi attention aux moindres répliques car le rythme est très rapide (sur 1h22). Donc, Black Snake, la légende du serpent noir est une parodie de super-héros française amusante qui peut conquérir à nouveau certains inconditionnels du genre.