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    Capharnaüm
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    LaureP
    LaureP

    11 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 octobre 2018
    De l’emotion pure, une histoire poignante et une question de fond tellement vraie... ce film est une pépite à ne pas manquer. Les enfants sonnent tellement justes, comment ne pas embrasser leur cause?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 octobre 2018
    De le pure émotion cinématographique ancrée dans une hyper-réalité contemporaine, difficile de ne pas pleurer tout du long en gardant l'espoir que rien de pire ne puisse arriver à Zain ... Vous n'avez pas essuyé une larme? Vous avez perdu le peu d'humanité qu'il vous restait ... le jeune acteur semble jouer sa (courte) vie, il ne joue d'ailleurs pas ...il est, incarne ... BOULEVERSANT
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 octobre 2018
    Capharnaüm ça parle de quoi ?
    -Des immigrés et travailleurs clandestins
    -De la nécessité d’avoir des papiers pour prouver son existence
    -Du racisme, et de la peur de l’autre
    -Et surtout de L’ENFANCE MALTRAITEE
    Oui, ce sont les thèmes principaux du film et certains diront peut-être « des sujets qui ne m’intéresse pas et c’est pas pour ça que je vais au cinéma !! Pas vraiment distrayant comme programme !!». Moi je pense qu’il faut vraiment être bien né et au bon endroit pour penser cela. Mais surtout ne pas avoir conscience de ce qui se passe dans le monde alors que nous nous apitoyons sur notre sort de « privilégier ». Alors oui il y a 10% de la population mondiale qui vit dans des situations beaucoup plus envieuses que celle que nous vivons et on raconte leur histoire dans 90% des films que nous regardons. Mais il y a aussi 90% de la population qui souffre et fermer les yeux voilà l’erreur.

    « Tous les acteurs de Capharnaüm sont des gens dont la vie réelle ressemble à celle du film. Ainsi, la vraie vie de Zain est similaire (à quelques détails près) à celle de son personnage ». Sachant cela je comprends mieux pourquoi l’acteur principal ZAIN ALRAFEEA est si touchant de vérité et de justesse.

    « Capharnaüm est une fiction dont tous les éléments sont des choses que la réalisatrice Nadine Labaki a réellement vues et vécues au cours de ses recherches sur le terrain. Rien n’y est fantasmé ou imaginé, au contraire, tout ce qu’on y voit est le fruit de ses visites dans des quartiers défavorisés, des centres de détention et des prisons pour mineurs, où elle se rendait seule ». Et quand on sait cela, en ayant vu le film, ça laisse froid dans le dos. Sincèrement si j’avais vu cela de mes propres yeux, j’aurais beaucoup de mal à dormir je pense... Et quand je pense que nous nous plaignons tous les jours de nos petits privilèges. Comment peut-on se plaindre quand on voit cette misère, cette souffrance et cette violence ?

    Vous l’aurez compris, ce grand prix du jury à Cannes ne m’aura pas laissé indifférent. Oui, le film peu faire pleurer mais surtout « il nous permet de réfléchir sur la pauvreté, l'exploitation...des hommes par l'homme ». Certaines critiques ont dit « le film de Nabine Labaki confond emphase et empathie », et bien je ne suis pas du tout d’accord !! Par contre je partage ceux qui ont écrit qu’il est impossible de rester de marbre devant cette œuvre forte et dérangeante.

    Une chose est certaine. Après avoir vu ce film, comment ne pas comprendre ceux qui cherche à immigrer ??
    Jorik V
    Jorik V

    1 271 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2018
    Nadine Labaki n’a pas peur de viser trop haut et de se prendre les pieds dans le tapis avec son nouveau film « Capharnaüm ». En effet, la réalisatrice de « Caramel » brasse énormément de thèmes allant des immigrés clandestins aux mariages forcés en passant par la misère ambiante et l’enfance maltraitée. Il est évident qu’elle ne parvient pas à tout traiter correctement sur les deux heures que dure le film. En suivant les pas du jeune Zain durant tout le film, elle choisit de se focaliser sur les conditions d’un enfant mal aimé, utilisé, maltraité et livré à lui-même. Dommage donc qu’elle amorce d’autres pistes sans les creuser davantage. Mais, surtout, le film pose une question éminemment intéressante lors d’un procès que le jeune Zaïn intente à ses parents : ceux-ci peuvent-ils donner la vie s’ils ne sont pas capables d’élever leur progéniture ?

    Si cette problématique est plus que passionnante, elle permet seulement au film de se lancer et de dérouler de longs flash-backs sur l’histoire de ce jeune garçon. Mais aussi sur ce qui l’a amené dans ce tribunal pour poursuivre ses parents parce qu’ils lui ont donné la vie. C’est donc une nouvelle fois dommage car le débat ne sera pas vraiment développé dans « Capharnaüm », le film se passant du jugement et la réalisatrice de donner un véritable avis tranché. Ensuite, des gamins élevés par des parents ingrats voire mauvais et errant dans les quartiers pauvres de grandes villes rongées par la misère, on connaît un peu la sérénade, de « Oliver Twist » au très récent et beau « Lion ». Si Labaki n’innove en rien, elle le fait avec sincérité, même si son film lorgne beaucoup sur celui de Garth Davis avec Nicole Kidman en ce qui concerne la représentation de la pauvreté. En revanche, on a beaucoup reproché à la cinéaste libanaise son penchant pour l’émotion facile et la prise en otage du spectateur. Pourtant, à la vue du film, cela n’est pas vraiment justifié, en tout cas pas plus que la moyenne du genre. La misère de Beyrouth est montrée sans fard mais sans exagération et il n’y a aucun abus de séquences tire-larmes. Le sujet est triste, le film est du même acabit sans tomber dans l’excès, tout comme il évite le piège de sombrer dans le misérabilisme facile.

    Mais « Capharnaüm » tient principalement sur la prestation complètement incroyable de son jeune acteur principal incarné par un non professionnel, Zain Alrafeea. Animé d’un bagout et d’un charisme hors normes ce jeune comédien trouvé lors d’un casting sauvage aurait mérité le prix d’interprétation à Cannes tant il est bluffant. Enragé ou triste, dégourdi ou perdu, il joue certes son propre rôle mais aimante la caméra grâce à une prestance incroyable et une justesse incroyable dans chaque émotion retranscrite, en tout cas pour un enfant de son âge. On sait les enfants acteurs de plus en plus doués (par exemple et récemment Jakob Tremblay dans « Room ») mais celui-là pousse le curseur encore plus haut. En partie grâce à lui, on suit donc cette errance dans les rues de Beyrouth avec un intérêt soutenu, le film ne souffrant pas non plus de baisses de rythme. Le réalisme trop crapoteux est évité et l’émotion est au rendez-vous, ajoutée à une mise en scène élégante. On aurait cependant préféré que ce film aille au bout de ses sujets et sorte un peu plus des sentiers battus de ce type de cinéma. Mais les intentions, louables, sont là pour un résultat loin d’être déshonorant.

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    Le raleur
    Le raleur

    3 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 octobre 2018
    22/10/2018 : une oeuvre cinématographique très prenante et haletante qui interpelle le spectateur.
    A voir absolument car ce film véhicule beaucoup d'émotions et de temps forts.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 octobre 2018
    Zain est bouleversant , garder en tête que ce jeune a garçon n'a que 12 ans l'est encore plus . Une fin simple mais touchante. Une véritable vague d'émotion !
    benoitG80
    benoitG80

    3 413 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 octobre 2018
    « Capharnaüm » est rien que pour le jeu des enfants et en particulier celui de Zain, un film bouleversant !
    De voir cette misère sordide, ces conditions de vie effrayantes et inqualifiables, où ce petit bout de 12 ans à peine se débat et survit comme il peut en portant à bout de bras sa famille et pas seulement (!), on ne peut que se sentir mal à l’aise, suffoquer tant on baigne dans la noirceur, la saleté la plus totale.
    C’est poignant, dérangeant pour nous confortablement assis dans nos fauteuils bien au chaud et au propre, devant cet écran qui fait de nous un complice, presque un voyeur de cette misère au quotidien et qui pourtant oubliera aussi vite ces drames !
    Car au-delà des deux heures de cette histoire incroyable, que restera-t-il de notre envie subite de nous révolter ?
    Et pourtant Nadine Labaki fait tout pour nous toucher, pour rendre le cheminement de cet enfant à la volonté de fer, un petit d’homme protecteur au cœur gros ça, même si cette histoire nous conduit à cette prise de position impensable, soir la mise en accusation de ses parents maltraitants !
    Le duo que Zain forme avec ce bébé Yonas, est sidérant par le réalisme et cette présence rare à l’écran !
    Ces yeux terribles, volontaires, voire hargneux sous cette mèche de cheveux rebelle, resteront pour beaucoup en mémoire !
    On suit hébété les errements de ces deux enfants dans une ville de tous les dangers, parmi une indifférence totale !
    Ce témoignage dans un Beyrouth sale fait de bric et de broc et à la triste combine à chaque coin de rue, nous glace d’effroi...
    Ceci d’autant plus que la cinéaste accentue le tout avec des effets de musique appuyés, et un don manifeste pour filmer les enfants et leurs regards, alors que cet aspect est déjà plus qu’évident en nous prenant d’emblée à la gorge...
    Et encore on ne tombe pas dans le pire du pire, c’est à dire le trafic d’enfant ou la prostitution, car ici les sentiments d’affection ou d’amour sont présents même s’ils sont maladroits, ou plutôt très calculés quelquefois !
    Maintenant, il faudrait sans doute se secouer et prendre parti aussitôt à peine sorti de cette séance, pour militer et s’impliquer dans cette cause, afin de venir en aide à tous ces enfants en détresse, quels qu’ils soient et où qu’ils soient !
    Si ce cinéma ou ce déjà ce film, servait au moins a ça, ce serait déjà merveilleux pour Nadine Labaki et le petit Zain !
    Beatrice S
    Beatrice S

    1 abonné 33 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2018
    Je ne peux que dire que ce film est effectivement un chef d’œuvre incroyable ! Il est si triste, si bouleversant aussi mais si réalisme à la fois que même s’il est douloureux à voir, c’est un devoir de citoyen d’aller le voir pour comprendre ce qui se passe autour de nous et pourquoi agir en conséquence après avoir vu ce film ! Il est tellement fort qu’il me laisse sans voix...
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    632 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2018
    Cate Blanchett, présidente du dernier festival de Cannes, ainsi que les autres membre du jury, ont décerné le prix du jury au film libanais "Capharnaüm". Ce dernier s'est également vu recevoir le prix du jury oecuménique et pour la première édition en 2018, le prix de la citoyenneté. Abordant le thème délicat de l'enfance maltraitée, Nadine Labaki, la réalisatrice, a jeté son dévolu sur des gens dont la vie réelle ressemble à leur personnage. Un film témoin donc, fort et violent où la réalité submerge la fiction initiale.
    L'histoire raconte celle de Zain, grand frère d'une fratrie de huit enfants, qui, après avoir été arrêté par la police, annonce qu'il veut porter plainte contre ses parents pour l'avoir mis au monde. Il regrette le mode de vie et la misère qu'on lui impose et telle une vraie force de la nature, décide de trouver sa propre voie...
    Comme l'a très bien dit la réalisatrice lors de la remise du prix du jury ; le cinéma ne sert pas qu'à divertir ou à faire rêver, il sert aussi à faire réfléchir sur un état du monde dans lequel on vit. Avec "Capharnaüm", elle met en lumière ce qui est caché ou ce qu'on ne veut pas voir ni entendre. Elle lève le voile sur l'invisible face auquel on tourne le dos depuis trop longtemps. Alors oui, "Capharnaüm" frappe là où ça fait mal, nous confrontant à notre bien-être quotidien, et à celui totalement absent de ces enfants qui n'ont pas choisis cette vie. Ce n'est pas un film qui fait du bien et qui permet de s'évader mais bien une réalité sociale qu'on se prend en pleine figure. En abordant des thèmes comme l'enfance maltraitée, les immigrés clandestins, les dégâts occasionnés par la guerre en Syrie, la notion de frontière, de travail et de famille, la nécessité d'avoir un papier pour prouver qu'on existe, ou sinon nous ne sommes rien le cas échéant, la cinéaste nous bouleverse face à ce capharnaüm sinueux.
    Mais au-delà du dérangement que fait naitre le film chez le spectateur, c'est avant tout une oeuvre cinématographique poignante et haletante. A l'image d'un Oliver Twist des temps modernes adapté au Proche-Orient, "Capharnaüm" est une quête d'identité, une soif viscérale de vie et de liberté ! L'enfant est ici mature, courageux, fier et fort et affronte les injustices de la vie avec rage. Sa performance est totalement bluffante pour un enfant de cet âge-là, bourrée d'émotions et nuances. Il en va de même pour tous ses partenaires qui transcendent par leur naturel, leur sagesse et leur vécu car ils sont avant tout eux-mêmes avant d'être un personnage de fiction et c'est d'autant plus troublant pour la véracité insupportable du propos. Avec une proximité très intime aux acteurs, la réalisatrice nous plonge dans un combat quotidien, dans une révolte juste et indicible qui ne peut que nous secouer de la plus utile des manières. Esthétiquement, les plans sont sublimes et le montage alambiqué adoptant les flash-backs apporte à la narration une tournure originale.
    Certains spectateurs pourront se sentir manipulés par le misérabilisme prononcée de l'histoire et par la musique parfois larmoyante qui a tendance à accentuer de façon cinématographique le drame des situations. Selon moi, le naturel saisissant des comédiens l'emporte et "Capharnaüm" n'a rien d'un pamphlet démonstratif et pathos. Certes, il est parfois long, mais le déterminisme du jeune enfant participe habilement à la force romanesque de cette injustice. Car ceux qui ne veulent pas ouvrir les yeux sur cette réalité y verront probablement un beau mélodrame urbain...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 octobre 2018
    tout simplement bouleversant mais un film qui me marquera à vie !... j'a adoré... bravo à la réalisatrice ! ce petit bonhomme si juste, si tendre, si délicat malgré ce qu'il endure... cette injustice, cette violence, cette misère, ne peuvent laisser un être humain insensible... c'est révoltant... mais ce film est aussi un magnifique message qui remet les pendules à l'heure sur nos petits soucis du quotidien ! Que nous sommes privilégiés,... nous qui allons au cinéma !!!!!
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2018
    On n’oubliera pas de sitôt le regard de Zain, ni celui de sa sœur Sahar, ni même celui du petit Yonas…quand on sait que tous les acteurs sont des gens dont la vie réelle ressemble à celle du film, je suis toujours surpris ce qu’un réalisateur est capable de tirer d’un enfant….Zain, Sahar, Yonas représentent une communauté invisible dont les membres survivent, enfants perdus, négligés, malmenés par les conflits, les guerres ou l’extrême misère…des enfants qui ne vont pas à l’école, qui perdent l’insouciance de la jeunesse et n’ont ni tendresse, ni le lait ou le pain…
    Zain, douze ans, vit de rien, des petites choses, de ce qu'il réussit à mendier ou de ce qu'il récupère en vendant des babioles ou des boissons rafraîchissantes aux touristes en quête de typicité culturelle. Cet argent dont il ne profite jamais, lui permet uniquement de nourrir sa famille et notamment sa petite sœur de 11 ans, Sahar, qu'il s'est juré de toujours protéger… Mais le jour où le pire arrive à Sahar et que ses parents en sont les principaux responsables, pour l’avoir « mariés » au fils de leur propriétaire, Zain décide de les poursuivre devant la justice, et à la question du juge « Pourquoi attaquez-vous vos parents en justice , » il répond « Pour m’avoir donner la vie »… C'est ainsi que s'ouvre Capharnaüm, au tribunal, à l'aube de la confrontation judiciaire de Zain avec ses géniteurs…mais nous abandonnons vite le tribunal pour entrer dans un long flash-back pour nous faire comprendre les raisons qui ont amené Zaim à poursuivre ses parents…Quand ses parents sacrifient Sahar pour des raisons pécuniaire, Zaim fugue… et l’on suit ses multiples pérégrinations dans les rues grouillantes de Beyrouth, de ses nuits difficiles esseulé dans un parc d'attraction jusqu’à sa rencontre avec une jeune immigrée clandestine éthiopienne vivant dans un bidonville et dont il deviendra le baby sitter attentif de son jeune fils Yonas. Zaim est de tous les plans, filmé par une caméra portée à l’épaule, plongées, contre-plongées, ralentis…. Nadine Labaki, la réalisatrice et scénariste, dans un style brut et un naturalisme percutant (décors naturels, acteurs amateurs), essaye par tous les moyens de capter au plus près la misère ambiante.
    Mais n’en fait-elle pas un peu trop ? Si elle offre une vision très réaliste du Liban d'aujourd'hui, celle d’un petit pays dont 30% de la population sont des réfugiés syriens et palestiniens et propose une réflexion intéressante sur la société et le monde arabe (notamment sur les femmes), le film pâtit d’un misérabilisme agaçant…trop long, trop complaisant , trop larmoyant…parfois trop confus et fourre-tout…les enfants maltraités, les mariages forcés, l’immigration bien sûr, les sans-papiers, la corruption et la misère…Le sujet du film est suffisamment fort sans avoir besoin de ces artifices et fioritures….jusqu’à la fin à l’optimiste forcé , où la réalisatrice semble chercher les larmes de ses spectateurs… trop d’emphase tue l’empathie…dommage !!
    scrabble
    scrabble

    34 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 octobre 2018
    bon !!!! c'est vraiment dans l'air du temps : le misérabilisme. les sans papiers, les expulsions et tout le reste des bidonvilles des pays arabes. ça a dû tirer les larmes du jury de cannes (fort riches) pour primer ce film qui est long mais long où les scènes se répètent. bref ! ça ne casse pas 3 pattes à un canard. la seule chose sympa c'est que le gosse qui est aussi beau et qui joue très bien et c'est tout !!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 octobre 2018
    Ce film est digne de son ovation au festival de Cannes qui a duré une dizaine de minutes (une des plus longue ovation de l histoire du festival). Touchant, subtil, émouvant... d'une réalité frappante et révoltante! Magnifique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 octobre 2018
    Excellent film mettant la lumière sur de nombreux problèmes sociaux. Très émouvant du début à la fin ! Préparez le paquet de mouchoirs !
    Isylwip W
    Isylwip W

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 octobre 2018
    Tout simplement magnifique, plein d'émotion et d'un réalité frappante. J'ai adoré le film du début à la fin.
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