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laurence l
140 abonnés
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4,5
Publiée le 3 novembre 2017
Comme toujours un grand film de Olivier Marchal. On y retrouve une atmosphère qui sonne vrai. normal pour quelqu'un qui connait son sujet. Tous les acteurs sont au top un grand polar noir comme on les aime
La marque de fabrique d'Olivier Marchal, c'est le bon polar nerveux.
Avec "Carbone", il signe un thriller efficace porté par un casting admirable avec, à sa tête : Benoit Magimel Si je trouvais le choix de départ surprenant, il m'aura fallu à peine 5 minutes, pour admirer son charisme. Comme à l'accoutumé, O.Marchal apporte un soin particulier à ses personnages en filmant leurs pensées. La tension est donc palpable du début à la fin. Michael Youn est très touchant durant les premières minutes. J'espère que ce contre emploi lui donnera des perspectives d'avenir pour des rôles plus sérieux. Cette fiction, adaptée d'un fait divers, représente mon coup de coeur du moment. La direction d'acteurs et la mise en scène y contribuant pour beaucoup. A voir absolument.
Un polar sombre, magistralement réalisé et interprété, qui explore mieux l'âme humaine qu'il y paraît. Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
Un film qui n’est pas mauvais mais qui ne me laisse pas d’empreinte.c’est un peu sombre au niveau photographique. Le sujet est intéressant mais aurait pu être traité avec plus de finesse.
Bjr du "Marchal" plutôt pas mal, certes le scénario issu d'une histoire vraie (fraude à la taxe carbone) ne sort pas de l'ordinaire mais j'ai apprécié la montée dramatique qui mène à l'embrasement finale. Cet enchaînement inexorable qui détruit les vies est cohérent avec des personnages ambigus aussi repoussant qu'attachant. Les acteurs sont bons et bien choisis Magimel est excellent dans un registre où il excelle, M. Youn dans un rôle dramatique tout à fait crédible, en guest star Depardieu est convaincant, Moussa Maaskri toujours aussi terrifiant en truand sans pitié, jolie composition de Dani, L. Smet un peu effacé et gros plaisir de revoir P. Catalifo vrai gueule de cinéma trop peu utilisé dans le rôle d'un flic border line. Un bon moment...
Magimel se traine autant que toute la première partie du film. Quelle autre milieu que le cinéma accepterais d'embaucher un type dans cet état? Espérons que la mentalité évolue, c'est une triste vitrine pour les jeunes generations. Mais le film fait aussi la promotion du tabac, on a mal à la gorge en sortant. Est-ce Europa Corp qui trafique avec les lobbyistes de l'industrie du tabac pour financer ses films? Une piste à creuser. Quand a l'aristocratie culturelle française, elle prive encore une fois d'emploi une comédienne méritante en employant a sa place une" fille De" cette fois ci la dénommée Smet, fille de Johny, totalement insipide dans t une prestation aussi inexistante que sans doute grassement rémunéré. On est donc très loin de "36 quai des Orfèvres", et si le sujet est intéressant car il met en lumière l'incroyable incompétence de Bercy, le film rebondi de clichés en clichés sur le monde de la nuit juive et les malfrats arabes.
Un bon départ avec une histoire réelle qui a eu un coût (1,6 milliards d'euros, somme perdue par l'Etat), la taxe carbone était un très bon sujet à traiter. Olivier Marchal s'est servie de cette affaire mais n'a pas réellement su en développer les étapes. Dans la mesure où mafia, corruption de la police, sociétés fictives et clientèle inexistante, tout cela se fait trop rapidement, les étapes font que du dépôt de bilan on passe à des milliardaires (non préparés à ce phénomène). Tout va très vite sans réelle connexion entre les parties. De bons acteurs, mais encore une fois le manque d'expérience en affaires pour que cela soit convaincant n'apparaît pas. D'où ce final où tout se termine dans la violence et des morts. Il est dommage que le réalisateur n'est pas mieux "liquéfier" les étapes, cela aurait été plus crédible.
les hold-ups nouvelle génération qui ne nécessitent pas d'autres armes que celles employées par nos énarques. PLV : une belle brochette d'acteurs pour un film sympa
Une histoire vraie racontée avec brio et interprétée par des acteurs vraiment très bons. C’est un thriller français dynamique qui nous emmène dans ce monde du banditisme.
Très bon film noir sur un sujet qui mettait totalement inconnu. Le charisme des acteurs est non critiquable, comme la mise en scène. J'ai adoré. Du bon cinéma français ! ----Septembre 2023----
Le thriller certes est prenant,mais le sujet de l'arnaque à la TVA méritait mieux.J'attendais un film sur une fraude et je vois un petit polar.Benoit Magimel est bien dans son rôle,Depardieu semble lire son texte et on se demande ce que vient faire Laura Smet dans une amourette sans grand intérêt.Dommage.J'oubliais les passages trop longs de RAP que j'ai trouvés insupportables.
Du grand Marchal, un vrai polar noir et magistralement emmené par un Benoit Magimel qui colle bien aux personnages tous les rôles sont excellents et très bien joués, la réalisation, la bande son, les images tout est bon. A voit pour les amateurs de polars noirs
Un bon film Français du genre!On assiste à la dégringolade d'un gérant d'entreprise qui décide de reprendre ça vie en main par tous les moyens possibles,qu'ils soit illégaux ou pas,la en l'occurence il monte une escroquerie financière d'ampleur au carbone.On assiste dans une première partie à son ascension et ensuite dans une deuxième partie aux complications.C'est bien emmené avec une tension et un suspens palpable,Benoit Magimel est impeccable et décidément taillé pour se genre de rôle,même Michaël Youn dont je suis pas très fan est vraiment convaincant.Voila, un bon polar original dans son genre avec une mécanique un peu longue à se mettre en place mais qui une fois lancée met le paquet!3,5/5
C’était nul, une intrigue banale pour faire connaître le sujet intéressant de la taxe Carbone, le scénario règlement de compte entre bandits. Reprenant le thème cher au réalisateur autrefois inspecteur de Police, les références à ses anciens collègues, une certaine époque de sa vision d’avoir travaillé au sein de l’autorité policière. La mise en scène est linéaire, ça ne me surprend pas, l’histoire suit son chemin vers la simplicité.