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La force du film vient également du fait que la plupart des comédiens sont des non professionnels. Ils apportent un jeu brut et vif, sans aucun calcul et aucun " truc " de jeu. La mise en scène est limpide et terrienne, mais avec la légèreté de la sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Ce qu'il y a d'indiscutable en tout cas dans Le tableau noir, c'est la poésie des images. Si bien que dans Le tableau noir ce qui se voit se comprend mieux que ce qui s'y dit : on est vraiment au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le film (...) est à l'image des paysages de montagne dans lesquels il se déroule : beau, âpre et dur. Entre réalité et allégorie la jeune cinéaste de 20 ans pose un regard attentif sur ses personnages.
(...) la jeune Samira Makhmalbaf (...) est parfois prise dans son système de mise en scène. La beauté des figures qu'elle trace à l'écran et l'originalité de ses idées de cadrage ne suffisent pas toujours à donner chair et grâce à sa frénésie symbolique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cinéaste sensible, Samira Makhmalbaf évite tous les pièges didactiques du cinéma à thèse et préfère la poésie pour stigmatiser la folie des hommes. Rien n'est appuyé dans "Le Tableau noir".
Malgré un scénario qui entrecroise parfois inutilement les pistes et abuse des métaphores redondantes, le film est constamment habité par une exigence créatrice irréductible et surprend par l'audace dont il fait preuve (...)
Malgré un scénario d'une apparente simplicité (...), des personnages types du cinéma iranien (...), et un arrière plan historique, la fille de Mohsen Makhmalbaf, avec un sens plastique époustouflant, compose un film d'une étrange complexité.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
A force de lui poser des équations à inconnues multiples, l'élève spectateur a du mal à assimiler la leçon et se retrouve dubitatif et désorienté. Et poutant (...) on voudrait bien comprendre les motivations de ces ayatollahs de la grammaire (...)
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
De beaux plans (les instits avec leurs tableaux sur le dos), mais trop de symboles et pas assez de réalité (iranienne) pour passionner. Un chouia étouffe-chrétien.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
D'abord buissonnier, Le tableau noir rentre vite dans le rang, endosse l'uniforme du film d'instit' respectueux du programme, égrène ses séquences comme autant de leçons.
Si la première partie du film est généreuse en beautés étranges, la suite s'avère moins convaincante, la jeune S. M. sombrant quelque peu dans la métaphore obscure concernant le concept à géométrie variable de nation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les métaphores sont trop appuyées, les ambitions poétiques trop visibles. Le trait y est tremblant. On pense à l'esquisse d'un tableau dont les contours resteraient encore à définir, ou à une flèche qui raterait toujours sa cible.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Cplanet.com
La force du film vient également du fait que la plupart des comédiens sont des non professionnels. Ils apportent un jeu brut et vif, sans aucun calcul et aucun " truc " de jeu. La mise en scène est limpide et terrienne, mais avec la légèreté de la sensibilité.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Aden
Fable poétique tout autant que politique, Le tableau noir est d'abord un surprenant voyage.
L'Obs
Un film-fable fort et bouleversant.
Le Figaroscope
Ce qu'il y a d'indiscutable en tout cas dans Le tableau noir, c'est la poésie des images. Si bien que dans Le tableau noir ce qui se voit se comprend mieux que ce qui s'y dit : on est vraiment au cinéma.
Le Journal du Dimanche
Le film (...) est à l'image des paysages de montagne dans lesquels il se déroule : beau, âpre et dur. Entre réalité et allégorie la jeune cinéaste de 20 ans pose un regard attentif sur ses personnages.
Le Monde
(...) la jeune Samira Makhmalbaf (...) est parfois prise dans son système de mise en scène. La beauté des figures qu'elle trace à l'écran et l'originalité de ses idées de cadrage ne suffisent pas toujours à donner chair et grâce à sa frénésie symbolique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Lenouveaucinema.com
Cinéaste sensible, Samira Makhmalbaf évite tous les pièges didactiques du cinéma à thèse et préfère la poésie pour stigmatiser la folie des hommes. Rien n'est appuyé dans "Le Tableau noir".
Libération
(...) ce sont deux piliers fondamentaux de la société iranienne, la famille et l'éducation, qui sont dynamitées sous nos yeux.
Positif
Malgré un scénario qui entrecroise parfois inutilement les pistes et abuse des métaphores redondantes, le film est constamment habité par une exigence créatrice irréductible et surprend par l'audace dont il fait preuve (...)
Urbuz
Malgré un scénario d'une apparente simplicité (...), des personnages types du cinéma iranien (...), et un arrière plan historique, la fille de Mohsen Makhmalbaf, avec un sens plastique époustouflant, compose un film d'une étrange complexité.
Chronic'art.com
Si les images de Samira Makhmalbaf sont très belles, elles ne suffisent pourtant pas à pallier le défaut majeur du film : la surcharge symbolique.
Cinopsis.com
A force de lui poser des équations à inconnues multiples, l'élève spectateur a du mal à assimiler la leçon et se retrouve dubitatif et désorienté.
Cinopsis.com
A force de lui poser des équations à inconnues multiples, l'élève spectateur a du mal à assimiler la leçon et se retrouve dubitatif et désorienté. Et poutant (...) on voudrait bien comprendre les motivations de ces ayatollahs de la grammaire (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
De beaux plans (les instits avec leurs tableaux sur le dos), mais trop de symboles et pas assez de réalité (iranienne) pour passionner. Un chouia étouffe-chrétien.
Les Inrockuptibles
D'abord buissonnier, Le tableau noir rentre vite dans le rang, endosse l'uniforme du film d'instit' respectueux du programme, égrène ses séquences comme autant de leçons.
Première
Si la première partie du film est généreuse en beautés étranges, la suite s'avère moins convaincante, la jeune S. M. sombrant quelque peu dans la métaphore obscure concernant le concept à géométrie variable de nation.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Fluctuat.net
Les métaphores sont trop appuyées, les ambitions poétiques trop visibles. Le trait y est tremblant. On pense à l'esquisse d'un tableau dont les contours resteraient encore à définir, ou à une flèche qui raterait toujours sa cible.