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willnot94
147 abonnés
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4,5
Publiée le 15 août 2010
Formés à l'école Chris Carter pour l'excellente "The X-files" et après une désaventure télévisuelle pour Space 2063 tournée court, James Wong à la réalisation et Glenn Morgan au scénario, nous offre, à travers une passion des séries B et du fantastique, un Destination finale dès plus agréable, sans jamais tomber dans une parodie et une caricature de ce genre plutôt casse-gueule. Le suspens va creshendo grâce à une tension exceptionnelle durant le premier quart d'heure et aux multiples rebondissements qui permettent au film d'être passionnant d'un bout à l'autre. Ce film fleure bien les années 80, véritable décennies de perles du même genre.
On sait ce que disait Hitchcock sur le suspense : si on montre la bombe sous la table, le spectateur est prévenu et attendra (fébrilement) l'explosion ; si on ne la lui montre pas, il sursautera sous l'effet de surprise, mais il n'y aura eu aucun suspense. Cette assertion de pur bon sens est respectée en permanence dans "Destination Finale", et c'est ce qui fait la réussite de ce film : à défaut d'être vraiment terrifiant, il dispose d'un suspense très efficace. Pas étonnant qu'un des personnages s'appelle... Hitchcock ! Certaines scènes (la mort de Tod et celle de Mlle Lewton) fonctionnent mieux que d'autres, alors que ce sont paradoxalement celles qui nécessitent le moins d'effets spéciaux : c'est évidemment plus stimulant lorsque, par la caméra et le montage, le réalisateur n'utilise que les éléments les plus basiques du cinéma pour arriver à son effet. Le principal défaut du film repose dans le fait que, si les morts sont toutes réussies, les scènes qui les séparent sont beaucoup moins intéressantes. Exactement comme "La Féline" de Jacques Tourneur, film d'épouvante des années 1940 qui disposait de trois scènes inoubliables de morts mais qui devenait incroyablement inefficace en dehors de ces séquences. Comparaison tirée par les cheveux ? Pas tant que ça : il y a dans "Destination Finale" un personnage nommé Valérie Lewton. Le célèbre producteur de la RKO à l'origine de "La Féline" s'appelait... Val Lewton.
Cette introduction dans l'univers de "Destination finale" ne manque pas de séduire et de surprendre, mais pourrait décevoir certains par la timidité de ses effets spectaculaires. Mais l'angoisse est de rigueur et les sursauts ne manquent pas.
L'idée est pas mal mais les morts sont vraiment plus absurdes les unes que les autres.. si la mort avait été personnifiée ça aurait fait un peu trop scream mais ça aurait été moins capillotracté.
Destination Finale s'appuie sur un scénario travaillé, solide, et justement récompensé par des effets spéciaux appropriés. Pas un moment de répit -ce que l'on avait pas vu depuis Speed à mon goût- et du suspense jusqu'à la dernière image, qui je l'avoue m'a pas mal marqué. la mise en scène est plus qu'éfficace. Les acteurs pour la plupart sont peu connus en Françe , mais ils ne manquent pas de conviction. Reste un film qui vous donne des sueurs froides et qui ne vous lache pas jusqu'au bout! e.Vraiment si vous êtes amateur de frissons je vous le conseil vivement!On se pose des questions on est étonné, captivé,stressé... Le spectateur est "scotché" à son fauteuil du début à la fin. Egalement une grande leçon de spiritualité: personne ne peut échapper à son destin, la mort vaincra toujours le vivant. Les effets spéciaux sont pas mal, l'intrigue tiens en haleine jusqu'au bout, un thriller comme on les aime !! Chapeau! Indispensable dans votre DVDtèque !!
Finale Destination prête une attention toute particulière aux choses et objets du quotidien qui, utilisés par la grande faucheuse, mutent en instruments de trépas : un set de couteaux, une bouilloire, l’installation électrique située à l’extérieur de la maison, la devanture d’un hôtel parisien. James Wong pense sa mise en scène comme un jeu de fausses pistes, révélant ainsi l’importance du cadre pour signifier la menace – c’est-à-dire la rendre perceptible par des signes : cadrage, mouvements de caméra, lumière. Menace qu’il déplace non sans un certain plaisir sadique. Le réalisateur joue avec ses images comme les personnages servent de pions que déplace la Mort sur cet échiquier géant qu’est l’existence, symbolisé par le plan de l’avion avec ses allées, ses sièges et ses passagers. En outre, les adolescents victimes ne troquent jamais leur bêtise profonde contre l’intelligence des héros standardisés : ils continuent de se bagarrer sans raison, débitant une série de lieux communs sur le hasard. Nous comprenons rapidement que Wong nous convie à un jeu de massacre, un voyage non à Paris – destination finale pour la classe – mais au bout de la gaucherie, ce qui n’est pas sans parodier le genre du slasher alors à bout de souffle. Une réussite.
Je ne vois làqu'un film opportuniste pour djeuns, surfant sur le fait que les films d'horreurs ne se prenait pas au serieux, voir s'auto parodiaient. Des personnages sans aucun charisme, sans travail d'écriture, interprété par des trentenaires se faisant passer pour des ados. Les morts grand guignolesque ne sont même pas drôle et la mise en scène est inexistante et le film sans âme. Même pas un plaisir coupable.
Comme dans "Alien' ou "Les Dents de la Mer", le serial-killer du film n'est que très peu montré à l'écran. Ici, le serial-killer nommé... la Mort, est représenté par un souffle de vent vicieux et presque pervers. Celui-ci cherche à éliminer les survivants du crash d'un avion New York - Paris. Réalisé par James Wong, le premier volet de la saga des "Destination Finale" est extrêmemnt jouissif. Relançant en son genre le genre du slasher quelques années après "Scream", "Destination finale" nous tient en haleine durant 93 minutes. Sérieux et second de gré à la fois, le film de James Wong sait distiller un suspense et une angoisse jamais oublié, comme dans cette formidable séquence d'introduction de près de 20 minutes. Si le film s'essoufle dans ses dernières minutes, c'est pour mieux nous préparer à un final teinté d'humour noir dans un paris cliché. "Destination finale" est une bonne surprise.
Un très bon concept de l'épouvante, bien exploité qui ouvre une saga intéressante, pour la créativité ! Cet aspect d'une réalité que le réalisateur a réussi à encadrer est exceptionnel, nul besoin d'autre coupable que la mort elle-même, provoquée par de jeunes ignorants ! La recherche de l'équilibre est mise en place, avec des scènes plus ou moins impressionnantes des morts. On retrouvera notamment de meilleurs coordination dans les prochains films, toujours dans le même concept. Cela dit, ce premier opus est bel et bien mon préféré pour sa flexibilité stimulante !
Le meilleur de la saga même si le deuxième lui empiète le pas également, lors de son arriver l’ambiance et l'intrigue sont toute nouvelles.. toutes fraiches, des jeunes échappent a la mort grâce a des visions.. des images prédisant l'avenir devient le déclencheur de l'intrigue ... la base du film est donc créer ..mais le reste c'est la mort qui s'en charge ...du moins elle essaye ... recollé des morceaux manquant de son puzzle... la mort tel un souffle invisible plus silencieuse qu'une brise agit de minutes en minutes ..comme un venin qu'on arrive pas a extraire... on découvre, on s'exclame de quelques scènes plus ou moins gore... mais c'est du bon film qui avais réussit a attirer des grandes foules... Ali Larter joue bien elle sera d'ailleurs un personnage phare de cet saga qui depuis s' ai bien essouffler au fil des années ...