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    Une messe pour Dracula
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    19 critiques spectateurs

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    Estonius
    Estonius

    3 433 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2014
    Une bonne série B, bien interprétée, correctement mise en scène et avec un scénario qui tient la route (malgré quelques lourdeurs). Et puis il y a le décolleté de la pulpeuse Linda Hayden. Quelques ombres au tableau : Christopher Lee qui accomplît un service minimum, un montage parfois déroutant et la fin sans réelle surprise.
    Alexarod
    Alexarod

    286 abonnés 1 868 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juillet 2017
    Christopher Lee à la Warner, en tant que Dracula, c’est nouveau et j’attendais du neuf du coup, ben…
    Déjà on a l’impression que c’est la suite d’un autre opus que j’ai vu. En effet, on commence par un cri et un râle, pas mal, ça donne le ton, ça pose l’ambiance, ça peut faire un peu peur mais… cela s’arrête là car on voit juste Dracula avec une croix dans le torse se changer en peinture rouge. Si les FX sont bien faits pour l’époque, la spoiler: double mort de Dracula est un peu moyenne, surtout la 2ème qui est franchement pourrie. Dans un sens, après le pieu, l’eau et la lumière on n’avait jamais eu droit à des hallucinations dues à des images qui font tomber le méchant au sol et qui décède, oui c’est aussi naze que ça
    .
    Niveau nul le scénario se place bien aussi. Des vieux bourgeois qui s’ennuient suivent un gamin effronté et déshérité, à la réputation sulfureuse, pour une nuit dont ils ne savent rien. Alors quand tu commences à payer une fortune pour rien, à te balader dans un coin zarb, à entendre des incantations et à devoir boire un gaspacho supra épais avec des grumeaux, non là je m’étonne qu’aucun ne se révolte ou ne manifeste un tant soit peu de volonté. Bon après tout est assez clair, l’histoire est banale mais passe pour un énième Dracula, Christopher Lee est toujours aussi bon, les autres acteurs étant très médiocres, tout comme les décors qui datent, la musique convient parfois (pas tout le temps), les dialogues (en vf en tout cas) sont moches, trop désuets et sans sens par moments, les longueurs assez nombreuses et le rythme ne se tient pas. Signalons toutefois que l’aspect érotique, sulfureux et charmeur des vampires est plus que suggéré, enfin pourrait-on dire, mais par rapport à un film banal actuel c’est peanuts. Ah et par rapport à Stoker, hormis Dracula et Lucy on n’a rien de commun.
    Au final, le fait de passer à la Warner ne change rien, on a droit au bon vieux Dracula des familles de la Hammer. Ce n’est pas une catastrophe en soi mais c’est pas top, et peu de choses changent. L’intérêt est juste d’en ajouter un à la collection, et de voir quelques scènes osées en ce temps.
    AMCHI
    AMCHI

    5 873 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2011
    Malgré la lassitude de Christopher Lee pour le rôle de Dracula le voici dans un nouveau opus Une Messe pour Dracula, il est vrai qu'il semble légèrement fatigué par ce rôle mais Lee fait toujours son effet dans la cape du de ce vampirique Comte. Une Messe pour Dracula fait partie des bons films de la série notamment grâce à la qualité de la mise en scène qui a su installer une certaine noirceur de plus la musique de James Bernard sert toujours aussi bien ce film comme pour les autres Dracula d'ailleurs. L'histoire est pas mal et la scène de la messe noire fait son effet. Du très bon cinéma de série B avec la participation de Geoffrey Keen (le patron de 007) excellent dans la peau d'un tyrannique chef de famille.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    997 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 avril 2013
    Nous somme en 1970 et cela fait maintenant douze ans et cinq films centrés sur Dracula que nous obtenons. La série est bel et bien lancée et rien ne semble arrêter la Hammer, désireuse de continuer une franchise qui file sur l'or. Jamais à court d'idées toutes plus saugrenues les unes que les autres, les scénaristes ressuscitent une nouvelle fois le vampire pour une péripétie ensanglantée qui peine hélas cette fois-ci à proposer quelque chose de neuf... Commençant exactement là où finissait Dracula et les femmes, soit par la mort du Comte empalé sur un énorme crucifix, Une Messe pour Dracula va aller encore plus loin dans le n'importe quoi : pendant que la bataille finale entre le jeune Paul et le monstre faisait rage, un immonde voyageur traverse le pays et tombe pile à ce moment-là sur le vampire agonisant, récoltant ses cendres pour en faire fortune. Mais le suceur de sang va bien entendu se réveiller et commencer inlassablement un nouveau carnage dans le village voisin (qui, rappelons-le, change à chaque épisode). Nous en sommes au cinquième opus et la lassitude commence à s'emparer de nous, l'originalité n'étant clairement plus de mise tandis que la comparaison avec l'œuvre de Bram Stoker n'est plus à mentionner depuis des lustres. Réalisé par le téléaste hongrois Peter Sasdy, qui nous livre une mise en scène impersonnelle mais convenable, Une Messe pour Dracula amorce lentement le déclin de la saga, saga qui comptera encore trois autres opus. Ici, le Comte se fait rare et l'intrigue s'avère peu passionnante. En effet, le vampire décide d'occire progressivement les trois bourgeois ayant tué celui qui l'a ramené à la vie, une attitude incompréhensible venant de cet être diabolique sans attache qui continue machinalement de séduire quelques donzelles et de rester dans la pénombre. En somme, ce cinquième film reste en soi un bon petit film de vampire mais, rattaché à la saga, demeure un bien piètre épisode que l'on oublie très rapidement.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 084 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 juin 2015
    Bon alors là, une question se pose : est-ce que je dois en pleurer, ou en rire? Non parce que là, je crois qu'on a réellement touché le fond. Et je ne cherche pas à exagérer : je suis peut-être tombé ( enfin non, je l'espère de tout mon coeur ) sur le pire film de la Hammer. Et c'est peu dire ! Tout est mauvais, même l'interprétation de Dracula by Christopher Lee, qui semble réellement en avoir raz le bol de son personnage fétiche, demeurant au final cloîtré dans cet image de démon habillé de noir. Rôle qui lui vallu celui de Scaramanga dans "L'homme au pistolet d'or", si je ne me trompe pas. C'était juste pour ceux qui ne le savaient pas. Mais c'est tellement mauvais ce film, sérieux... Jamais je ne n'aurai pensé dire cela d'un film de Christopher Lee concernant Dracula : c'est une catastrophe... Mais vraiment hein, je pèse mes mots : "Une messe pour Dracula" est de loin le pire métrage de la saga. C'est triste de voir à quel point une franchise peut tomber bas, et se corrompre dans le mauvais goût pour amasser toujours plus d'argent, avec pour seul résultat que de récolter l'effet inverse de celui voulu. Bon alors, qu'est-ce qui est mauvais dans ce "Dracula" ci? Tout, même la prestation de Christopher Lee. Mais on y reviendra, prenons notre temps. Tout commence dans une abominable scène d'exposition tentant de faire le lien entre ce film et un autre volet de la saga, lui même très, très mauvais : "Dracula et les femmes", que les spectateurs semblent avoir, aussi étrange que cela puisse me paraître, apprécier. Mais je ne démord pas, il demeure aujourd'hui encore un bien piètre volet de la saga. Une saga qui d'ailleurs, il faut le préciser, n'a pas de réel but logique : les protagonistes n'ont aucun lien au fil des épisodes, si ce n'est celui de mettre Dracula hors d'état de nuire. La seule jonction, la seule passerelle entrechaque épisode demeurera la résurection du vampire, sans que cela ne présente quaucune logique ou aucun lien. Et cela pourrait également être étoffé du scénario de ce métrage, qui reprend presque complètement les éléments scénaristiques des films précédents ( comme le font tous les Dracula depuis le troisième opus, "Dracula prince des ténèbres" ), en y ajoutant seulement quelques rites sataniques ici et là complètement foirés. Alors oui, c'est sympa de pas prendre de risque, mais au bout de cinq films, il faudrait peut-être songer à innover. Le résultat étant que la saga ne cesse de se répéter et d'être à bout de souffle, le film patine dans les méandres de la répétition, sans ne jamais réellement parvenir à réellement nous captiver : le tout refoule le réchauffé, ne faisant que refroidir un peu plus nos ardeurs. L'intrigue n'apporte donc rien aux personnages, et l'écriture des protagonistes semblent sinon vide de sens, d'autant plus dénuée d'intérêt. La mise en scène est également fade et sans amour, ne parvenant jamais à nous faire ressentir la moindre émotion, impression d'autant plus certifiée par une bande-sonore qui commence vraiment à taper sur les nerfs. J'aimais vraiment celles des précédents films de la Hammer, mais là c'est plus possible : car en plus d'avoir terriblement besoin d'être remasterisée, son niveau n'est pas forcément au sommet de ce qui pouvait se proposer à l'époque. Les dialogues sont idiots et niais, les doublages sont hideux. Pour ce qui est des acteurs, c'est pas bien folichon non plus : pas un seul d'entre eux ne ressort, aucun n'a de charisme. En bref, Cutching manque. Non, je ne le redirai jamais assez. Même Christopher Lee semble perdu parmi toutes ces petites choses ratées, et même lui joue mal ! Tellement kitsch et foiré, son maquillage, qu'ils sont parvenus à le rendre ridicule. Les mecs, ce gars c'est une icône nationale de par chez nous, alors prière de ne pas lui infliger pareil traitement !!! Vous l'uarez compris, tout dans ce cinquième film est raté, même son personnage principal, qui n'apparaît qu'après 45 minutes de film ( tappantes ). C'est pour vous dire les longueurs... A éviter, car après l'avoir vu, vous ne reviendrez pas à la vie comme tonton Lee. La messe est dite.
    Renaud  de Montbas
    Renaud de Montbas

    30 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 août 2021
    "Une messe pour Dracula" a beau voir le plus célébre vampire à nouveau interprété par Christopher Lee, ce n'est pas le meilleur de la série. La faute sans doute à une ambiance gothique peu présente contrairement à la plupart de la production du studio et à une bluette trop présente. J'ajoute que Lisa Blair ne sait pas éclater d'un rire se voulant démoniaque sans qu'on ait envie de jeter le crucifix dans l'écran. 2 / 5
    Redzing
    Redzing

    1 139 abonnés 4 486 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 décembre 2014
    Empalé par un crucifix à la fin du précédent opus, Dracula est ressuscité par une messe noire, et va enclencher une vengeance personnelle. Curieusement, même si l'on retrouve avec plaisir Christopher Lee, la partie avec le célèbre vampire n'est pas la plus intéressante du film (il n'est d'ailleurs vraiment présent que durant les 30 dernières minutes). En revanche, "Taste the Blood of Dracula" dispose d'un premier acte de très bonne tenue, où trois hommes, en apparence stricts et conservateurs, sont en réalité des clients habituels de maison close, enclins à la débauche, et à la recherche de nouvelle sensations, quitte à participer à un cérémonie sataniste (!). Parmi eux, le très convaincant Geoffrey Keen, surtout connu pour son rôle de ministre bienveillant dans la franchise 007, et qui incarne ici un père de famille des plus détestables. A côté, le film dispose de plusieurs qualités de ses prédécesseurs : des décors/costumes soignés, des séquences sanglantes pour l'époque, et une pointe d'érotisme qui relève le tout.
    Chaill
    Chaill

    19 abonnés 397 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mai 2017
    La série s'essoufle gentiment avec ce nouvel opus, preuve que la Hammer eut du mal à passer le cap des années 70. Les décors du XIXe sont réduits au minimum pour économie de budget, l'intrigue est quelque peu décousue et illogique (Dracula veut venger l'humain qui l'a ramené à la vie, pourquoi donc?; certains personnages disparaissent du film sans raison...) spoiler: sans parler de la mort du vampire, carrément "Benny-hillesque"
    .
    dougray
    dougray

    242 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 octobre 2016
    Après avoir enchanté les fans du genre avec deux épisodes de haute volée ("Le cauchemar de
    Dracula" et "Dracula prince des ténèbres"), la Hammer commençait à montrer quelques signes d’essoufflement avec "Dracula et les femmes"… ce que "Une messe pour Dracula" vient confirmer. Non pas que le film soit mauvais (il est même supérieur à son prédécesseur à bien des niveaux, à commencer par son scénario et la qualité des seconds rôles), c’est juste qu’il porte les stigmates des motivations purement mercantiles de ses producteurs qui se montrent bien plus soucieux de faire rentrer de l’argent (en épuisant leurs lucratives sagas) que de faire preuve d’audace et d’originalité. On retrouve, donc, les mêmes ficelles spoiler: (Dracula qui ressuscite à nouveau, les filles du casting qui vont tomber sous son regard hypnotique, le jeune premier qui va tout faire pour sauver sa belle…)
    , agrémentées d’une violence plus frontale et d’une dose de sexe plus clairement affichée spoiler: (les danseuses nues, la jeune Lucy filmée comme un fantasme pour amateurs de jeune vierge…)
    . Et surtout, choix étonnant quand on sait les efforts que la Hammer a dû déployer pour le convaincre de rempiler dans le rôle-titre, on attend près de spoiler: 45 minutes
    avant que Christopher Lee ne pointe ses crocs (exception faite de la rapide scène d’intro faisant le lien avec l’opus précédent). Ca fait long pour un film de vampire… Son arrivée ne brille, d’ailleurs, pas par sa subtilité et son interprétation n’est pas forcément la plus marquante de la saga. La faute en incombe, sans doute, à la lassitude de l’acteur (palpable) et aux dialogues dont il s’est vu armer (assez basiques même si Lee nous régale lorsqu’il se livre à son décompte de victime avec une diction à faire frissonner). Mais, surtout, Dracula a droit spoiler: à une mort assez risible qui ne fait pas honneur à son rang.
    Dès lors, spoiler: son absence pendant plus de la moitié du film
    constitue, paradoxalement, un des points forts du film puisque les scénaristes ont pu s'intéresser aux personnages dits secondaires (et qui sont, en réalité, les personnages principaux), à commencer par cette surprenante confrérie de notables à la recherche de plaisirs interdits (Geoffrey Keen, Peter Sallis et John Carson). Le portrait de ces trois personnages est gentiment grinçant envers la "bonne société" spoiler: (à titre, d’exemple, Hargood exige de sa fille un comportement irréprochable alors qu’il fréquente les bordels et assiste à une messe noire)
    et, surtout, étonnement dense… spoiler: surtout pour des victimes en devenir
    . Leurs enfants (dont Linda Hayden, Anthony Corlan et Isla Blair) sont, également, intéressants même si leurs liens avec leurs parents auraient gagné à être davantage exploités. Mais la bonne surprise du film, c’est incontestablement, la prestation fiévreuse de Ralph Bates, véritable révélation épatant de charisme. Il campe un dandy dépravé spoiler: (par qui la catastrophe va arriver)
    qui balaie tous les autres seconds rôles de la saga (à l’exception notable de l’indépassable Peter Cushing qui manque, décidemment, beaucoup à Dracula). spoiler: On ne peut que regretter qu’il disparaisse si vite de l’intrigue. C’est, d’ailleurs, à compter de sa mort que le film perd en intérêt ou, plutôt, qu’il redevient particulièrement classique.
    Pour le reste, "Une messe pour Dracula" peut toujours compter sur le charme des productions Hammer (décors à l’ancienne, image typique, musique de James Bernard…) même si la mise en scène de Peter Sasdy souffre de certaines longueurs et d’effets de mise en scène discutable (voir le zoom calqué sur le rythme cardiaque… qui reste moins ridicule que le halo rouge du précédent opus). Ce quatrième opus de l’ère Christopher Lee est, donc, parfaitement regardable mais ne permet pas à la saga de retrouver son éclat d’antan.
    Freaks101
    Freaks101

    151 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 septembre 2011
    Ce devait être le dernier « Dracula » pour Christopher Lee, il en tourna encore 3 pour la Hammer. Le scénario de celui-ci est intéressant, trois vieux bourgeois hypocrites et décadent ressuscitent malgré eux le prince de ténèbres lors d’une messe noire, puis ils se font exterminer par leur progéniture sous l’influence du vampire. Une manière originale de punir ces patriarches immoraux. Plutôt bien mis en scène pas Peter Sasdy, le film se suit avec beaucoup de plaisir, même si le personnage de Dracula est un peu laissé pour compte.
    Grouchy
    Grouchy

    125 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2012
    La franchise du vampire s'enchaîne chez la Hammer, dans plusieurs épisodes qui se suivent. On assiste à la résurrection un peu abracadabrante du comte, qui veut accomplir la vengeance de son serviteur ( ??? Depuis quand Dracula a t-il de la compassion pour quelqu'un ?! ) Mais derrière tout ça, Sasdy dénonce une certaine hypocrisie de la haute-classe, rassemble de bons acteurs ainsi que de très beaux décors.
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    79 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2017
    Film assez banal sur le faux thème de Dracula. Un scénario plutôt bancal, mais une réalisation honnête permet de ne pas trop s'ennuyer devant cette oeuvre un peu trop surestimé. Le décor de la vieille église n'est pas trop mal, et les costumes comme les acteurs sont honnêtes. (production : Hammer).
    Melissa Zka
    Melissa Zka

    39 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 février 2018
    Vraiment moyen ce film même pour l'époque.L'histoire est ennuyeuse et on ne peut pas dire que le film ait un rythme soutenu..c'est même l'exact opposé.Les acteurs en font de trop pour certains,ce qui fait que ..nous ne croyons pas à l'histoire qui se défile sous nos yeux.Le sang est d'une couleur dès plus étrange et manque de réalisme en ayant la forme de poudre,ce qui m'arrange pour ma part.Même Christopher Lee,que j'adore est en-dessous de ses capacités.
    Bref je m'attendais à bien mieux et finalement je me suis ennuyée les 3/4 du film.C'est bien un film que je n'achèterai pas.
    benoitparis
    benoitparis

    112 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2011
    Une histoire passablement artificielle, mêlant le thème de la messe noire avec le maître-vampire Dracula, et une réalisation de la Hammer banale, en faisant tout de même exception d’une belle image et de décors envoûtants. Le véritable attrait du film est dans le coté satirique et subversif subliminal du scénario. On a trois hommes murs, caricatures de la sévérité puritaine en famille, se débauchant secrètement dans les bas-fonds la nuit, jusqu’à se perdre avec un jeune homme de bonne famille au dernier degré du décadentisme. Leurs rejetons brimés et séduits par le comte vont être les instruments de sa vengeance… l’hypocrisie victorienne est étalée, la révolte de la jeunesse est évoquée. On est bien dans un film britannique de 1970.
    Buzz063
    Buzz063

    78 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 septembre 2011
    Sasdy s'appuie sur travail de base de Fisher, insistant plus particulièrement sur le côté gothique.
    Au fil des épisodes, on remarque que les scénarios Hammer suivent l'évolution de la société britannique. Là où les premiers films attaquaient de manière détournée l'hypocrisie de cette société et le carcan puritaniste dont le poids permet au maléfique Dracula de perpétrer ses crimes, les coups de griffes se font içi plus frontaux, la censure se faisant moins forte dans les 70's.
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