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Un visiteur
0,5
Publiée le 31 décembre 2020
Pourquoi faire une PALE copie de l'original écrit et réalisé par Mme Cécile AUBRY pour son fils MEHDI Rien ne peut valoir la réalisation d'une série ou d'un film dirigé par son Auteur Pour info j'ai été sur tous les tournages des SEBASTIEN travaillant à l'époque pour l'éditeur musical du film M. Max AMPHOUX
Très bon film pour les enfants ! C'est doux, mignon, de jolis paysages et une petite histoire sympa. Dans l'ordre, je préfère le 3, le 1 et le 2. Ma note : 4/5
Belle et Sébastien 3 : le dernier chapitre gagne en noirceur ce qu’il perd en originalité et en efficacité, fort d’un antagoniste tout de noir vêtu qu’incarne, non sans manichéisme, un Clovis Cornillac tout à la fois acteur et réalisateur. Et il faut bien reconnaître que ce dernier dispose de belles idées de mise en scène, offrant à ce troisième volet un cachet certain dû à l’esthétisation des plans par un soin accordé au cadrage, à l’utilisation de la demi-bonnette, aux ralentis qui immortalisent les cascades assez impressionnantes. Aussi la reconstruction d’une époque franchouillarde avec ses accordéons et sa deux-chevaux se voit-elle désamorcée par une poignée de séquences intenses, qu’il s’agisse de la traversée de la montagne sous une tempête de neige, du ravissement des chiots suivi du sacrifice de la mère, de la disparition des lutteurs sous la glace pendant de longues secondes. On pardonnera donc l’interférence produite par la figure maternelle revenue d’outre-tombe pour guider son fils, choix opportuniste que redouble l’apparition de la mère de Belle qui aide les personnages à sortir d’embarras. Manquent à cette suite une poésie et une âme qui, seules, auraient permis de filer intelligemment la métaphore maternelle, ici simple décorum assez conventionnel.
Ce troisième volet est dans la continuité des précédents mais le méchant réalisateur y met une sombritude assez différente. Sans être trop sordide elle se dénote un peu de la composition douçâtre et un peu euphorique des deux premiers épisodes où la montagne restait relativement vierge de tout un malsain psychotique humain hormis les nazis évidemment auquel parfois on peut associer l'air vivifiant. En cela la composition de Cornillac est un peu grotesque et pas trop intéressante un peu dissemblable tout en gardant un bon nombre d'autres aspects par les rencontres et des personnages davantage mis en relief de ce petit univers.
Le meilleur "Belle et Sébastien" de la trilogie cinématographique réalisé sur commande honnètement par Clovis Cornillac !! Troisième volet de l'adaptation de la série télévisée dont les deux premiers opus n'étaient pas folichons, "Belle et Sébastien : le dernier chapitre" a une histoire peut ètre un peu neuneu mais il a un bon sens dans la mise en scène qui est maitrisé au niveau de la lumière, des décors avec des paysages montagnards qui accompagnent le récit somptueuses mais il y a aussi un méchant qui peut ètre considéré, comme l'a dit Clovis Cornillac dans une interview, digne d'un Disney ou l'imaginaire des enfants peuvent en avoir peurs. J'ai trouvé le jeune Félix Bossuet moins énervant que dans les précédents épisodes entouré de l'excellent Tchéky Karyo et de très bons seconds roles. Un long métrage qui remplit son contrat pour faire un film familial divertissant et relevant un peu plus haut le niveau des autres oeuvres passées.
Excellent 3eme chapitre de Bele et Sébastien, ou tous les acteurs sont parfaits dans leurs rôles. Clovis Cornillac a réussi un très beau film et joue à perfection le méchant. Vous aimez la montage et les paysages enneigés, les chiens, les belles fins.. ce film vous séduira !
Un scénario convenu, dans la ligné des deux précédents métrages, pour un public déjà conquis aux aventures de Belle et Sébastien. Les codes sont respectés: De superbes paysages couronnés par des chaines de montagnes, parfois ensoleillées, parfois assombries par des tempêtes de neige.Cet amour réciproque de ce grand-père, César (TCHEKY KARYO), et de ce petit garçon, Sébastien (FELIX BOSSUET). La chienne, Belle, intelligente et attendrissante, accompagnée de ses chiots, toujours aussi proche de son jeune maître. En 1948, le petit village de Saint Martin, sa petite église, sa petite école, auront encore une fois le plaisir de nous accueillir Mais cette fois-ci, la passion sentimentale sera bousculée par l'apparition d'un nouveau venu. Joseph (CLOVIS CORNILLAC), le méchant de l'histoire, un être énigmatique et impressionnant. Une aventure bien à la française (sauf que les dresseurs de chiens sont Anglais) nous fournissant des moments de tentions dans des espaces majestueux et isolés. De bons acteurs ( surtout les 3 anciens) pour apporter de l'humour (bon moment dans la 4CV), de grandes émotions ( les liens forts entre le grand-père et Sébastien). CLOVIS CORNILLAC, lui, pourra faire trembler les plus sensibles d'entre nous, par son regard calculateur et ses attitudes provocatrices. Les plus jeunes pourront s'identifier à Sébastien, téméraire et audacieux face à l'adversité. Un film populaire qui passionnera surtout le jeune public. Dommage pour cette fin, moi je l'aurais faite plus dramatique, façon Bambi. Ce long-métrage dépourvu de niaiseries, manque peut-être de vivacité, mais reste un très bon moment de cinéma.
Moins sophistiqué mais complètement impliqué, Clovis Cornillac, se lance tête baissée sur ce troisième épisode très agréable à suivre, sur une intrigue finale qui rend pleinement hommage au duo formé à l'écran, qui avec le temps a pris l'épaisseur nécessaire.
Épisode 3 déjà d'une série de films sympas pour les enfants, qui baisse un peu le niveau ici. L'histoire n'est pas très convaincante et on s'interroge sur l'utilité de ce nouvel épisode assez banal. C'est toujours fait avec soin mais le scénario ronronne sans conviction dans une histoire qui a déjà fait le tour dans les deux films précédents. Clovis Cornillac n'est pas très crédible en méchant très méchant. Son jeu est grossier et caricatural. Le reste est sans surprises.
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2,0
Publiée le 20 juillet 2019
On connaissait Clovis Cornillac acteur et maintenant il faut compter sur Clovis Cornillac rèalisateur avec "Belle et Sèbastien 3". Pour son premier long-mètrage derrière la camèra, Cornillac rentre dans la licence sans prètention aucune! On ne change pas une èquipe qui gagne où l'on retrouve Belle, Sèbastien et son grand-père, Cèsar, avec comme toujours les beaux paysages de la Haute-Maurienne! Nos hèros sont cette fois confrontès à quelque chose de rèvoltant et de terrifiant qui n'a aucune rèdemption possible! Le mèchant de l'histoire ? Joseph, le Mal absolu, qui se prèsente comme l'ancien propriètaire de Belle et qui veut la rècupèrer coûte que coûte! Un personnage tout droit sorti d’un western-spaghetti des 60's (la barbe, la passion pour le jeu...). Du cinèma populaire gentillet sans surprise même si Cornillac crèe un terrain commun dans une salle de cinèma pour toutes gènèrations confondues! On ne pourra pas dire que ce dernier ne s'est pas totalement investi dans la promotion de ce troisième volet avec un vèritable tour de France...
En général, le troisième volet d’une franchise est, sinon celui de trop, en tout cas celui où il devient urgent passer à autre chose. Dans le cas de ‘Belle et Sébastien’, on avait relativement aimé le premier épisode, simple question de nostalgie pour le feuilleton de Cécile Aubry ou même pour la série animée japonaise...mais aussi parce que toute la carrière antérieure de Nicolas Vanier, son réalisateur, témoignait d’une profonde affinité avec les paysages enneigés qu’il filmait avec un véritable regard. Le deuxième tirait déjà un peu à la ligne, le troisième confirme que le filon est aujourd’hui tout à fait tari. Evidemment, on n’attend pas de prouesses de mise en scène ou une profondeur importante d’un film d’aventures familial comme ‘Belle et Sébastien’ mais celui-ci n’atteint même pas la moyenne qu’on est en droit d’espérer d’une production aussi grand-public. Même en se projetant au niveau des attentes d’un public d’enfants, l’aventure ne produit rien de franchement palpitant, le script utilise ses personnages comme des accessoires exploitables et jetables au gré des circonstances, le décor...n’est plus qu’un décor, justement, tandis que Clovis Cornillac, également réalisateur, incarne un méchant de carnaval tout droit sorti d’un western-spaghetti (et encore, si le film avait poussé cette logique jusqu’au bout, il en serait peut-être sorti quelque chose de bien). La seule bonne nouvelle, pour les amis des animaux, est que le chien occupe de nouveau une place centrale dans le récit, alors qu’il avait été relégué aux marges du récit dans le second film. C’est maigre, comme lot de consolation…
J'ai découvert cette série par hasard et j'avoue que je suis devenu un fan inconditionnel. Le dernier volet est tout simplement génial et ceux qui le critique n'ont ils pas perdu leur âme d'enfant ? Moi je l'ai trouvé vraiment splendide et passionnant Je le conseille sans aucune limite.
Dernier volet de la saga. C’est toujours dans la continuité des premiers volets. C’est plein de bons sentiments mais ça n’a rien d’extraordinaire pour autant la mise en scène est classique est relativement efficace à la fois.