Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
titicaca120
384 abonnés
2 179 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 15 février 2018
un troisième volet dans la continuité des deux premiers toujours un style familial gentillet sans violence et tourné dans des paysages enneigés superbes.
3e épisode de la série... On a tendance à dire, souvent de manière méritée, que les suites font de mauvais films, il n'en est ici rien et la magie opère toujours dans ce 3e volet. Félix Bossuet, Tcheky Kario, Clovis Cornillac et André Penvern sont excellents. Petit défaut du film, j'ai regretté de ne pas retrouver la voix de Zaz sur Belle...
Quel beau film, le meilleur des 3 volets, Clovis Cornillac est génial dans ce rôle comme dans la réalisation. Le petit Felix est impressionnant et Tchéky Karyo brillant. Les paysages sont toujours exceptionnels. Quelle chance d'avoir vu ce film avant sa sortie officielle.
Très bon film pour les enfants ! C'est doux, mignon, de jolis paysages et une petite histoire sympa. Dans l'ordre, je préfère le 3, le 1 et le 2. Ma note : 4/5
Pas de comparaison avec les deux précédents épisodes: je ne me souviens plus trop du premier, et pas vu le deuxième. Film familial par excellence, le contrat est rempli: toujours d'aussi beaux paysages enneigés, le méchant de service interprété par Clovis Cornillac qui fait office aussi de réalisateur, campe un personnage plutôt sombre et antipathique, voire limite effrayant pour les plus petits. Une mention pour Tcheky Karyo dans le rôle du grand-père et qui se fait plus rare au cinéma. Dommage que le scénario soit un peu léger et la fin un peu vite expédiée, ça aurait apportè un peu plus de puissance et de véracité au récit...
Après un premier film d’une efficacité revigorante signé Nicolas Vanier, et un deuxième relativement divertissant signé Christian Duguay, Clovis Cornillac vient mettre un terme à la trilogie de « Belle et Sébastien » avec un ultime opus décevant et largement inférieur à ses deux prédécesseurs. Cornillac peine à convaincre aussi bien au niveau de sa réalisation que de son jeu d’acteur. En effet, la réalisation est globalement extrêmement classique, avec une utilisation beaucoup trop redondante des plans larges sur des paysages montagneux à laquelle nous sommes déjà largement habitué depuis le premier opus. Le casting est également assez risible : Cornillac campe un rôle qui est tout sauf fait pour lui, et ne parvient pas une seule seconde à convaincre avec ses expressions faciales forcées et ses répliques clichées et entendues des centaines de fois au cinéma. Félix Bossuet quant à lui reste globalement convaincant même si son jeu d’acteur l’est nettement moins que durant ses débuts, et Tchéky Karyo parvient également à rester assez convaincant, malgré quelques répliques incompréhensibles dû à son bafouillage. Les acteurs secondaires sont tous très moyens, jamais justes, et assez ridicules. Dommage que l’acteur le plus talentueux, crédible et juste n’apparaisse que cinq minutes pour dire trois répliques (Thierry Neuvic), mais d’un côté, c’est plutôt une bonne chose qu’il ne se soit pas enliser dans ce scénario digne des téléfilms M6 du dimanche après-midi, car oui, malheureusement, l’aventure prend mal. La réalisation et le casting, déjà très moyens, sont au service d’un scénario et d’une intrigue ultra-prévisibles, bourrés de clichés, d’incohérences et d’absurdités. On ne croit pas une seule seconde à cette aventure tant tout ce qui se passe sous nos yeux est basique, déjà-vu, prévisible, cliché, mal joué, sans surprises, sans saveurs. Les dialogues sont jamais percutantes, les répliques sont toujours mal placées, les notes d’humour sont toujours extrêmement bas de gamme. Tout ce qui est plus ou moins réussit dans ce film a déjà été vu dans les deux précédents. L’aventure est terminée, et c’est bien mieux comme ça. Une conclusion qui peine sérieusement à convaincre.
Très beau film , la montagne dans toute sa splendeur mais aussi ça dureté l'hiver. Clovis Cornillac en grand méchant , diaboliquement efficace. Tcheky karyo en Grand Père de Sébastien , au grand coeur.
Bonjour, Nous sortons de notre petite séance cinéma du jour, la fin d'une belle trilogie chargée en émotions et avec des paysages toujours aussi beaux. Quel beau pays la France quand même lol. La recette fonctionne toujours autant, Sébastien (Félix Bossuet) joue juste, belle est incroyablement bien dressée et transmet toutes ses pensées avec son regard. Gros bonus les 3 chiots qui débarquent dans cet opus qui sont trop choux. Mention spéciale a Clovis Cornillac qui joue magistralement le méchant de l'histoire, un rôle qui lui convient parfaitement. Bref un bon petit film a voir en famille... A bientôt
Je me suis amusée avec les influences de Clovis Cornillac : western ou encore thriller style La Nuit du Chasseur avec le côté caricatural du méchant, les ombres nocturnes, les plans variés...Clovis Cornillac surjoue et en rajoute, un vrai régal !
La belle prestation de Tchéky Kario et les paysages de montagnes enneigées ne suffisent pas à conserver sa poésie, sa simplicité et son humanité originelles au film qui, en sus, souffre d'une réalisation qui a choisi la facilité. Après un B&S n°2 transformé en Indiana Jones, voilà donc en n°3, un thriller bas de gamme avec un Cornillac caricatural dans son rôle de noir méchant ex-collabo germano-motorisé.
Vu en avant première ce Dimanche à Paris.Je vous encourage à y aller .Vous y passerez un excellent moment.Allez y sans volonté d'analyse , car ce film s'adresse aux âmes d'enfants encore préservées.Un vraie bouffée d'oxygène au sens propre et figuré..
Le premier était gentil, le second gentil mais dans une logique film d'aventures historique assez plaisante, le troisième apparaît clairement comme l'épisode en trop (et sera, heureusement, sans doute le dernier). Niveau mise en scène, Clovis Cornillac ne s'en sort pas si mal, même si ces beaux décors naturels auraient clairement mérité d'être plus exploités, surtout à travers cette lumière de qualité.
Non, ce qui coince est clairement le scénario et ce rôle de méchant interprété par Cornillac « himself ». Le premier n'est pas très intéressant, faiblard, où l'on sent vraiment que l'on comble comme on peut une histoire à laquelle personne ne semble avoir cru ni voulu se donner la peine de raconter. Du coup, hormis quelques scènes vaguement efficaces et des chiots plus mignons que jamais, pas grand-chose à se mettre sous la dent, à l'image de cette relation « amour vache » entre Tchéky Karyo et Anne Benoît (franchement, QUI peut tomber amoureux de quelqu'un en débutant une relation de la sorte?).
Mais surtout, SURTOUT, il y a cet antagoniste au look totalement irréel et odieux jusqu'à la caricature, que l'on ne cherche jamais un seul instant à humaniser ou complexifier : au contraire, on le fait même complice des nazis, entre autres brillants états de service... Bref. Je trouve ça d'autant plus regrettable que je ne comprends pas : comment peut-on être aussi simpliste, manichéen, surtout avec un récit ne tenant à ce point pas la route ?
Après, il y a cette chienne magnifique (de loin le personnage le plus intéressant!), visuellement le dépaysement est loin d'être désagréable, mais il s'agit (et de loin) du plus faible volet de la trilogie : si ces adaptations de la série imaginée par Cécile Aubry pouvaient éventuellement se justifier au départ, il était clairement temps que ce dernier chapitre soit atteint.