Belle et Sébastien 3: le dernier chapitre : Critique presse
Belle et Sébastien 3: le dernier chapitre
Note moyenne
2,5
18 titres de presse
Femme Actuelle
L'Express
L'Obs
La Voix du Nord
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Première
Télé Loisirs
VSD
Critikat.com
Franceinfo Culture
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Paris Match
aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
La trilogie se clôt ici en beauté, avec ce dernier épisode riche en aventures et en émotions.
L'Express
par Christophe Carrière
C'est plutôt bien foutu, d'ailleurs. Avec de beaux plans, du souffle...
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Pour ce qui semble être le dernier épisode de cette saga, Clovis Cornillac – sur un scénario qui voit encore le bien triompher – échappe toutefois au côté lénifiant qui plombait les deux précédents volets. La montagne enneigée est toujours aussi belle, mais filmée cette fois de manière plus menaçante et anxiogène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
L'ambition se voit réellement à l'écran, même s'il faut se satisfaire d'une intrigue minimaliste.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Clovis Cornillac a adapté le troisième et dernier volet des aventures de l'enfant et sa chienne. Honnête.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Certes, le méchant est très méchant et les gentils sont, forcément, très gentils. Mais les enfants y trouveront leur compte. Les parents nostalgiques aussi.
Le Parisien
par Catherine Balle
Planté dans de magnifiques décors enneigés, « Belle et Sébastien 3 » est un joli film d'aventures familial.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Chèze
Si son Belle et Sébastien ne révolutionne pas le genre, il constitue – et de loin - le meilleur épisode de la trilogie. Celui le plus fidèle au célèbre feuilleton de Cécile Aubry. De la nostalgie joyeuse et jamais rance.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Clovis Cornillac (...) déploie des paysages enneigés somptueux dans cet ultime volet pétri de bons sentiments, fidèle à la série culte.
VSD
par Olivier Bousquet
Clovis Cornillac repasse derrière la caméra et s’en sort plutôt honorablement. Au passage, il se fait plaisir en incarnant un méchant de bande dessinée au look improbable.
Critikat.com
par Benoît Smith
Il est assez déprimant de constater à quel point le label "dernier chapitre" ne s'avère ici qu'un argument de marketing faisant miroiter des enjeux que le produit qui le porte n'assume pas vraiment, précisément parce qu'il est pensé avant tout comme un produit labellisé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Le résultat manque singulièrement de grâce et de subtilité. La production fait pourtant son boulot avec application. Les jolis mouvements de steady cam, les poursuites dans la neige, tout est très soigné sans parvenir à tenir à distance cet entêtant parfum désuet.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Thomas Sotinel
Clovis Cornillac, qui a dirigé cette conclusion aux aventures du petit orphelin et du patou, s’est attribué ce rôle de Cruello des alpages et fera sûrement très peur aux plus jeunes. Il imprime aussi un rythme assez allègre à cette histoire finalement très rassurante, qui montre des montagnes si enneigées qu’on tournerait climatosceptique le temps de la projection.
Les Fiches du Cinéma
par Astrid Jansen
Comme son titre l’indique, ce dernier chapitre vient clore la saga. Clovis Cornillac succède à Christian Duguay et Nicolas Vanier pour la réalisation de ce dernier volet un rien plan-plan, mais doté d’un beau méchant !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
En plongeant dans le thriller et le western, le film oublie l’univers créé par Cécile Aubry. Les effets sont appuyés, les personnages en manque d’épaisseur et l’émotion aux abonnés absents.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
L’éternelle beauté des paysages de neige ne suffit pas à faire oublier la torpeur d’une mise en scène ronronnante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
"Belle et Sébastien 3" s’inscrit dans la vaste opération de rentabilisation économique d’oeuvre pour enfants du siècle dernier (...) Poussant le recyclage nostalgique à son ultime degré.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Nicolas Didier
Moins expérimenté que ses prédécesseurs — Nicolas Vanier (Loup) et Christian Duguay (Jappeloup) —, le réalisateur n’a pas le même sens des (grands) espaces.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
La trilogie se clôt ici en beauté, avec ce dernier épisode riche en aventures et en émotions.
L'Express
C'est plutôt bien foutu, d'ailleurs. Avec de beaux plans, du souffle...
L'Obs
Pour ce qui semble être le dernier épisode de cette saga, Clovis Cornillac – sur un scénario qui voit encore le bien triompher – échappe toutefois au côté lénifiant qui plombait les deux précédents volets. La montagne enneigée est toujours aussi belle, mais filmée cette fois de manière plus menaçante et anxiogène.
La Voix du Nord
L'ambition se voit réellement à l'écran, même s'il faut se satisfaire d'une intrigue minimaliste.
Le Figaro
Clovis Cornillac a adapté le troisième et dernier volet des aventures de l'enfant et sa chienne. Honnête.
Le Journal du Dimanche
Certes, le méchant est très méchant et les gentils sont, forcément, très gentils. Mais les enfants y trouveront leur compte. Les parents nostalgiques aussi.
Le Parisien
Planté dans de magnifiques décors enneigés, « Belle et Sébastien 3 » est un joli film d'aventures familial.
Première
Si son Belle et Sébastien ne révolutionne pas le genre, il constitue – et de loin - le meilleur épisode de la trilogie. Celui le plus fidèle au célèbre feuilleton de Cécile Aubry. De la nostalgie joyeuse et jamais rance.
Télé Loisirs
Clovis Cornillac (...) déploie des paysages enneigés somptueux dans cet ultime volet pétri de bons sentiments, fidèle à la série culte.
VSD
Clovis Cornillac repasse derrière la caméra et s’en sort plutôt honorablement. Au passage, il se fait plaisir en incarnant un méchant de bande dessinée au look improbable.
Critikat.com
Il est assez déprimant de constater à quel point le label "dernier chapitre" ne s'avère ici qu'un argument de marketing faisant miroiter des enjeux que le produit qui le porte n'assume pas vraiment, précisément parce qu'il est pensé avant tout comme un produit labellisé.
Franceinfo Culture
Le résultat manque singulièrement de grâce et de subtilité. La production fait pourtant son boulot avec application. Les jolis mouvements de steady cam, les poursuites dans la neige, tout est très soigné sans parvenir à tenir à distance cet entêtant parfum désuet.
Le Monde
Clovis Cornillac, qui a dirigé cette conclusion aux aventures du petit orphelin et du patou, s’est attribué ce rôle de Cruello des alpages et fera sûrement très peur aux plus jeunes. Il imprime aussi un rythme assez allègre à cette histoire finalement très rassurante, qui montre des montagnes si enneigées qu’on tournerait climatosceptique le temps de la projection.
Les Fiches du Cinéma
Comme son titre l’indique, ce dernier chapitre vient clore la saga. Clovis Cornillac succède à Christian Duguay et Nicolas Vanier pour la réalisation de ce dernier volet un rien plan-plan, mais doté d’un beau méchant !
Paris Match
En plongeant dans le thriller et le western, le film oublie l’univers créé par Cécile Aubry. Les effets sont appuyés, les personnages en manque d’épaisseur et l’émotion aux abonnés absents.
aVoir-aLire.com
L’éternelle beauté des paysages de neige ne suffit pas à faire oublier la torpeur d’une mise en scène ronronnante.
Les Inrockuptibles
"Belle et Sébastien 3" s’inscrit dans la vaste opération de rentabilisation économique d’oeuvre pour enfants du siècle dernier (...) Poussant le recyclage nostalgique à son ultime degré.
Télérama
Moins expérimenté que ses prédécesseurs — Nicolas Vanier (Loup) et Christian Duguay (Jappeloup) —, le réalisateur n’a pas le même sens des (grands) espaces.