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    John Wick Parabellum
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    3,6
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    683 critiques spectateurs

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    MatPunisherX
    MatPunisherX

    18 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mai 2019
    2h de film avec 1h45 de combat ! un pur film d'action. si bous rechercher du gros gros fight vous avez juste à vous regarder les 3 John Wick
    thenewchamp
    thenewchamp

    40 abonnés 299 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2019
    John Wick, on va voir se film pour les scènes d'actions et elles sont totalement reussies. Encore une fois Jordania s'occupe de tous ceux qui veulent sa mort conséquence de sa vie passée et aussi de la mort de son chien. Les morts sont à un moment tellement gores et ridicules qu elles en deviennent drôles. Les animaux sont bien utilisés : le cheval, les chiens ... c est une réussite
    Greg A.
    Greg A.

    48 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2019
    Plutôt pas mal , ce troisième volet met de côté ses intentions scénaristique et se concentre ( un peu trop ) sur ses excellentes scènes d’actions et sur ses combats très joliment orchestrés et mise en scène certes , mais parfois grotesque .. qui reste néanmoins la force incontestable de l’œuvre avec Keanu Reeves . Ma note : 6,5/10
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈

    141 abonnés 1 143 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 décembre 2019
    Dommage que ce 3ème volet de la saga soit une suite et pas une nouvelle histoire, ceci m'a contrarier. S'aurait été clairement mieux si John Wick aurait eu une nouvelle misson à accomplir.
    Keanu Reeves est toujours aussi incroyable dans son rôle, il s'y donne à fond ! Bien-sûr le film est accompagné d'effets spéciaux de dingues et de décors magnifique!Mais le tout reste moyen.
    Skynet-Child
    Skynet-Child

    13 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mai 2019
    Le film aurait pu être très bien, mais on commence a en avoir notre dose de John Wick surtout avec une réalisation et une logique aussi médiocre pour ne pas dire ridicule. Ce vieux John commence le film en courant partout et en bon tueur professionnel il passe son temps à courir et se faire remarquer dans les rues plutôt qu'être discret et se cacher.
    Pour améliorer cette discretion implacable digne d’un enfant de 10 ans il ne trouve rien de mieux que prendre un cheval dans les rues de la ville histoire de passer au 20h de New York.

    C'est dur de commencer la scene avec une tel niveau de réalisme a 2 balles.

    Hormis les scènes d'action qui sont vraiment superbes, intenses et parfois un peu choquantes, tout en souffre quelques rares fois de temps mort trop visible de la part des cascadeurs.

    Le reste est encore trop tiré par les cheveux, encore trop d'histoires de chiens chiens a defendre, Une superbe Halle Berry qui n’est là que pour le girl power et jouer sa John Wick à la sauce féminine.
    Mais surtout un scénario qui nous emmène non pas vers une fin de John Wick en beauté, mais une énième suite pour faire du fric !
    J'étais bien déçu mais le titre l'annoncait pourtant clairement “Parabellum�
    Vivement le dernier et de préférence avec l’Equalizer.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juin 2019
    Rythmé pendant tout le film, avec des scènes de combats particulièrement bien faites, avec une touche d'humour de temps en tant
    Michel L
    Michel L

    10 abonnés 92 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2019
    très très moyen ,ou l'on retrouve l'homme qui ne meurt jamais, tuant en deux heures,plus d'une compagnie d'hommes de main ,ou l'on retrouve les sempiternelles bagarres qui durent prés de dix minutes à la fin du film !!! franchement décevant par rapport aux deux premiers opus que j'avais beaucoup aimé , là...................bien déçu .
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 mai 2019
    Très bon film si vous adorez les scènes d'actions (vraiment un excellent panel d'acrobaties), par contre le scénario laisse vraiment à désirer.. dommage car le film promettait beaucoup
    Prandoche
    Prandoche

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 octobre 2019
    Totalement inintéressant.
    Des bagarres, des bagarres , et encore...
    Il n'y a que ça pendant tout le film.
    Incroyable !!!
    A éviter à tout prix.
    legend13
    legend13

    245 abonnés 1 054 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mars 2023
    Sans aucune hésitation. Pour moi "John Wick : Parabellum" est le meilleur opus (en tout cas le meilleur des 3 premiers).

    Dénué de temps mort,contrairement au second film, le métrage défile à une allure folle. On sent que Chad Staheski à pris de la bouteille en terme de réalisation. Chaques scènes d'action sont visuellement incroyables et les combats impeccablement chorégraphiés et bien plus variés que dans les précédents opus.

    Bref un film d'action génial devant lequel j'ai pris un pied monumental.
    jaja77
    jaja77

    61 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2019
    un 3 ième opus toujours bien mais un peu petit en dessous des 2 précédents. jonh Wick toujours en forme et encore plus énervé dans ses scènes de combats bien réussit mais cette fois il y a de l'action du début à la fin donc pour les fans de ce genre de films vous allez être bien servis. puis un final haletant et surprenant qui décèle encore un suite qui j'espère sera bien car cela commence un petit peu à lasser donc on verra bien.
    Caine78
    Caine78

    6 688 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juin 2019
    Il est clair qu'au vu des autres blockbusters vus récemment (« Pokémon : Détective Pikachu », Hellboy » « Aladdin » et autres « Godzilla II », « Joh Wick » ferait presque figure d'incontournable. J'ai apprécié dès le départ cet univers assez riche, ce monde parallèle et ses règles lui permettant pas mal de possibilités, cette logique de société secrète s'assimilant bien à ce monde d'assassins, à ses différents pays, villes que l'on ne manque pas de visiter avec plaisir, notamment depuis le second volet. D'ailleurs, dans un premier temps j'ai été pas mal séduit par ce « Parabellum » : reprenant exactement où il nous avait laissés, Chad Stahelski prend à la fois son temps pour nous poser la situation et les enjeux, nous replongeant avec aisance dans l'histoire avant d'accélérer très fortement le mouvement à travers des scènes d'action habilement chorégraphiées voire franchement inventives par moments, loin des montages illisibles que l'on nous sort presque systématiquement aujourd'hui. On évite ainsi la redite pour offrir un « vrai » film, développant l'univers autant par son travail visuel (notamment sur les décors) que par de nouveaux venus, prenant bien en compte les événements précédents pour offrir des situations inédites et souvent intéressantes. Dommage, du coup, que le film n'assume pas pleinement cette dimension presque cartoonesque, les (trop) nombreuses bastons finissant presque par lasser, l'invraisemblable résistance du héros finissant presque à virer au « running gag ». Certes, celui-ci morfle pas mal, mais à force d'en faire une figure invincible, celui-ci perd de son intérêt, voire de son aura. J'aurais, d'ailleurs, sans doute été plus indulgent s'il n'y avait cette ultime opposition décevante et surtout ces dernières minutes presque en totale contradiction avec ce qui avait pu être développé dans les précédents opus, les ultimes images virant même franchement nanar... C'est aussi le problème de cette écriture trop inégale, fonctionnant à plein lorsque les échanges sont « suaves », beaucoup moins lorsqu'on nous impose un second degré souvent mal maîtrisé. Maintenant, malgré cette longueur injustifiée, cette impression d'être arrivée au bout d'un cycle (ce qui ne sera pas le cas, un numéro quatre étant d'ores et déjà acté), je trouve que « John Wick Parabellum » fait une part du boulot, autant dans son approche formelle (notamment sonore, la bande-originale variée fonctionnant à plein) que son casting toujours aussi réjouissant, aussi bien les historiques (Keanu Reeves, Ian McShane, Lance Reddick, Laurence Fishburne) que les nouveaux noms : Halle Berry et surtout Asia Kate Dillon dans un rôle d' « administratrice » aussi glaçante qu'impeccable : une vraie bonne méchante, chose suffisamment rare aujourd'hui pour être saluée. Serais-je de la partie pour le prochain ? Rien n'est moins sûr, tant les créateurs semblent au bout du processus créatif, faisant de ce luxueux « numéro 3 » un plaisant eldorado pour amateurs du genre, à défaut d'être le grand film d'action espéré.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 080 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2020
    John Wick : Parabellum pousse plus loin toutes les avancées de John Wick 2 : esthétique colorée, action décérébrée, classe à toute épreuve et charisme de son acteur principal, Keanu Reeves en pleine forme pour son rôle iconique des années 2010, éléments approfondis au point d'aussi mettre en lumière les défauts inhérents au concept de faire un film seulement pour la beauté de son action, sans avoir jamais pensé à en faire une oeuvre assez complexe pour toucher aussi la partie du public la plus attentive à l'intrigue.

    C'est dans ce contexte de bourrinage non stop que ce troisième volet s'ouvre sur une vingtaine de minutes de course-poursuite et de meurtres au pistolet, en cavalant, en tombant d'une moto qui finira sa course à voltiger dans les airs. Tout est si surréaliste et pensé pour ajouter toujours plus de spectaculaire et impressionner le spectateur qu'on ne sait rapidement plus où se mettre, désarçonné qu'on est de se trouver devant un film dont la seule raison d'être semble se ranger du côté de ses chorégraphies et de ses cascades.

    Non pas que ce ne soit pas intéressant (aucun volet de la franchise n'aura été aussi bien filmé et doté d'une photographie si réussie), c'est passionnant à voir mais loin d'être jouissif dès ses débuts : pour que l'action montrée ait un véritable impact sur le ressenti du spectateur, il lui faut présenter au préalable des enjeux, des personnages solides pour lesquels on craint quelque chose, une intrigue un minimum profonde de laquelle ressortent des thématiques et des situations qui peuvent nous toucher ou nous parler.

    Tout cela viendra en coup de vent, au bout d'une petite demi-heure de massacre surréaliste : les premiers pions placés laisseront leur place à une reprise de l'intrigue du volet précédent, construisant un pont de quelques heures de différence entre la fin du second film et le début de celui-ci, reprenant les personnages où ils en étaient tout en développant de nouvelles problématiques découlant de la nature de leurs rapports avec John Wick.

    On relèvera dans l'évolution des rôles une plus grande place laissée à Winston, interprété par le charismatique Ian McShane, qui trouve ici une importance enfin à la hauteur de son aura, tout en sagesse et en loyauté, ainsi qu'un retour de Laurence Fishburne réjouissant, et un léger approfondissement de la mythologie de son milieu de tueur à gages des milieux underground. Question seconds rôles, c'est un poil moins croustillant que la présence de Common et Ruby Rose, l'ajout d'Halle Berry et Mark Dacascos rattrapant quelque peu de nouveaux personnages moins développés ou charismatiques.

    Incrustés dans cette histoire de chasse à l'homme à échelle internationale, tous tiennent bien leurs personnages et brillent chacun durant au moins une scène, la palme revenant forcément à Reeves et Dacascos, Némésis partageant un combat final absolument incroyable, que ce soit pour son esthétique tout en miroir et la brutalité de sa chorégraphie; experts du cinéma d'action, ils déballent à cet instant un défilé de leurs plus grandes compétences de cascadeur et de combattant, offrant au spectateur un rythme haletant soutenu par un combat saisissant.

    Sans surprise aucune, la grande qualité de John Wick : Parabellum tient dans l'esthétique de ses affrontements et l'intensité monstrueuse de ses combats : jamais répétitif ou rébarbatif, il réinvente à chaque scène sa façon de détruire ses décors et de tuer les ennemis de Wick, cela en jouissant d'une photographie fantastique poussant toujours plus loin les plans clairs et les cadrages carrés proposés par le précédent épisode.

    Toujours plus lisible et détaillé, Parabellum se suit sans aucun problème, laissant le spectateur contempler ses scènes d'action tout autant qu'elles pourront l'impressionner : purement esthétique, il se tient du côté de l'oeuvre d'art inattendue, de John Wick 2 en plus poussé, d'une version américain et encore plus colorée de la duologie The Raid, et qui influencera le reste des films d'action grand public pour bien des années (mouvement initié par le second épisode).

    Malgré ses évidentes qualités formelles, Parabellum ne rectifie jamais la maigreur de son intrigue des vingt premières minutes, s'intéressant plus à chambouler la destinée de ses personnages et de son univers que le scénario du film. Beaucoup trop linéaire, prévisible et simpliste, il fait avancer ses personnages entre deux retournements de situation de la situation de Wick, sans jamais s'intéresser à complexifier ou à rendre moins communes les retombées de ce qui s'y passera.

    Le plaisir coupable ayant dépassé l'idée même de faire un film bien construit, John Wick : Parabellum est devenu ce qu'il fallait qu'il évite : il n'existe plus qu'en tant que prolongement presque caricatural de ce qu'avait apporté John Wick 2 comme développement d'univers et apport de personnages complexes, donnant de l'action ultra spectaculaire pour de l'action complètement décérébrée, éloignée de toute écriture un poil complexe et approfondie que le public étant en droit d'attendre.

    Sur ce manque d'enjeux heureusement comblé par un lore toujours aussi passionnant, viendront se poser des performances d'acteurs très convaincantes et la mise en scène voltigeuse et d'une fluidité exemplaire d'un Chad Stahelski en roue libre : plans séquences sur contre-plongées placardées de projecteurs de différentes couleurs, la franchise aura pris une nouvelle ampleur esthétique avec ce Parabellum qui ne vaut, décidément, que pour sa beauté formelle.

    Reste en fin de bobine le drôle de sentiment d'avoir suivi un film qui n'a pas fait avancer grand chose, si ce n'est le quota de morts apposé sur l'ardoise de Wick.
    Une référence du film d'action contemporain, surement l'un des plus réussis de ces vingt dernières années (avec Matrix?).
    Cinememories
    Cinememories

    481 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mars 2022
    Troisième volet d’une saga qui rassemble plus que jamais le public d’action et une équipe de challengers, John Wick finit par entrer dans le panthéon de la violence. Or, l’ancien coordinateur de cascade, Chad Stahelski préfère associer son genre avec des notions cinématographiques, qui renforcent les qualités d’un univers passionnant. Après voir travaillé la psyché d’un homme torturé par la perte d’êtres chers, nous envisageons enfin un nouvel horizon, qui entrechoque les cultures internationales. Les bons points seront donc à prendre sur les aspects techniques, car côté structure narrative, on s’en lasse rapidement, car le destin de Wick est toujours mis à l’épreuve par des conflits qui ne cessent de s’enchaîner, pour le plaisir d’innover et d’expérimenter de nouvelles sensations.

    Cet épisode se détache avant tout grâce à la poésie surprise, liée à la culture de la violence. Dès l’entame du film, le contexte est bref et nous plonge dans un somptueux décor qui marchande avec les valeurs du cinéma asiatiques, mariées à quelques outils esthétiques provenant notamment de Ridley Scott et John Woo. Dans les ruelles d’un New York revêtu de ses plus beaux néons et spots lumineux, il existera toujours une opposition entre deux flux. Cela sert essentiellement chaque affrontement entre Wick et les assassins du monde. Cependant, on pourra noter un sur-cut dans l’ensemble des scènes, car les chorégraphies se veulent souvent trop ambitieuses dans des espaces étroits. La caméra cherchera alors le plus de profondeur possible lorsque le nombre de sbires augmentent dans le champ. C’est pourquoi la réduction du nombre justifie la structure d’un acte final, résonant comme un tournoi, avec des paliers à franchir pour atteindre le Graal, ou dans son cas, la rédemption. Mais rien n’est aussi aisé dans ce cercle de tueurs qui dominent et influencent tout.

    Par ailleurs, il est important d’identifier les enjeux de certains lieux visités, comme la bibliothèque, sanctuaire des connaissances et des souvenirs, gravés à l’encre. Les ouvrages présents constituent la richesse d’un monde qui a fait évoluer son patrimoine. Nous pourrons y voir une sorte d’ironie, sachant en quoi ils pourraient servir dans les mains d’un homme déchu et excommunié. Il en va de même pour le musée d’armes de guerre, qui renouvelle les reliques qui ont servi à verser le sang et la mort. Il y a donc un certain hommage qui sert le côté créatif des mises à mort, seul moyen de rattraper la piètre contribution scénaristique. Passé un certain cap, le cahier des charges se remplit à vue d’œil et hésite entre développer le passé de Wick afin de préserver de nouvelles exploitations ou bien de développer la machine de guerre qui ne demande qu’à en découdre pour se racheter. En chemin, il renoue donc avec Sofia, incarnée par une Halle Berry plutôt efficace, mais qui héritera d’une modeste contribution, pour le moment. Quant à l’antagoniste Zero (Mark Dacascos), il y a peu à dire, car il n’est présent que pour catalyser la fureur d’un Wick fatigué et qui s’avère de moins en moins efficace à l’approche du dénouement. Cela dit, il tiendra la promesse de divertir par le biais d’un script paresseux, mais suffisant, si l’on s’abandonne à la décharge de pugilats qui s’ensuit.

    À l’image d’un générique d’ouverture inattendu, « John Wick : Parabellum » surprend sur les points que l’on attendait impatiemment. Pour Keanu Reeves et son personnage, il y a une cohabitation importante, car le film réussit à rebondir sur les expériences des volets précédents. Bien que celui-ci tire de nombreuses longueurs, notamment dans un acte final interminable et jouissif par moment, il faudra relativiser sur certains passages, car la première demi-heure soutient tout ce que le cinéphile attendra dans un véritable ballet de massacres, puis on passera à des enjeux plus lambdas, vis-à-vis de spectateurs moins exigeants. À voir, si la suite pourra préserver cette légende qui tisse peu à peu son succès, dès lors qu’il aura suffisamment renouvelé l’action burlesque et crue des dernières décennies.
    Nicothrash
    Nicothrash

    365 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2019
    Jouissive boucherie : acte 3 ! On retrouve John Wick là où on l'avait laissé et on ne perd pas une seconde de notre précieux temps puisque Chad Stahelski nous offre d'emblée deux scènes d'action monumentales ! Du pur John Wick avec bastons parfaitement chorégraphiées, gunfights de folie et superbes cascades à la clé ! Cette recette fera de toute façon la route avec nous durant tout le métrage, on le sait d'entrée de jeu mais il faut bien reconnaître que cet opus a fait le strict minimum côté scénario, aucune surprise et un script aux abonnés absents avec cette succession de scènes d'action entrecoupées de quelques moments posé pas plus inspirés que cela. C'est vrai qu'au delà du plaisir coupable d'assister à des combats et des gunfights époustouflants, j'avoue qu'il commence à me manquer quelque chose ici, ça devient hautement improbable, parfois même à la limite du ridicule et les personnages ne sont pas tous exceptionnels, ne parlons même pas d'émotion ... Bien heureusement Keanu Reeves assure largement, il réalise en outre la plupart de ses cascades et son personnage est carrément badass, tout l'intérêt du film réside d'ailleurs dans ce délire de personnage increvable mais pour le coup, Stahelski, seul à la réalisation depuis le deuxième opus, en fait peut être un peu trop et laisse surtout complétement tomber le fond. Du grand spectacle au final, un vrai kiffe mais la saga ne commencerait-elle pas à s'essouffler sans un minimum d'enrobage ?
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