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"My Wonder Women" est une grosse surprise. Loin d'un biopic plat et sans saveur à la gloire de l'héroïne de comics, le film fait surtout l'apologie de l'amour libre, de l'acceptation de ses "perversions" comme acte de création et se dresse contre la morale liberticide. En résulte un métrage important, émouvant et tellement juste qu'il en devient une vraie nécessité à l'heure actuelle. Bravo, donc.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Une BD alors franchement féministe et fétichiste tendance lesbienne SM, accusée de tous les maux par les ligues de vertu américaine et victime d'autodafés. Détails oubliés que ce film, hélas trop sage en regard du modèle, remémore en jouant de correspondances appuyées entre l'intimité et l'œuvre. Mais ça donne envie d'une adaptation enfin fidèle du sulfureux comic.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Grâce à son trio d'acteurs concernés et à son questionnement de la psyché humaine et de la morale de l'époque, My Wonder Women, parvient à susciter un réel intérêt dans sa première partie. Le film d'Angela Robinson ne parvient cependant pas à le maintenir dans la seconde.
On devine bien l’envie d’attirer un public non averti vers les sexualités alternatives, à la manière de Marston glissant son discours féministe et érotique dans les cases de Wonder Woman. Mais on ne peut s’empêcher de penser que cette anomalie séduisante appelait un film hors normes.
Pour son premier long métrage, Angela Robinson signe un récit biographique étonnamment sage sur un trio qui aurait mérité sacrément plus d’audace et d’invention formelle.
Un sujet en or. Mais Angela Robinson, cinéaste militante et engagée, avec son implication notamment dans la série télé homosexuelle pionnière à succès "The L World", livre un film très propret dans sa mise en scène et ses parti-pris descriptifs.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Si certains passages peuvent amuser ou agacer par la dramatisation excessive de leur mise en scène, le projet a au moins le mérite d’affirmer son romantisme naïf comme vecteur créatif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Malgré un fort potentiel, "My Wonder Women" effleure la pensée – sur le féminisme, la société américaine de l’époque, la tension entre domination et soumission – sans jamais être en mesure d’en produire véritablement.
Le film laisse malheureusement une impression de survol un peu léger de l'histoire de « Marston et ses femmes », sans vraiment plonger dans la mythologie pop et féministe de Wonder Woman.
La critique complète est disponible sur le site Première
Comment rendre ennuyeuse une vie aux enjeux passionnants ? C’est l’exploit que réussit Angela Robinson, lissant la moindre aspérité, enfermant tout ce qui pourrait troubler dans l’écrin académique d’un biopic aux tons crème.
Étouffé par son académisme et son goût pour les lapalissades visuelles - un moment de colère et un orage rapplique aussitôt -, "My Wonder Women" finit par être si peu sulfureux qu’il semble taillé pour une diffusion en avion.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette histoire de triolisme est un mélange, sympathique mais confus, de plaidoyer féministe, d’apologie de l’amour libre et de bluette pataude. Dommage pour les comédiens, plutôt convaincants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
"My Wonder Women" est une grosse surprise. Loin d'un biopic plat et sans saveur à la gloire de l'héroïne de comics, le film fait surtout l'apologie de l'amour libre, de l'acceptation de ses "perversions" comme acte de création et se dresse contre la morale liberticide. En résulte un métrage important, émouvant et tellement juste qu'il en devient une vraie nécessité à l'heure actuelle. Bravo, donc.
IGN France
Surprenant et inclusif, My Wonder Women fait mouche et se révèle même étonnamment informatif.
Le Figaro
Tout en clair-obscur, ce film délicat et troublant décrit la flamme de la passion qui dévore les esprits et les corps.
Télé Loisirs
Cette histoire vraie, certes romancée, est fascinante et troublante.
L'Obs
Une BD alors franchement féministe et fétichiste tendance lesbienne SM, accusée de tous les maux par les ligues de vertu américaine et victime d'autodafés. Détails oubliés que ce film, hélas trop sage en regard du modèle, remémore en jouant de correspondances appuyées entre l'intimité et l'œuvre. Mais ça donne envie d'une adaptation enfin fidèle du sulfureux comic.
Le Journal du Dimanche
(...) étonnant et sulfureux.
Le Journal du Geek
Grâce à son trio d'acteurs concernés et à son questionnement de la psyché humaine et de la morale de l'époque, My Wonder Women, parvient à susciter un réel intérêt dans sa première partie. Le film d'Angela Robinson ne parvient cependant pas à le maintenir dans la seconde.
Le Monde
On devine bien l’envie d’attirer un public non averti vers les sexualités alternatives, à la manière de Marston glissant son discours féministe et érotique dans les cases de Wonder Woman. Mais on ne peut s’empêcher de penser que cette anomalie séduisante appelait un film hors normes.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier long métrage, Angela Robinson signe un récit biographique étonnamment sage sur un trio qui aurait mérité sacrément plus d’audace et d’invention formelle.
Positif
"My Wonder Women" brave des thèmes significatifs et audacieux (féminisme ; amour à trois ; bondage à l’érotisme désincarné), mais demeure trop sanglé.
aVoir-aLire.com
Un film attachant qui retrace le parcours du créateur de Wonder Woman, qui a fait de son héroïne un condensé des deux femmes de sa vie.
Bande à part
Un sujet en or. Mais Angela Robinson, cinéaste militante et engagée, avec son implication notamment dans la série télé homosexuelle pionnière à succès "The L World", livre un film très propret dans sa mise en scène et ses parti-pris descriptifs.
Critikat.com
Si certains passages peuvent amuser ou agacer par la dramatisation excessive de leur mise en scène, le projet a au moins le mérite d’affirmer son romantisme naïf comme vecteur créatif.
Les Inrockuptibles
Malgré un fort potentiel, "My Wonder Women" effleure la pensée – sur le féminisme, la société américaine de l’époque, la tension entre domination et soumission – sans jamais être en mesure d’en produire véritablement.
Paris Match
Le postulat féministe est d’actualité, l’histoire est passionnante, le film, lui, reste joliment classique.
Première
Le film laisse malheureusement une impression de survol un peu léger de l'histoire de « Marston et ses femmes », sans vraiment plonger dans la mythologie pop et féministe de Wonder Woman.
Cahiers du Cinéma
Comment rendre ennuyeuse une vie aux enjeux passionnants ? C’est l’exploit que réussit Angela Robinson, lissant la moindre aspérité, enfermant tout ce qui pourrait troubler dans l’écrin académique d’un biopic aux tons crème.
Libération
Étouffé par son académisme et son goût pour les lapalissades visuelles - un moment de colère et un orage rapplique aussitôt -, "My Wonder Women" finit par être si peu sulfureux qu’il semble taillé pour une diffusion en avion.
Télérama
Cette histoire de triolisme est un mélange, sympathique mais confus, de plaidoyer féministe, d’apologie de l’amour libre et de bluette pataude. Dommage pour les comédiens, plutôt convaincants.