Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
Ecran Large
par Antoine Desrues
The Empty Man était sans doute voué à être un four au box-office. Pourtant, c’est justement son postulat suicidaire qui en fait une curiosité aussi rafraîchissante que fascinante. Porté par un amour sincère du genre, le premier long-métrage de David Prior affiche une ambition démesurée, qui donne envie de suivre le cinéaste de près.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
[...] le film aurait gagné à bénéficier d’un montage plus concis, et à faire l’impasse sur quelques scènes trop explicites, mais l’ensemble reste incroyablement solide, véritablement oppressant tout en étant presque entièrement exempt de jump scares – cette peste du cinéma d’horreur moderne – et surtout interprété avec conviction par un James Badge Dale qui aborde son personnage au premier degré, comme s’il était convaincu de jouer dans un film néo-noir.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Laurent Duroche
"The Empty Man" [se loge] dans un coin de notre crâne et [y essaime] durablement son poison, nous laissant avec l'impression d'avoir peut-être découvert une nouvelle voix du cinéma horrifique américain.
Ecran Large
The Empty Man était sans doute voué à être un four au box-office. Pourtant, c’est justement son postulat suicidaire qui en fait une curiosité aussi rafraîchissante que fascinante. Porté par un amour sincère du genre, le premier long-métrage de David Prior affiche une ambition démesurée, qui donne envie de suivre le cinéaste de près.
Les Fiches du Cinéma
[...] le film aurait gagné à bénéficier d’un montage plus concis, et à faire l’impasse sur quelques scènes trop explicites, mais l’ensemble reste incroyablement solide, véritablement oppressant tout en étant presque entièrement exempt de jump scares – cette peste du cinéma d’horreur moderne – et surtout interprété avec conviction par un James Badge Dale qui aborde son personnage au premier degré, comme s’il était convaincu de jouer dans un film néo-noir.
Mad Movies
"The Empty Man" [se loge] dans un coin de notre crâne et [y essaime] durablement son poison, nous laissant avec l'impression d'avoir peut-être découvert une nouvelle voix du cinéma horrifique américain.