Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Une passionnante et moderne radiographie des amours assassines au XVIIIème siècle.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
"Mademoiselle de Joncquières" est un film en état de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Marie Claire
par La rédaction
Si chaque film est un rêve, celui de Mouret en a la merveilleuse fluidité.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
[...] le résultat est savoureux. Son neuvième long métrage se révèle même le plus abouti.
BIBA
par Lili Yubari
Adaptée d'un passage de "Jacques le fataliste" de Diderot, cette vengeance en costumes délicieusement moderne sied à ravir à Edouard Baer, qui parle XVIIIème comme il respire.
CNews
par La rédaction
La mise en scène académique s’efface derrière le jeu délicat des acteurs – Cécile de France, Edouard Baer, Alice Isaac et Laure Calamy – qui s’amusent avec le phrasé désuet de l’époque, entre pouvoir, trahison et manipulation.
Critikat.com
par Juliette Goffart
Emmanuel Mouret est ici au sommet de son art, où, plus que jamais, la délicatesse des sentiments s'exprime par une symphonie de formes raffinées.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
On se réjouit et on se régale de cette variation brillante et cruelle des jeux de l'amour, aussi bien écrite que jouée.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
"Mademoiselle de Joncquières" vaut ainsi pour beaucoup par son texte et son interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Si les dialogues se savourent avec délice, les scènes muettes et les ellipses – deux livres posés l’un sur l’autre suffisent à évoquer une scène d’amour – ravissent l’imagination du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un marivaudage plus complexe qu’il n’y paraît, bercé par l’amour des lettres.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Auteur et interprète, Emmanuel Mouret s'est souvent mis en scène en amoureux candide et hésitant dans des comédies sentimentalo-burlesques un rien coquines. On ne s'étonne pas que le XVIIIe siècle le tente. Il adopte son plumage et son ramage avec un plaisir évident dans sa première comédie en costumes qui a tout du pastiche, Mademoiselle de Joncquières.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dans des décors somptueux et avec un sens du cadre aussi sobre qu’élégant, le réalisateur orchestre une guerre des sexes jubilatoire, où la cruauté le dispute à la candeur, la rancœur à la passion.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Emmanuel Mouret adapte avec bonheur un épisode du roman « Jacques le Fataliste » de Diderot.
Le Parisien
par La Rédaction
Pour incarner les deux principaux personnages, le duo Cécile de France/Edouard Baer était l’alchimie idéale…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Le meilleur film d’Emmanuel Mouret qui, en arrêtant d’exhiber un désir de maîtrise, libère sa mise en scène de son ancien “puritanisme” formel. Il réussit ainsi à nous faire partager son plaisir sensuel d’écouter parler les autres (ses personnages).
Ouest France
par Christophe Narbonne
Cécile de France est formidable face à un Edouard Baer plus mélancolique que d'habitude.
Première
par Anouk Féral
Coup de chapeau à Édouard Baer et Cécile de France dont l’interprétation très organique dérange habilement ce langage surplombant et délicieux qui émane à la fois du 18ème et de l’ADN du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
"Mademoiselle de Joncquières" ou quand Emmanuel Mouret réinvente l’art de la conversation dans une adaptation très réussie de Diderot.
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Dans cette adaptation d'un récit de Diderot aux dialogues ciselés, Emmanuel Mouret scrute à la loupe les sentiments de ses personnages blessés.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Dans cette adaptation d'un récit de Diderot, le réalisateur analyse les sentiments de personnages blessés, avec les dialogues ciselés dont il a le secret.
Télérama
par Guillemette Odicino
La mise en scène est d’une élégance surprenante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Le meilleur film d'Emmanuel Mouret so far.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
L’élégance des mots rivalise avec l’élégance des décors pour nous conter délicatement cette exquise histoire de vengeance sur fond de féminisme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
Le résultat est agréable à l'oreille mais finalement trop doucereux pour être passionnant.
L'Obs
par François Forestier
Le film, succession de tableaux dialogués, progresse de façon prévisible. Dans un univers proche de Rohmer, on va du point A au point B avec une certaine application. C’est un peu plan-plan. Le plaisir repose sur les acteurs, qui parlent en Marivaux. Cécile de France et Edouard Baer s’amusent et donnent une certaine allure au film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Ce qui frappe dans le dixième long métrage de Mouret, c’est son économie de moyens qui confine à une espèce de pureté du geste, de mise en scène. On assiste à une succession de scènes, des “tableaux” où se meuvent les deux amants livrés à l’art de discourir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Nicolas Bauche
[...] Mouret louvoie du côté de Choderlos de Laclos et de ses "Liaisons dangereuses". [...] Mais Laclos et l'adaptation géniale de Stephen Frears balisent la grammaire visuelle de l'ire féminine.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
L’ensemble reste – joliment – cousu de fil blanc.
Libération
par Marcos Uzal
Si la roideur de son cinéma peut séduire lorsqu’elle est la marque d’un anachronisme assumé, elle trahit dans un film d’époque une application scolaire. Les costumes trop propres pèsent une tonne et, plus grave, la langue de Diderot est parfois dite avec une gaucherie gênante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Une passionnante et moderne radiographie des amours assassines au XVIIIème siècle.
Culturopoing.com
"Mademoiselle de Joncquières" est un film en état de grâce.
Marie Claire
Si chaque film est un rêve, celui de Mouret en a la merveilleuse fluidité.
Studio Magazine
[...] le résultat est savoureux. Son neuvième long métrage se révèle même le plus abouti.
BIBA
Adaptée d'un passage de "Jacques le fataliste" de Diderot, cette vengeance en costumes délicieusement moderne sied à ravir à Edouard Baer, qui parle XVIIIème comme il respire.
CNews
La mise en scène académique s’efface derrière le jeu délicat des acteurs – Cécile de France, Edouard Baer, Alice Isaac et Laure Calamy – qui s’amusent avec le phrasé désuet de l’époque, entre pouvoir, trahison et manipulation.
Critikat.com
Emmanuel Mouret est ici au sommet de son art, où, plus que jamais, la délicatesse des sentiments s'exprime par une symphonie de formes raffinées.
Femme Actuelle
On se réjouit et on se régale de cette variation brillante et cruelle des jeux de l'amour, aussi bien écrite que jouée.
Franceinfo Culture
"Mademoiselle de Joncquières" vaut ainsi pour beaucoup par son texte et son interprétation.
La Croix
Si les dialogues se savourent avec délice, les scènes muettes et les ellipses – deux livres posés l’un sur l’autre suffisent à évoquer une scène d’amour – ravissent l’imagination du spectateur.
La Voix du Nord
Un marivaudage plus complexe qu’il n’y paraît, bercé par l’amour des lettres.
Le Figaro
Auteur et interprète, Emmanuel Mouret s'est souvent mis en scène en amoureux candide et hésitant dans des comédies sentimentalo-burlesques un rien coquines. On ne s'étonne pas que le XVIIIe siècle le tente. Il adopte son plumage et son ramage avec un plaisir évident dans sa première comédie en costumes qui a tout du pastiche, Mademoiselle de Joncquières.
Le Journal du Dimanche
Dans des décors somptueux et avec un sens du cadre aussi sobre qu’élégant, le réalisateur orchestre une guerre des sexes jubilatoire, où la cruauté le dispute à la candeur, la rancœur à la passion.
Le Monde
Emmanuel Mouret adapte avec bonheur un épisode du roman « Jacques le Fataliste » de Diderot.
Le Parisien
Pour incarner les deux principaux personnages, le duo Cécile de France/Edouard Baer était l’alchimie idéale…
Les Fiches du Cinéma
Le meilleur film d’Emmanuel Mouret qui, en arrêtant d’exhiber un désir de maîtrise, libère sa mise en scène de son ancien “puritanisme” formel. Il réussit ainsi à nous faire partager son plaisir sensuel d’écouter parler les autres (ses personnages).
Ouest France
Cécile de France est formidable face à un Edouard Baer plus mélancolique que d'habitude.
Première
Coup de chapeau à Édouard Baer et Cécile de France dont l’interprétation très organique dérange habilement ce langage surplombant et délicieux qui émane à la fois du 18ème et de l’ADN du cinéaste.
Transfuge
"Mademoiselle de Joncquières" ou quand Emmanuel Mouret réinvente l’art de la conversation dans une adaptation très réussie de Diderot.
Télé 2 semaines
Dans cette adaptation d'un récit de Diderot aux dialogues ciselés, Emmanuel Mouret scrute à la loupe les sentiments de ses personnages blessés.
Télé Loisirs
Dans cette adaptation d'un récit de Diderot, le réalisateur analyse les sentiments de personnages blessés, avec les dialogues ciselés dont il a le secret.
Télérama
La mise en scène est d’une élégance surprenante.
Voici
Le meilleur film d'Emmanuel Mouret so far.
aVoir-aLire.com
L’élégance des mots rivalise avec l’élégance des décors pour nous conter délicatement cette exquise histoire de vengeance sur fond de féminisme.
L'Express
Le résultat est agréable à l'oreille mais finalement trop doucereux pour être passionnant.
L'Obs
Le film, succession de tableaux dialogués, progresse de façon prévisible. Dans un univers proche de Rohmer, on va du point A au point B avec une certaine application. C’est un peu plan-plan. Le plaisir repose sur les acteurs, qui parlent en Marivaux. Cécile de France et Edouard Baer s’amusent et donnent une certaine allure au film.
Les Inrockuptibles
Ce qui frappe dans le dixième long métrage de Mouret, c’est son économie de moyens qui confine à une espèce de pureté du geste, de mise en scène. On assiste à une succession de scènes, des “tableaux” où se meuvent les deux amants livrés à l’art de discourir.
Positif
[...] Mouret louvoie du côté de Choderlos de Laclos et de ses "Liaisons dangereuses". [...] Mais Laclos et l'adaptation géniale de Stephen Frears balisent la grammaire visuelle de l'ire féminine.
Cahiers du Cinéma
L’ensemble reste – joliment – cousu de fil blanc.
Libération
Si la roideur de son cinéma peut séduire lorsqu’elle est la marque d’un anachronisme assumé, elle trahit dans un film d’époque une application scolaire. Les costumes trop propres pèsent une tonne et, plus grave, la langue de Diderot est parfois dite avec une gaucherie gênante.