Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
"Cinéma mon amour" est un portrait magnifique d'un homme magnifique.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un champ de ruines au milieu duquel ce militant se dresse avec faconde et désespoir, mais sans renoncer. Héros de l'ombre de ce documentaire mélancolique et narquois. Tout comme son modèle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
L'excellent documentariste Alexandre Belc consacre à Victor un portrait admiratif et captivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Un film modeste et chaleureux, une ode à la résistance et à la débrouille.
Critikat.com
par Ophélie Wiel
"Cinéma, mon amour" ne se défend pas d'être un brin élégiaque : le spectateur est sommé d'épouser sa cause, et le fait sans déplaisir. Pour Viktor Erice en effet, "le cinéma est un droit social". Et nous n'allons tout de même pas le contredire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
S’appuyant sur la figure volontaire et dynamique de son héros, Alexandre Belc réalise un film résolument optimiste, loin de toute nostalgie mortifère.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Transfuge
par Nathalie Dassa
Si le documentaire ne pousse pas plus avant son sujet, s’en dégage néanmoins une résistance née de la nostalgie et de l’espoir, malgré l’érosion du paysage culturel roumain, et par extension européen, face aux technologies modernes.
Télérama
par Nicolas Didier
Script pour Cristian Mungiu ("4 Mois, 3 semaines, 2 jours"), assistant-réalisateur pour Corneliu Porumboiu (...), Alexandru Belc choisit de rester en retrait (pas de commentaire off, pas d'apparition devant la caméra), si bien que les conversations avec le maître des lieux prennent l'allure de monologues tragiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Mathieu Macheret
En dépit d’une réalisation purement contingente, et sans grande inventivité, Belc touche à l’une des vérités profondes du cinéma et de la cinéphilie, à savoir leur caractère essentiellement funèbre et morbide, liée au maintien impossible d’un émerveillement d’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Express
"Cinéma mon amour" est un portrait magnifique d'un homme magnifique.
L'Obs
Un champ de ruines au milieu duquel ce militant se dresse avec faconde et désespoir, mais sans renoncer. Héros de l'ombre de ce documentaire mélancolique et narquois. Tout comme son modèle.
Le Figaro
L'excellent documentariste Alexandre Belc consacre à Victor un portrait admiratif et captivant.
Les Fiches du Cinéma
Un film modeste et chaleureux, une ode à la résistance et à la débrouille.
Critikat.com
"Cinéma, mon amour" ne se défend pas d'être un brin élégiaque : le spectateur est sommé d'épouser sa cause, et le fait sans déplaisir. Pour Viktor Erice en effet, "le cinéma est un droit social". Et nous n'allons tout de même pas le contredire.
Culturopoing.com
S’appuyant sur la figure volontaire et dynamique de son héros, Alexandre Belc réalise un film résolument optimiste, loin de toute nostalgie mortifère.
Transfuge
Si le documentaire ne pousse pas plus avant son sujet, s’en dégage néanmoins une résistance née de la nostalgie et de l’espoir, malgré l’érosion du paysage culturel roumain, et par extension européen, face aux technologies modernes.
Télérama
Script pour Cristian Mungiu ("4 Mois, 3 semaines, 2 jours"), assistant-réalisateur pour Corneliu Porumboiu (...), Alexandru Belc choisit de rester en retrait (pas de commentaire off, pas d'apparition devant la caméra), si bien que les conversations avec le maître des lieux prennent l'allure de monologues tragiques.
Le Monde
En dépit d’une réalisation purement contingente, et sans grande inventivité, Belc touche à l’une des vérités profondes du cinéma et de la cinéphilie, à savoir leur caractère essentiellement funèbre et morbide, liée au maintien impossible d’un émerveillement d’enfance.