Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Télé 2 semaines
par C.P.
Lumineux et bouleversant.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Ce récit d'une reconstruction passionne et bouleverse.
Télérama
par Pierre Murat
C’est moins un film sur la foi que sur la fraternité. Et c’est bien ce qui rend déchirants les adieux de Thomas, en partance vers son destin, à ses compagnons d’infortune, réunis pour lui souhaiter bonne route.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Jo Fishley
La foi ici célébrée par Cédric Kahn est pourtant moins une ferveur religieuse qu’une croyance en l’homme. Y croire, c’est croire en soi, c’est croire en la lumière et surtout, en l’amour.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Avec "La Prière", le réalisateur de "Roberto Succo" et de "Vie sauvage" retrouve la ferveur naturaliste de ses débuts.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un film poignant.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Ce film rude est une vraie réussite. Avant d’être religieux, il est d’abord une histoire d’hommes qui s’aident à se relever.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
La foi est toujours à l’épreuve de l’échec ou du miracle. Au libre arbitre du spectateur de tracer ses voies entre le rejet de la religion, de ses pratiques et l’empathie qui nous lie à Thomas. Le grand paysage scandé en saisons apporte sa partition lyrique à ce bel ouvrage.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Presque quatre ans après Vie sauvage, ce réalisateur atypique et autodidacte que l’on sent taraudé par les questionnements existentiels revient avec La Prière à la simplicité et au dépouillement de ses premières réalisations.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Et si la dimension symbolique (...) n'évite pas toujours le schématisme démonstratif, la façon dont "La Prière", in fine, réconcilie transcendance et réalité témoigne que Cédric Kahn, à tout le moins, réussit à éviter l'angélisme.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Cédric Kahn cherchait, dit-il, «une intensité et une limpidité» dans le jeu de ses comédiens. Les deux mots conviennent au film entier, qui inscrit une narration mouvementée et tendue dans la fixité majestueuse d'un paysage hors du monde et dans la simplicité d'une vie communautaire sans piège.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une histoire de courage et de solidarité traitée avec audace, humanisme et une grande beauté.
Le Parisien
par La Rédaction
On est captivé par le parcours de ce personnage, joué par l’exceptionnel Anthony Bajon, au visage à peine sorti de l’enfance, Ours d’argent du meilleur acteur à Berlin. Avec un habile suspense qui garde lui aussi sa part de mystère…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jérôme Cordelier
Époustouflant de justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
(...) tout sonne très juste. La mise en scène joue avec bonheur sur la progression des cadres qui s'ouvrent, au fil de la reconstruction du jeune homme, de I'intimité chaude du chalet au majestueux paysage montagnard.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Plus social et concret que métaphysique, La Prière trace un parcours exigeant, escarpé vers la lumière.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Kahn (...) regarde la collectivité religieuse de la Prière, sans jugement ni idéalisation mais avec une forme de respect pour le choix d’une existence insoumise à l’ordre social, ayant créé au milieu de la nature ses propres règles et rituels, dont il ne cache pas pour autant les limites et les failles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un film poignant.
Positif
par Jean-Loup Bourget
La force de "La Prière" (...) tient aux embardées de son scénario ; à la sécheresse d'une mise en scène bressonienne, corrigée par le lyrisme des paysages et de la couleur ; à l'interprétation remarquable d'Anthony Bajon dans le rôle principal ; à la complexité d'une démarche qui mène de pair l'observation distanciée de pratiques religieuses rituelles dont l'efficacité demeure problématique et l'empathie avec un personnage qui, (...) doute et tâtonne pour trouver son chemin (...).
Première
par Thomas Baurez
Kahn ne juge pas, sa caméra s’intéresse aux visages, à la façon dont la parole se synchronise ou non à la pensée profonde des êtres. Prier est une route possible pour trouver ce point d’équilibre. Mais Kahn n’est pas prosélyte. Ce n’est pas tant le message de Dieu et les rites qui soignent, que la façon dont Thomas va s’en servir pour se libérer. Passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film a la grâce d’un acte de foi. C’est une flèche qui part et se fiche avec douceur.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Le réalisateur filme ce chemin de croix avec sobriété, sensibilité et bienveillance.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre beauté mystique et nature sauvage, Cédric Kahn décrit avec une infinie pudeur le combat douloureux et rédempteur d’un jeune homme aux prises avec la vie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Ferhat Abbas
L’intelligence du cinéaste consiste alors à ancrer, parfois grossièrement, la foi de Thomas dans l’expérience intime et une atmosphère mystique qui tient à la magnifique photographie du film et aux espaces filmés. Cela lui permet alors d’affirmer une conviction profonde : celle de rester libre, et de se laisser guider par la spontaneité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Avec un style sec, une approche droite et factuelle, Kahn filme moins l'apprentissage de la foi religieuse que celui de la foi en soi, en l'autre, en un possible amour. Il aurait gagné à y mettre un peu plus de grâce.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Cédric Kahn trouve néanmoins la bonne distance pour accompagner ce chemin intérieur dont l'aboutissement surprendra plus d'un spectateur.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le réalisateur de Roberto Succo ou Une vie meilleure aime fouailler dans le tissu social, de préférence aux endroits où il souffre. Dans ce film étonnant, le cinéaste prend la tangente sur les pas de Thomas (Anthony Bajon), un garçon d’une vingtaine d’années qu’on découvre assis dans un autocar qui l’emmène on ne sait où.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Pas prosélyte pour un sou, Cédric Kahn filme avec tendresse le portrait d’un gosse perdu et son lent retour à la vie, porté par l’incroyable Anthony Bajon, Prix d’interprétation au dernier Festival de Berlin. Touchant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Après L’Apparition de Xavier Giannoli, on peut s’interroger sur ces fictions plus que bienveillantes avec la foi. Il n’est plus question d’être à la croisée des chemins mais presque sur le chemin des Croisades.
L'Express
par Christophe Carrière
Louée soit la mise en scène de Cédric Kahn, d'une précision épatante (...). Dommage que ces qualités soient au service d'une histoire convenue, qui plus est ralentie par trop de chants et de prières.
Transfuge
par Frédéric Mercier
(...) son film manque de complexité comme d’ambiguïté. Si bien que ce film d’interrogations existentielles paraît en bout de course un peu joué d’avance et donc plus plat qu’il ne le promettait. Dommage.
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
On voulait entendre ses prières, on n’entend que des répliques de scénario. La transformation mystique n’a pas eu lieu.
Télé 2 semaines
Lumineux et bouleversant.
Télé Loisirs
Ce récit d'une reconstruction passionne et bouleverse.
Télérama
C’est moins un film sur la foi que sur la fraternité. Et c’est bien ce qui rend déchirants les adieux de Thomas, en partance vers son destin, à ses compagnons d’infortune, réunis pour lui souhaiter bonne route.
Bande à part
La foi ici célébrée par Cédric Kahn est pourtant moins une ferveur religieuse qu’une croyance en l’homme. Y croire, c’est croire en soi, c’est croire en la lumière et surtout, en l’amour.
CNews
Avec "La Prière", le réalisateur de "Roberto Succo" et de "Vie sauvage" retrouve la ferveur naturaliste de ses débuts.
Femme Actuelle
Un film poignant.
Franceinfo Culture
Ce film rude est une vraie réussite. Avant d’être religieux, il est d’abord une histoire d’hommes qui s’aident à se relever.
L'Humanité
La foi est toujours à l’épreuve de l’échec ou du miracle. Au libre arbitre du spectateur de tracer ses voies entre le rejet de la religion, de ses pratiques et l’empathie qui nous lie à Thomas. Le grand paysage scandé en saisons apporte sa partition lyrique à ce bel ouvrage.
La Croix
Presque quatre ans après Vie sauvage, ce réalisateur atypique et autodidacte que l’on sent taraudé par les questionnements existentiels revient avec La Prière à la simplicité et au dépouillement de ses premières réalisations.
Le Dauphiné Libéré
Et si la dimension symbolique (...) n'évite pas toujours le schématisme démonstratif, la façon dont "La Prière", in fine, réconcilie transcendance et réalité témoigne que Cédric Kahn, à tout le moins, réussit à éviter l'angélisme.
Le Figaro
Cédric Kahn cherchait, dit-il, «une intensité et une limpidité» dans le jeu de ses comédiens. Les deux mots conviennent au film entier, qui inscrit une narration mouvementée et tendue dans la fixité majestueuse d'un paysage hors du monde et dans la simplicité d'une vie communautaire sans piège.
Le Journal du Dimanche
Une histoire de courage et de solidarité traitée avec audace, humanisme et une grande beauté.
Le Parisien
On est captivé par le parcours de ce personnage, joué par l’exceptionnel Anthony Bajon, au visage à peine sorti de l’enfance, Ours d’argent du meilleur acteur à Berlin. Avec un habile suspense qui garde lui aussi sa part de mystère…
Le Point
Époustouflant de justesse.
Les Fiches du Cinéma
(...) tout sonne très juste. La mise en scène joue avec bonheur sur la progression des cadres qui s'ouvrent, au fil de la reconstruction du jeune homme, de I'intimité chaude du chalet au majestueux paysage montagnard.
Les Inrockuptibles
Plus social et concret que métaphysique, La Prière trace un parcours exigeant, escarpé vers la lumière.
Libération
Kahn (...) regarde la collectivité religieuse de la Prière, sans jugement ni idéalisation mais avec une forme de respect pour le choix d’une existence insoumise à l’ordre social, ayant créé au milieu de la nature ses propres règles et rituels, dont il ne cache pas pour autant les limites et les failles.
Ouest France
Un film poignant.
Positif
La force de "La Prière" (...) tient aux embardées de son scénario ; à la sécheresse d'une mise en scène bressonienne, corrigée par le lyrisme des paysages et de la couleur ; à l'interprétation remarquable d'Anthony Bajon dans le rôle principal ; à la complexité d'une démarche qui mène de pair l'observation distanciée de pratiques religieuses rituelles dont l'efficacité demeure problématique et l'empathie avec un personnage qui, (...) doute et tâtonne pour trouver son chemin (...).
Première
Kahn ne juge pas, sa caméra s’intéresse aux visages, à la façon dont la parole se synchronise ou non à la pensée profonde des êtres. Prier est une route possible pour trouver ce point d’équilibre. Mais Kahn n’est pas prosélyte. Ce n’est pas tant le message de Dieu et les rites qui soignent, que la façon dont Thomas va s’en servir pour se libérer. Passionnant.
Sud Ouest
Le film a la grâce d’un acte de foi. C’est une flèche qui part et se fiche avec douceur.
Voici
Le réalisateur filme ce chemin de croix avec sobriété, sensibilité et bienveillance.
aVoir-aLire.com
Entre beauté mystique et nature sauvage, Cédric Kahn décrit avec une infinie pudeur le combat douloureux et rédempteur d’un jeune homme aux prises avec la vie.
Critikat.com
L’intelligence du cinéaste consiste alors à ancrer, parfois grossièrement, la foi de Thomas dans l’expérience intime et une atmosphère mystique qui tient à la magnifique photographie du film et aux espaces filmés. Cela lui permet alors d’affirmer une conviction profonde : celle de rester libre, et de se laisser guider par la spontaneité.
L'Obs
Avec un style sec, une approche droite et factuelle, Kahn filme moins l'apprentissage de la foi religieuse que celui de la foi en soi, en l'autre, en un possible amour. Il aurait gagné à y mettre un peu plus de grâce.
La Voix du Nord
Cédric Kahn trouve néanmoins la bonne distance pour accompagner ce chemin intérieur dont l'aboutissement surprendra plus d'un spectateur.
Le Monde
Le réalisateur de Roberto Succo ou Une vie meilleure aime fouailler dans le tissu social, de préférence aux endroits où il souffre. Dans ce film étonnant, le cinéaste prend la tangente sur les pas de Thomas (Anthony Bajon), un garçon d’une vingtaine d’années qu’on découvre assis dans un autocar qui l’emmène on ne sait où.
Paris Match
Pas prosélyte pour un sou, Cédric Kahn filme avec tendresse le portrait d’un gosse perdu et son lent retour à la vie, porté par l’incroyable Anthony Bajon, Prix d’interprétation au dernier Festival de Berlin. Touchant.
Cahiers du Cinéma
Après L’Apparition de Xavier Giannoli, on peut s’interroger sur ces fictions plus que bienveillantes avec la foi. Il n’est plus question d’être à la croisée des chemins mais presque sur le chemin des Croisades.
L'Express
Louée soit la mise en scène de Cédric Kahn, d'une précision épatante (...). Dommage que ces qualités soient au service d'une histoire convenue, qui plus est ralentie par trop de chants et de prières.
Transfuge
(...) son film manque de complexité comme d’ambiguïté. Si bien que ce film d’interrogations existentielles paraît en bout de course un peu joué d’avance et donc plus plat qu’il ne le promettait. Dommage.
La Septième Obsession
On voulait entendre ses prières, on n’entend que des répliques de scénario. La transformation mystique n’a pas eu lieu.