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Peter Franckson
51 abonnés
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3,0
Publiée le 10 janvier 2018
Comme le titre l’indique, le film (en noir et blanc) s’inspire d’une légende chinoise du XVIIe siècle, à savoir un serpent blanc aux grands pouvoirs qui prend l’apparence d’une femme (jouée par Choi Eun-hee, que le réalisateur a épousée en 1954 et qui jouera dans la plupart de ses films jusqu’à leur divorce en 1976) qui tombe amoureuse au bord d’un lac et épouse un jeune herboriste, tout en gardant sa dame de compagnie. spoiler: L’histoire se complique car le monde céleste auquel elle appartient lui demande de renoncer à la vie terrestre (et donc à son mari) tandis qu’elle est pourchassée par un moine qui a découvert en elle son côté maléfique . La réalisation est très conventionnelle voire naïve mais n’a pas trop mal vieilli. Je préfère la version « The sorcerer and the white snake » (2011) du hongkongais Tony CHING SIU-TUNG, qui gardait un côté conte pour enfants avec une abondance d’effets spéciaux (notamment un tsunami inondant un monastère !).