Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Humanité
par Jean Roy
(...) quelque chose entre les Monty Pithon et Woody Allen qui emprunterait aux premiers les péripéties cocasses faisant fi de toute crédibilité et au second un art consommé de la réplique qui tue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Aden
par Philippe Piazzo
On adore (...) John Waters de savoir rester impertinent, sarcastique et méchamment critique tout en osant, aujourd'hui, être plus tendre avec ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cinopsis.com
par Olivier Loncin
Graveleux, grossier et bordélique, Waters se fiche de la correction et milite activement pour le droit à aimer ce que l'on veut; le principe de jouissance prévalant sur n'importe quel diktat imposé par le marketing.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Cplanet.com
par Marc Bianco
On retrouve dans Cecil B. Demented le meilleur de John Waters : de multiples personnages déjantés aux sexualités variées (...), des dialogues qui pulvérisent ce qui reste de bonne conscience américaine (...). Un petit bijou de comédie.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
FHM
par Laurent Djian
Une comédie d'action jouissive et déconnante, menée à fond la caisse.
La critique complète est disponible sur le site FHM
Le Parisien
par Eric Leguèbe
(...) une amusante illustration du débat qui oppose les tenants des grosses compagnies californiennes et les indépendants de l'école new-yorkaise.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Lenouveaucinema.com
par Olivier Bonnard
Film réflexif , porté sur le mauvais goût et l'humour corrosif d'un Waters déchaîné, Cecil B. Demented dresse un état des lieux préoccupant du paysage cinématographique américain.
Première
par Christophe Carrière
(...) Cecil B. DeMented n'est pas un film méchant mais un concentré caustique s'adressant en priorité aux bouffeurs de pelloche qui savent faire la différence entre un divertissement efficace et un produit marketing (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Julien Welter
La position de John Waters réside (...) dans cet écart heureusement malicieux entre alternatives créatrices, affinité un peu datée avec la frange underground, et nécessité hypocritement assumée de divertir.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Télérama
par François Gorin
On s'inquiétait de voir mollir John Waters, ex-prince sexo-scatologue des années 70. Deux doigts dans la prise et un majeur tendu vers le reste du cinémonde, le revoici en courant continu, sur fond de guitare punk.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Nathalie Piernaz
A l'image de sa famille de cinéma, John Waters fait preuve d'une absence totale d'inventivité. On se surprend à guetter dans cette mise en scène paresseuse la subversion, spécialité jusque-là du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Le résultat est hilarant... pendant un quart d'heure. Ensuite, malgré l'énergie des interprètes et celle de la réalisation, un sentiment de répétition et de vanité s'installe (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Marie Quéva
(...) une satire bon enfant du cinéma hollywoodien. Le réalisateur de « Pink Flamingos » s'est assagi. Le ton est rigolard, les ficelles sont grosses, le message un peu frelaté.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) après un démarrage tonitruant, Cecil B. Demented faiblit nettement et connaît de sérieux trous d'air dans la direction d'acteurs et dans l'inspiration.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Yann Tobin
Le début est amusant, avec sa parodie de l'hystérie des avant-premières, et le film sombre rapidement dans la facilité, le manque d'impertinence, les blagues de potaches et le bâclage total de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C'est assez drôle au début, le temps que les éléments se mettent en place, puis beaucoup moins lorsque l'effet de surprise ne joue plus, puis plus du tout (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Jean-Marc Lalanne
Cecil B Demented est une vraie faillite en terme d'écriture comique et de verve satirique. A tel point que sur un sujet similaire (...), le Bowfinger, roi d'Hollywood de Franck Oz avec Steve Martin et Eddie Murphy était nettement plus amusant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
(...) quelque chose entre les Monty Pithon et Woody Allen qui emprunterait aux premiers les péripéties cocasses faisant fi de toute crédibilité et au second un art consommé de la réplique qui tue.
Aden
On adore (...) John Waters de savoir rester impertinent, sarcastique et méchamment critique tout en osant, aujourd'hui, être plus tendre avec ses personnages.
Cinopsis.com
Graveleux, grossier et bordélique, Waters se fiche de la correction et milite activement pour le droit à aimer ce que l'on veut; le principe de jouissance prévalant sur n'importe quel diktat imposé par le marketing.
Cplanet.com
On retrouve dans Cecil B. Demented le meilleur de John Waters : de multiples personnages déjantés aux sexualités variées (...), des dialogues qui pulvérisent ce qui reste de bonne conscience américaine (...). Un petit bijou de comédie.
FHM
Une comédie d'action jouissive et déconnante, menée à fond la caisse.
Le Parisien
(...) une amusante illustration du débat qui oppose les tenants des grosses compagnies californiennes et les indépendants de l'école new-yorkaise.
Lenouveaucinema.com
Film réflexif , porté sur le mauvais goût et l'humour corrosif d'un Waters déchaîné, Cecil B. Demented dresse un état des lieux préoccupant du paysage cinématographique américain.
Première
(...) Cecil B. DeMented n'est pas un film méchant mais un concentré caustique s'adressant en priorité aux bouffeurs de pelloche qui savent faire la différence entre un divertissement efficace et un produit marketing (...)
Repérages
La position de John Waters réside (...) dans cet écart heureusement malicieux entre alternatives créatrices, affinité un peu datée avec la frange underground, et nécessité hypocritement assumée de divertir.
Télérama
On s'inquiétait de voir mollir John Waters, ex-prince sexo-scatologue des années 70. Deux doigts dans la prise et un majeur tendu vers le reste du cinémonde, le revoici en courant continu, sur fond de guitare punk.
Chronic'art.com
A l'image de sa famille de cinéma, John Waters fait preuve d'une absence totale d'inventivité. On se surprend à guetter dans cette mise en scène paresseuse la subversion, spécialité jusque-là du cinéaste.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Le résultat est hilarant... pendant un quart d'heure. Ensuite, malgré l'énergie des interprètes et celle de la réalisation, un sentiment de répétition et de vanité s'installe (...)
Les Echos
(...) une satire bon enfant du cinéma hollywoodien. Le réalisateur de « Pink Flamingos » s'est assagi. Le ton est rigolard, les ficelles sont grosses, le message un peu frelaté.
Les Inrockuptibles
(...) après un démarrage tonitruant, Cecil B. Demented faiblit nettement et connaît de sérieux trous d'air dans la direction d'acteurs et dans l'inspiration.
Positif
Le début est amusant, avec sa parodie de l'hystérie des avant-premières, et le film sombre rapidement dans la facilité, le manque d'impertinence, les blagues de potaches et le bâclage total de la mise en scène.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Obs
C'est assez drôle au début, le temps que les éléments se mettent en place, puis beaucoup moins lorsque l'effet de surprise ne joue plus, puis plus du tout (...)
Libération
Cecil B Demented est une vraie faillite en terme d'écriture comique et de verve satirique. A tel point que sur un sujet similaire (...), le Bowfinger, roi d'Hollywood de Franck Oz avec Steve Martin et Eddie Murphy était nettement plus amusant.