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Si un temps, il (Ken Loach) a pu s'oublier dans un militantisme dévoyé, il revient cette fois-ci en force, avec cette âpreté et cet instinct poétique qui faisaient tout le prix de Kes ou de Raining Stone.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Soucieux d'être à la fois percutant et grand public, Ken Loach n'hésite pas à caser ici ou là quelques musiques ou clichés doucereux, voire superflus, mais jamais envahissants.
(...) une nouvelle variation sur la résistance des faibles face aux profiteurs de toutes sortes qui les oppriment. Manichéen ? Pas vraiment : Ken Loach ose appeler un chat un chat (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Bread and Roses, c'est, avant tout, de la générosité en action. Devant et derrière la caméra. Ken Loach, ici, a l'art de filmer avec une simplicité qui semble aller de soi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) un film à la fois franchement sincère et vaguement bancal, comme un bateau qui tangue. Depuis quelques années, il y a, chez ce cinéaste qui a été plus d'une fois inspiré, une forme d'usure…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Il y a dans Bread and Roses (...) tout ce que l'on sait être de bonnes raisons de lutter (...). Mais le film, souvent manichéen et enrobé d'une musique lacrymale, semble recouvert d'un sucre glace schématique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Britannique semble avoir définitivement abandonné ce qui faisait le charme de certains de ses anciens films (...) au profit d'une mécanique simpliste, schématique et trop bien huilée.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Tout, bien que mijotant avec tout, demeure séparé : moi, les autres, le cinéma (...). Aucune effort n'est fait pour créer une grande alliance. La non-solidarité des ingrédients entre eux, c'est peut-être ce qui, au fond, empêche ici d'espérer.
(...) Bread and roses, qui a pour mission d'éveiller les consciences, les endort en ne les promenant que sur des sentiers maintes fois traversés, et qui aboutissent à une impasse cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Accaparé par une recherche d'arguments imparables, Loach oublie une fois encore la poésie de ses débuts en utilisant des personnages qui ne paraissent être que des pièces au service d'un discours engagé.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Aden
Démonstration qui indigne et prend au coeur, bien dans la manière de Raining Stones.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
FHM
Dieu que la lutte des classes est jolie quand c'est Ken le rouge qui la filme à Hollywood !
Fluctuat.net
Si un temps, il (Ken Loach) a pu s'oublier dans un militantisme dévoyé, il revient cette fois-ci en force, avec cette âpreté et cet instinct poétique qui faisaient tout le prix de Kes ou de Raining Stone.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro Magazine
Militant comme un tract de la CGT, l'humour en plus.
Le Journal du Dimanche
Soucieux d'être à la fois percutant et grand public, Ken Loach n'hésite pas à caser ici ou là quelques musiques ou clichés doucereux, voire superflus, mais jamais envahissants.
Positif
(...) une nouvelle variation sur la résistance des faibles face aux profiteurs de toutes sortes qui les oppriment. Manichéen ? Pas vraiment : Ken Loach ose appeler un chat un chat (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
La dénonciation sociale, malgré sa force, n'est jamais pesante, car le scénario entrelace les enjeux dramaturgiques (...)
Télérama
Bread and Roses, c'est, avant tout, de la générosité en action. Devant et derrière la caméra. Ken Loach, ici, a l'art de filmer avec une simplicité qui semble aller de soi.
Cinopsis.com
(...) un film à voir pour son authenticité et son sens social profond.
Le Monde
Une démonstration affadie par un mélo peu crédible.
Le Parisien
(...) un film à la fois franchement sincère et vaguement bancal, comme un bateau qui tangue. Depuis quelques années, il y a, chez ce cinéaste qui a été plus d'une fois inspiré, une forme d'usure…
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Il y a dans Bread and Roses (...) tout ce que l'on sait être de bonnes raisons de lutter (...). Mais le film, souvent manichéen et enrobé d'une musique lacrymale, semble recouvert d'un sucre glace schématique.
Première
(...) la politique sonne didactique et les sentiments un peu gnangnan. Ce n'est pas rien, loin s'en faut. Mais c'est tout de même un petit Loach.
Urbuz
Le Britannique semble avoir définitivement abandonné ce qui faisait le charme de certains de ses anciens films (...) au profit d'une mécanique simpliste, schématique et trop bien huilée.
Cahiers du Cinéma
Tout, bien que mijotant avec tout, demeure séparé : moi, les autres, le cinéma (...). Aucune effort n'est fait pour créer une grande alliance. La non-solidarité des ingrédients entre eux, c'est peut-être ce qui, au fond, empêche ici d'espérer.
Chronic'art.com
(...) Bread and roses, qui a pour mission d'éveiller les consciences, les endort en ne les promenant que sur des sentiers maintes fois traversés, et qui aboutissent à une impasse cinématographique.
Les Inrockuptibles
(...) Ken Loach ne filme que ses certitudes, pliant fictions et personnages sous le joug de ses démonstrations.
Repérages
Accaparé par une recherche d'arguments imparables, Loach oublie une fois encore la poésie de ses débuts en utilisant des personnages qui ne paraissent être que des pièces au service d'un discours engagé.