Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
(...) un cri d’alerte d’une ampleur salutaire comme on n’en voit que trop peu au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
A la fois film militant et grand moment de cinéma, cette chronique très dure donne à réfléchir. On ne peut que vivement la recommander.
CNews
par La Rédaction
Huis clos poignant tourné à Beyrouth, Une famille syrienne fait le choix de toujours garder la violence hors champ, pour s’intéresser à l’existence et au combat au jour le jour des civils. Hiam Abbass, en mère courage, livre une prestation solide.
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
La fiction, dans sa démarche de composition, maîtrisant un déroulé narratif subtil, parvient à rendre compte du réel avec une acuité qui en multiplie la puissance.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Une œuvre d’une incroyable densité dramatique à ne pas manquer !
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un huis clos d'une force rare.
L'Express
par Christophe Carrière
La force de ce long métrage par moments très éprouvant est de ne pas expliquer les raisons du conflit, mais de s'attacher aux conséquences humaines.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans son personnage fort et charismatique au cœur du récit, Hiam Abbass bouleverse, aux côtés des non moins émouvantes Juliette Navis et Diamand Bou Abboud. Ce film devrait aider à modifier le regard sur les réfugiés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec Une famille syrienne, Philippe Van Leeuw tient son sujet au plus près, atteint l'universel en s'attardant sur les détails prosaïques, la peur, la faim, la désolation. Le film fourmille de justesse. Il décrit un foyer d'inquiétude, évoque un monde où rien ne sera plus jamais pareil.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Oppressant, parfois insoutenable, ce drame magnifiquement réalisé laisse de côté toute considération politique pour adopter un parti pris intimiste et humain. Il ne montre quasiment aucune image de guerre, mais place le spectateur au coeur de celle-ci.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Huis clos étouffant, “Une famille syrienne” parvient à nous rendre palpable la perte de tous les repères du quotidien, et la détresse qui en découle. Un film parfois scolaire, mais souvent poignant.
Paris Match
par Yannick Vely
Sec, sans une scène superflue - le film dure 1h20 -, "Une Famille syrienne" parvient à nous faire ressentir la pression psychologique de cette situation sous haute tension où le moindre SMS peut annoncer la mort d'un proche ou la promesse d'un nouveau départ.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Ce parti pris de huis clos intimiste pour condamner les horreurs de la guerre s'avère payant. Le film joue admirablement avec les sons (de l'extérieur) et le hors-champ.
Transfuge
par Frédéric Mercier
C'est dans cette logique d'un monde flou, déformé, sans loi et sans intimité possible, qu'"Une famille syrienne" tire avec brio son épingle du jeu.
Télérama
par Cécile Mury
Pour que cette violence s’incarne, il fallait de beaux personnages, déchirés entre la nécessité de fuir — tous ceux qui protestent contre l’afflux de réfugiés politiques en Europe devraient voir ce film — et le besoin de rester. De la mélancolie tendre et funèbre du grand-père, fantôme d’une autre époque, à l’énergie dure de sa belle-fille, tous sont inoubliables de présence et de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Gabrielle Adjerad
Dans ce foyer où la quotidienneté a quelque chose d’absurde puisque personne n’est à l’abri, s’engage un drame psychologique aux accents bergmaniens d’une dureté parfois insoutenable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Certes, le scénario cède parfois à quelques métaphores insistantes, mais la mise en scène qui évite tout pathos et la force d’incarnation des actrices balaient cette réserve.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Huis clos évocateur des conflits destructeurs. Les acteurs, tout comme la mise en scène, font preuve de sobriété.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Récompensé de plusieurs prix au festival d’Angoulême, ce drame quasiment à huis clos installe immédiatement une atmosphère oppressante.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Philippe Van Leeuw conduit son récit avec beaucoup d’habileté. Il s’agit de ne pas ciller devant l’horreur des situations sans pour autant rendre le spectacle insupportable.
Première
par Edouard Orozco
Préférant montrer les émotions que les charniers ou les immeubles éventrés par les missiles, Philippe Van Leeuw livre là un film poignant, quoiqu’un peu austère, sur l’atroce banalité de la guerre. Et semble nous poser cette question simple mais cruciale : pourrions-nous supporter une telle vie ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Jérémy Piette
Tout celà appartient bel et bien à la réalité du conflit syrien, dont Van Leeuw ne retient que ce qui nourrit sa dramaturgie, on ne le conteste pas - mais filmé comme ça, dans cet ordre-là ?
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
(...) un cri d’alerte d’une ampleur salutaire comme on n’en voit que trop peu au cinéma.
20 Minutes
A la fois film militant et grand moment de cinéma, cette chronique très dure donne à réfléchir. On ne peut que vivement la recommander.
CNews
Huis clos poignant tourné à Beyrouth, Une famille syrienne fait le choix de toujours garder la violence hors champ, pour s’intéresser à l’existence et au combat au jour le jour des civils. Hiam Abbass, en mère courage, livre une prestation solide.
Culturopoing.com
La fiction, dans sa démarche de composition, maîtrisant un déroulé narratif subtil, parvient à rendre compte du réel avec une acuité qui en multiplie la puissance.
Elle
Une œuvre d’une incroyable densité dramatique à ne pas manquer !
Femme Actuelle
Un huis clos d'une force rare.
L'Express
La force de ce long métrage par moments très éprouvant est de ne pas expliquer les raisons du conflit, mais de s'attacher aux conséquences humaines.
La Croix
Dans son personnage fort et charismatique au cœur du récit, Hiam Abbass bouleverse, aux côtés des non moins émouvantes Juliette Navis et Diamand Bou Abboud. Ce film devrait aider à modifier le regard sur les réfugiés.
Le Figaro
Avec Une famille syrienne, Philippe Van Leeuw tient son sujet au plus près, atteint l'universel en s'attardant sur les détails prosaïques, la peur, la faim, la désolation. Le film fourmille de justesse. Il décrit un foyer d'inquiétude, évoque un monde où rien ne sera plus jamais pareil.
Le Parisien
Oppressant, parfois insoutenable, ce drame magnifiquement réalisé laisse de côté toute considération politique pour adopter un parti pris intimiste et humain. Il ne montre quasiment aucune image de guerre, mais place le spectateur au coeur de celle-ci.
Les Fiches du Cinéma
Huis clos étouffant, “Une famille syrienne” parvient à nous rendre palpable la perte de tous les repères du quotidien, et la détresse qui en découle. Un film parfois scolaire, mais souvent poignant.
Paris Match
Sec, sans une scène superflue - le film dure 1h20 -, "Une Famille syrienne" parvient à nous faire ressentir la pression psychologique de cette situation sous haute tension où le moindre SMS peut annoncer la mort d'un proche ou la promesse d'un nouveau départ.
Studio Ciné Live
Ce parti pris de huis clos intimiste pour condamner les horreurs de la guerre s'avère payant. Le film joue admirablement avec les sons (de l'extérieur) et le hors-champ.
Transfuge
C'est dans cette logique d'un monde flou, déformé, sans loi et sans intimité possible, qu'"Une famille syrienne" tire avec brio son épingle du jeu.
Télérama
Pour que cette violence s’incarne, il fallait de beaux personnages, déchirés entre la nécessité de fuir — tous ceux qui protestent contre l’afflux de réfugiés politiques en Europe devraient voir ce film — et le besoin de rester. De la mélancolie tendre et funèbre du grand-père, fantôme d’une autre époque, à l’énergie dure de sa belle-fille, tous sont inoubliables de présence et de vérité.
Critikat.com
Dans ce foyer où la quotidienneté a quelque chose d’absurde puisque personne n’est à l’abri, s’engage un drame psychologique aux accents bergmaniens d’une dureté parfois insoutenable.
L'Obs
Certes, le scénario cède parfois à quelques métaphores insistantes, mais la mise en scène qui évite tout pathos et la force d’incarnation des actrices balaient cette réserve.
La Voix du Nord
Huis clos évocateur des conflits destructeurs. Les acteurs, tout comme la mise en scène, font preuve de sobriété.
Le Journal du Dimanche
Récompensé de plusieurs prix au festival d’Angoulême, ce drame quasiment à huis clos installe immédiatement une atmosphère oppressante.
Le Monde
Philippe Van Leeuw conduit son récit avec beaucoup d’habileté. Il s’agit de ne pas ciller devant l’horreur des situations sans pour autant rendre le spectacle insupportable.
Première
Préférant montrer les émotions que les charniers ou les immeubles éventrés par les missiles, Philippe Van Leeuw livre là un film poignant, quoiqu’un peu austère, sur l’atroce banalité de la guerre. Et semble nous poser cette question simple mais cruciale : pourrions-nous supporter une telle vie ?
Libération
Tout celà appartient bel et bien à la réalité du conflit syrien, dont Van Leeuw ne retient que ce qui nourrit sa dramaturgie, on ne le conteste pas - mais filmé comme ça, dans cet ordre-là ?