Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Mathieu Kassovitz a le don de jouer les héros ordinaires, de leur conférer une puissance mentale, de transformer la zone trouble dans laquelle évoluent ses personnages en espace de fantasmes romanesques pour le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Le film atteint des sommets de précision et d’émotion quand il en vient au sujet de la transmission.
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
C'est curieux comme le cinéma aime la boxe. C'est encore plus curieux comme nous, spectateurs, aimons les films de boxe. Peut-être parce qu'ils sont toujours de quelque chose d'autre que de boxe. Les hématomes, les nez pétés, les arcades sourcilières pissant le sang sont des blessures infligées par une violence d'au-delà du ring. Bien sûr, sociale.
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Profond, touchant, émouvant, intelligent, "Sparring" fait partie de ces petits films avec de grandes ambitions et le talent suffisant pour atteindre la plupart d'entre elles. Un film très troublant et beau, qu'il faut impérativement aller voir.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Mathieu Kassovitz nous met KO dans ce film épatant, bien plus qu'un nouveau film de genre.
L'Express
par Christophe Carrière
Sur le sujet, la boxe, on croyait avoir tout vu, et souvent des chefs-d'oeuvre [...], "Sparring" prouve que non.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Dans l'emploi du sac de frappe, Mathieu Kassovitz, cet anti-Rocky, donne des frissons. Il a la tête cabossée, le corps tatoué et le cœur en capilotade.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film qui, tant socialement qu’humainement, touche juste. Et dont on sort ébranlé.
Le Journal du Dimanche
par D.B.
Les scènes de combat, filmées au plus près, et la tendresse des séquences familiales dessinent un portrait intime en même temps qu’un hommage sincère à une confrérie.
Le Parisien
par Catherine Balle
Mathieu Kassovitz est formidable de justesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Malgré une intrigue plutôt mince, la valeur du film tient dans la sincérité de son héros, parfaitement interprété par Mathieu Kassovitz.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
(...) dans sa déroutante - peut-être naïve - tentative d’évasion hors du pur cliché, il n’y a que de bonnes pistes, tout un tâtonnement qui fait bien de s’afficher comme tel à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par N.V.E
Brute de décoffrage, l'acteur boxeur s'y montre brillant, tout en tension. Vite, le prochain round !
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un K.O. émotionnel.
Transfuge
par Sidy Sakho
Une leçon toute simple, presque humble, loin d’une épopée grandiose du ring.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Pour son premier round derrière la caméra, le comédien Samuel Jouy ("Ainsi soient-ils") nous met une sacrée claque avec ce bouleversant portrait d'un sans-grade de l'art pugilistique, qui emprunte davantage à Ken Loach qu'à "Rocky".
Télérama
par Guillemette Odicino
Et puis il y a Mathieu Kassovitz : sa manière, magnifique, d’être un peu las, mais totalement présent, avec un corps où cohabitent ténacité rageuse et douceur presque enfantine. Sur le ring, Samuel Jouy s’accroche à ses muscles. Ailleurs, il ne loupe aucun de ses regards.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Un drame hypersensible, parfois cruel, souvent poignant, qui plus est excellemment réalisé, dont les scènes sportives dégagent une rare authenticité.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
La tendresse et la pudeur d’une relation père/fille au cœur d’un monde de brutes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Dans un genre déjà usé au cinéma – le film de boxe – dominé par des monuments comme Gentleman Jim (1942) ou Raging Bull (1980), il n’était pas facile de se frayer un chemin. Avec Sparring, Samuel Jouy, dont c’est le premier long-métrage s’en sort avec les honneurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Sparring, malgré ses défauts, est beau dans sa manière de filmer un homme courageux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Dans la peau d’un boxeur, l’acteur insuffle force et grandeur tragique.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Comme dans les Rocky, Jouy décrit avec talent le quart-monde du noble art et la cruauté de ce milieu ultraconcurrentiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Vincent Thabourey
Mathieu Kassovitz excelle. (...) Dommage que sa prestation soit entravée par une mise en scène parfois maladroite et une bande-son pour le moins envahissante.
Première
par Christophe Narbonne
Un touchant premier film.
Critikat.com
par Thomas Choury
"Sparring" ne peut alors jamais être vraiment autre chose qu’un one-man-show cabotin dans un cocon cinématographique bien trop conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
Mathieu Kassovitz a le don de jouer les héros ordinaires, de leur conférer une puissance mentale, de transformer la zone trouble dans laquelle évoluent ses personnages en espace de fantasmes romanesques pour le spectateur.
CNews
Le film atteint des sommets de précision et d’émotion quand il en vient au sujet de la transmission.
Charlie Hebdo
C'est curieux comme le cinéma aime la boxe. C'est encore plus curieux comme nous, spectateurs, aimons les films de boxe. Peut-être parce qu'ils sont toujours de quelque chose d'autre que de boxe. Les hématomes, les nez pétés, les arcades sourcilières pissant le sang sont des blessures infligées par une violence d'au-delà du ring. Bien sûr, sociale.
Ecran Large
Profond, touchant, émouvant, intelligent, "Sparring" fait partie de ces petits films avec de grandes ambitions et le talent suffisant pour atteindre la plupart d'entre elles. Un film très troublant et beau, qu'il faut impérativement aller voir.
Femme Actuelle
Mathieu Kassovitz nous met KO dans ce film épatant, bien plus qu'un nouveau film de genre.
L'Express
Sur le sujet, la boxe, on croyait avoir tout vu, et souvent des chefs-d'oeuvre [...], "Sparring" prouve que non.
L'Obs
Dans l'emploi du sac de frappe, Mathieu Kassovitz, cet anti-Rocky, donne des frissons. Il a la tête cabossée, le corps tatoué et le cœur en capilotade.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui, tant socialement qu’humainement, touche juste. Et dont on sort ébranlé.
Le Journal du Dimanche
Les scènes de combat, filmées au plus près, et la tendresse des séquences familiales dessinent un portrait intime en même temps qu’un hommage sincère à une confrérie.
Le Parisien
Mathieu Kassovitz est formidable de justesse.
Les Fiches du Cinéma
Malgré une intrigue plutôt mince, la valeur du film tient dans la sincérité de son héros, parfaitement interprété par Mathieu Kassovitz.
Libération
(...) dans sa déroutante - peut-être naïve - tentative d’évasion hors du pur cliché, il n’y a que de bonnes pistes, tout un tâtonnement qui fait bien de s’afficher comme tel à l’écran.
Marianne
Brute de décoffrage, l'acteur boxeur s'y montre brillant, tout en tension. Vite, le prochain round !
Studio Ciné Live
Un K.O. émotionnel.
Transfuge
Une leçon toute simple, presque humble, loin d’une épopée grandiose du ring.
Télé 7 Jours
Pour son premier round derrière la caméra, le comédien Samuel Jouy ("Ainsi soient-ils") nous met une sacrée claque avec ce bouleversant portrait d'un sans-grade de l'art pugilistique, qui emprunte davantage à Ken Loach qu'à "Rocky".
Télérama
Et puis il y a Mathieu Kassovitz : sa manière, magnifique, d’être un peu las, mais totalement présent, avec un corps où cohabitent ténacité rageuse et douceur presque enfantine. Sur le ring, Samuel Jouy s’accroche à ses muscles. Ailleurs, il ne loupe aucun de ses regards.
VSD
Un drame hypersensible, parfois cruel, souvent poignant, qui plus est excellemment réalisé, dont les scènes sportives dégagent une rare authenticité.
aVoir-aLire.com
La tendresse et la pudeur d’une relation père/fille au cœur d’un monde de brutes.
La Croix
Dans un genre déjà usé au cinéma – le film de boxe – dominé par des monuments comme Gentleman Jim (1942) ou Raging Bull (1980), il n’était pas facile de se frayer un chemin. Avec Sparring, Samuel Jouy, dont c’est le premier long-métrage s’en sort avec les honneurs.
Le Figaro
Sparring, malgré ses défauts, est beau dans sa manière de filmer un homme courageux.
Le Monde
Dans la peau d’un boxeur, l’acteur insuffle force et grandeur tragique.
Les Inrockuptibles
Comme dans les Rocky, Jouy décrit avec talent le quart-monde du noble art et la cruauté de ce milieu ultraconcurrentiel.
Positif
Mathieu Kassovitz excelle. (...) Dommage que sa prestation soit entravée par une mise en scène parfois maladroite et une bande-son pour le moins envahissante.
Première
Un touchant premier film.
Critikat.com
"Sparring" ne peut alors jamais être vraiment autre chose qu’un one-man-show cabotin dans un cocon cinématographique bien trop conventionnel.