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Kubrock68
35 abonnés
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3,5
Publiée le 18 décembre 2020
IP Man part aux Etats-Unis pour trouver une école pour son fils. C'est l'occasion de raconter l'installation de Bruce Lee à san Francisco et l'hostilité des maîtres de Kung Fu locaux. Plusieurs combats évidemment sont à noter, l'histoire reste au niveau du brouillon. On ne s'ennuie pas, les amateurs apprécieront, les autres passeront leur chemin. Pour fans du Kung Fu ou de Bruce Lee.
Quelle tristesse de voir la quadrilogie Ip Man se finir sur un tel opus. Alors oui, on retrouve un Donnie Yen campant un Ip Man bienveillant et pétris de confucianisme. On appréciera aussi la continuité narrative qui place Ip Man devant ses préoccupations familiales. C’est avec son fils cette fois, c’est subtilement mené, et ça épaissit davantage le personnage. Les combats restent dynamiques et bien chorégraphiés. Mais on regrettera la violence qu’ils mettent en scène. Ce n’est pas tant la dureté des coups, ni la gravité des blessures qui posent problème, mais la violence verbale matinée de relents racistes qui redouble la violence des coups. Et tout le problème du film est là: derrière le chant du cygne du héros, plein de délicatesse et de subtilité, nous est asséné un flot d’injures racistes (vraiment, si je les écris ici, je serai censuré) qui sert, on le comprend dans les dialogues de fin, un message propagandiste chinois: les États-Unis sont un pays raciste qui s’est construit sur le dos des damnés Chinois et qui ne leur montre aucune reconnaissance. Un pays « suprémaciste » (c’est dit ainsi dans le film) dont la terreur va prendre fin grâce à ce héros (Ip Man), métonymie de la Chine, qui va « botter les fesses [des Américains] ». Et ce n’est d’ailleurs qu’à l’aune de ce racisme que les Chinois, de prime abord divisés (Bruce Lee est rejeté par sa communauté, comme dans le film DRAGON), retrouvent une complète unité. Cette division entre les Chinois traditionnels (Chine continentale) et les Chinois occidentalisés incarnés par Bruce Lee et la fille du maître (et qui symbolisent Hong Kong) finit par laisser place à une unité retrouvée derrière la figure mythique du héros (on ne sait plus si c’est Ip Man ou Mao Tze Tung). Était-ce le lieu de livrer un tel message? À l’heure où l’actualité croit déceler les prémisses d’une seconde guerre froide, entre Chine et USA, Ip Man 4 se fait l’écho d’un message propagandiste anti-Américains. On aura, avec Ip Man 4, même pas le droit à une pause vis-à-vis de l’actualité. Dommage!
c'est un film de genre qui fonctionne bien, on prend un vrai plaisir à suivre la vie du maitre, le jeu des acteurs est un peu simpliste mais cela ne surjoue pas comme trop souvent dans les films d'arts martiaux. Ce qui manque dans cette grande saga c'est que le personnage de IP Man manque d’aspérité, c'est un peu trop l'homme parfait.
J'ai passé un super moment. Le film.est bien construit et les scènes s enchaine. Un petit rappel a Bruce lee avec une scène copie conforme du film.avec Bruce lee. Jai suis retombé en enfance quelques minuites !
Il faut regarder le les 3 films précédents, la culture asiatique, le respect, le partage et l entre aide. Je recommande.
Très bon dernier film de la série IpMan. Ce n'est pas une clôture magistrale.. Seulement elle est une bonne clôture. Les combats sont dynamiques comme toujours ! Les justifications certes répétitives, mais on se bat pour un monde meilleur spoiler: et ce même si la maladie gagne du terrain . Ip est un homme fascinant et si son savoir-être est représenté dans les films comme il a pu être dans la vie.. Alors c'est l'homme que chacun devrait être !
J'ai toujours l'appréhension des nouveaux films qui s'appuient sur le succès des premiers. Pour commencer, quel plaisir de retrouver notre cher Donnie Yen au travers un nouvel opus de Ip Man qui conserve son même charisme à la fois persuasif et rassurant ! La trame du film n'est pas tiré par les cheveux, on change juste le scénario, de lieux, on intègre de nouveaux personnages et on suit au mieux l'histoire de notre cher Maître. Rien de palpitant à ce niveau là, mais j'ai eu vraiment le sentiment d'être encore plus proche des personnages. La période exposée dans le film nous immerge encore davantage dans son intimité et c'est relativement efficace. Les apparitions de Bruce Lee dans le film sont correctement dosées et pertinentes, notamment sur le jeu d'acteur qui m'a fait relativement plaisir. Le réalisateur a su le mettre en avant sans qu'il ne prenne trop de place, ne nous écartant pas de l'histoire racontée et des personnages clés du film. Les films Ip Man apportent une certaine morale, qui va au-delà des combats et des échanges musclés. Ce nouvel épisode n'en manque absolument pas. J'avais peur du remake, mais non, malgré un début un peu long en introduction, j'ai été captivé tout le long. J'ai frissonné et par moment été entraîné par les émotions. Je recommande fortement, pour tout ceux qui ont aimé les premiers opus et qui souhaitent passer un agréable moment au cinéma.
Donnie Yen toujours aussi impassible est cette fois-ci de passage en Californie . Comme dans le 1er, je trouve caricatural le fait que les chinois soient montés subissant le racisme et le vexations des Américains qui sont présentés foncièrement méchants....spoiler: Les petits passages avec Bruce Lee sont bien venus ..
le moins bon des quatres. le scénario est bourré de clichés racistes et d'incohérences. La "trame" de l'histoire liée à l'immigration est non seule incohérente mais en plus reste dans réponse. Bref, distrayant mais sans plus.
Très belle sortie pour maître Ip man , il affronte en plus le puissant Scott Adkins , les combats sont toujours d'une magnificence absolue, les séquences emotions sont très touchantes , un pincement au coeur pour ce dernier opus , une saga inoubliable !!
Je n'ai vu que le troisième volet avant celui-ci et je dois dire que j'ai préféré celui-ci. J'ai trouvé les dialogues moins mauvais dans cet opus que dans le précédent. Le scénario par contre est mal maîtrisé ici encore. Il y a toute une trame sur l'immigration qui sert de prétexte pour avoir le fight final qui, une fois cette tâche réalisée, n'est pas conclue. Ce qui est vraiment dommage. Niveau combat, plus de duels et moins de combat à plusieurs mais ça ne m'a pas dérangé car ça permet de mieux mettre en avant certains personnages. J'ai aussi beaucoup aimé de voir enfin Bruce Lee se battre, tout en ne prenant pas la vedette à son mentor. J'ai passé un très bon moment et c'était une belle occasion de retourner au ciné.
Retour dans les salles obscures depuis début Mars. Pour marquer le coup, j'ai voulu miser sur le spectacle...
Voir le 4eme volet d'une saga que l'on connait que de nom et de réputation, c'est risqué. Scott Adkins, rendu célèbre pour son rôle de Yuri Boyka et qui est, à mes yeux, l'une des dernières stars occidentales de films d'actions (avec son compatriote britannique Jason Statham), promettait un affrontement au sommet face au charismatique Donnie Yen.
Le résultat est probant grâce à la maîtrise technique des plans et du montage sur des chorégraphies parfaitement exécutées, d'une lecture limpide.
Le cinéma asiatique (exception pour les Sud-Coréens) est généralement manichéen, caricatural à souhait, et bizarrement, c'est ce qui en fait son charme. Les méchants sont tellement méchants que ça en devient jouissif quand ils se font démolir par le héros.
Dans "Ip Man 4", il y'a une intensité qui électrise, rappelant celle de l'excellent "La fureur de Vaincre" avec Bruce Lee (Ce dernier est d'ailleurs présent sous les traits de Danny Chan) sur fond de rivalité Chine/Japon à travers le prisme des arts martiaux Wing Chun vs Karaté.
La majeure partie du film se déroule à San Francisco et son emblématique quartier de Chinatown. Le racisme vécu par la communauté chinoise représente le fil rouge du récit, apportant un peu d'épaisseur et d'émotions entre les séquences d'actions. Ce Ip Man 4 est un petit bijoux cinématographique savoureux qui m'a replongé dans le cinéma d'action asiatique des années 70/80.
J'y retourne demain avec mon papa. Une façon de le remercier de m'avoir fait découvrir, enfant, ce cinéma atypique (vive les VHS estampillées René Château diffusion) représenté par les stars : Bruce Lee et Jacky Chan.
quant la caricature de l'antiraciste tourne au racisme . tous les personnages blancs sans exception dans ce film sont racistes , les quelques autres restants étant soit vénales , malhonnêtes ou corrompus , les personnages noirs eux étant idiots ou soumis . je n'ose imaginé le tollé que ferait un tel scénario en inversant les origines ethniques des acteurs ainsi que les valeurs humaines aujourd'hui . dès lors , n'ayant pas de tendances masochistes , il met difficile d'apprécier ce film de propagande .1 étoile pour les scènes de combat .une triste fin pour la série. Quant je pense que le chef-d'œuvre "Autant en emporte le vent" datant de 1939 est lui censuré pour le mème motif sans prendre en compte le contexte historique...
de mémoire , c'est le film le plus raciste qu'il m'ait été donner de voir depuis longtemps et cela passe crème apparemment . tous les personnages blancs sans exception dans ce film sont racistes , les quelques autres restants étant soit vénales , malhonnêtes ou corrompus. je n'ose imaginé le tollé que ferait un tel scénario en inversant les origines ethniques des acteurs ainsi que les valeurs humaines . dès lors , n'ayant pas de tendances masochistes , il met difficile d'apprécier ce film de propagande . Quant je pense que le chef-d'œuvre "Autant en emporte le vent" de 1939 est lui censuré pour le mème motif ...