Pour les amateurs du genre, un pur moment de bonheur. Complètement plongé dans l'ambiance loin du chaos qui nous entour. L'acteur principal est charismatique et attachant, les scènes de combat excellentes même si on y retrouve du "Tigre et dragons" lol. J'aurai jamais cru lâcher une larme dans ce genre de film... Bref top.
Les mechants Américains affrontent les gentils Chinois. Affligeant, caracitural, manichéen. Donny Yen assure son rôle, Scott Askins est mal exploité dans les scènes de combat. C'est un nanar sympa. Tres loin des qualités du premier et du second.
Dernier film de la quadrilogie, celui-ci est le moins intéressant que ce soit pour les combats ou l'histoire. On sent que le fil est un peu à bout de souffle. On retrouve à présent Ip Man malade, qui partira aux Etats-Unis pour tenter apaiser des tensions après des différents racistes entre les forces armées locales et une école d'arts martiaux chinois à San Francisco à la demande de Bruce Lee. Une conclusion à la saga mais qui paraître un peu fade comparé aux 3 premiers films. Bref : 4 films pour probablement le plus grand maître d'arts martiaux de tout les temps !
Un divertissement bienvenu et qui trouve largement sa place parmi les films diffusés habituellement sur grand écran. On aime regarder ce Maître Chinois de Wing Chun fracasser avec élégance ses opposants racistes et bornés (qui ne respectent pas les différences : couleurs de peau, culture, religions...). La maitrise de la discipline par Donnie Yen est époustouflante tout comme les autres acteurs qui font briller ce cortège d’Art que sont les arts martiaux. Le décor du quartier chinois, des lieux de vie et de combat joliment caricaturé et lumineux sont fabuleux. La conclusion de la saga est poignante mais juste et attendue. On ressort de ce spectacle béat, l’esprit comblé de magie espérant avoir l’occasion d’en découvrir promptement un nouvel opus aussi sensationnel.
Quand on est habitué aux films et séries "made in Occident", voire gavé ou abruti, on peut ressentir un malaise avec ce film bien chinois, hongkongais pour être précis, à cause de la façon de jouer tellement "made in China". Mais on finit par faire confiance et pas que. Parce que c’est une biographie d’un maître kung-fu (de Wing Chun plus exactement), le sieur Yip Man (1893-1972), entre autres professeur de Bruce Lee (légèrement plus connu et devenu une authentique légende). Parce que ça déboulonne un peu le karaté japonais. Parce que c’est également un réquisitoire contre les suprématistes américains (aussi navrants il y a cinquante ans qu’aujourd’hui). Mais surtout et avant tout parce que c’est une chorégraphie d’action originale et exceptionnelle. De toute façon, ça illustre aussi le fait que l’art martial est là, et doit être là, lorsque la justice ne l’est plus ––on peut dire que c’est un des messages du film s’il faut en trouver. C’est à voir. A.G.
tres decu histoire sans interet pas de scenario que l'injustice, en revanche le sosie de bruce lee rien a dire je ne connaissais pas l'histoire mais je trouve que les combats sont loin d'etre ceux des autres film tigre et dragon dommage
Les films hong-kongais et chinois ont souvent du mal à entrer dans les salles européennes, mais il a su trouver son public à travers le monde. Les films arts martiaux ont longtemps été une attraction touristique pour adolescents et amateurs de cascades vertigineuses. Depuis, la coordination et la maîtrise du cadre ont permis d’élever le niveau de cet art. Wilson Yip a lancé une saga avec du panache et cette douceur culturelle qui n’a rien à envier aux blockbusters d’Hollywood. Cette fraîcheur s’est un peu dissipée, au fur et à mesure que le personnage clé a vu la caractérisation renouveler, par nostalgie et par respect pour un emblème de la Chine. Les récits continuent d’explorer les thèmes sur l’opposition et l’émancipation d’une nation qui campe sur ses traditions, temple de leur richesse. Avec ce volet inattendu et une conclusion annoncée, il y a un enjeu émotionnel important à ne pas manquer.
C’est ironiquement dans le conflit qu’on trouvera la rédemption souhaitée pour un personnage fort, mais qui également su évoluer avec des cicatrices visibles. Une famille déconstruite amène évidemment à une réconciliation, idéalement en tout cas. Mais le facteur du Wing Chun relance une problématique initiale, car elle représente à la fois ce qui lie un père et son fils et ce qui les éloigne. Et malgré une envie de retourner aux sources se confirme, car après avoir résisté à l’invasion japonaise, à la colonisation britannique et à la loi des rues, le film ne cache pas son ambition douteuse, celle de présenter de nouveau la suprématie américaine. Ce postulat peut donner lieu à des débats plus subtils, mais les poings prennent trop souvent le dessus. La philosophie du combat perd donc en crédibilité et cela depuis les deux premiers opus, car il ne s’agit plus seulement de se battre pour le respect du kung-fu. Le phénomène en devient presque une attraction, à l’image d’un Bruce Lee (Danny Kwok-Kwan Chan) qui a su marier la noblesse de la pratique à des fins plus épicées. Dans cet hommage, le film démontre certainement que le mystique a probablement disparu, mais que l’héritage persiste sous une forme plus offensive.
Oui, nous sommes dans le contrepied parfait, mais logique d’un parcours héroïque. La vieillesse saisit également chaque instant où Ip Man s’avance, non pas avec hésitation, mais avec une fragilité dont on ne pouvait soupçonnait dans le passé. Cela se ressent dans l’ensemble d’une œuvre désorienté et qui en oublie ses propres enjeux. Les combats d’abord, les explications fébriles ensuite. Le caractère bon marché ne manque pas de traverser l’esprit et c’est regrettable de le constater, malgré les quelques bonnes idées de départ, qui n’aboutira jamais dans le bon sens. L’immigration de la culture chinoise est un sujet qui mérite plus de discernement, mais au lieu de cela, un bref discours d’encouragement semble vouloir porter tout le poids d’une injustice et ce n’est clairement pas suffisant. Beaucoup trop de questions restent sans réponse, car la parité ne rend pas le film crédible non plus. Le casting asiatique domine effectivement l’écran, mais au service d’un banal récit.
On ne peut blâmer cette motivation qui enrobe chaque épisode de la vie de « Ip Man » à voir le sacraliser, mais il manque tant de nuances afin que l’on puisse atteindre la profondeur émotionnelle souhaitée. Cet épilogue devrait constituer l’arc narratif le plus fort en termes d’apparence, mais le peu de sensibilité que l’on gagne n’est pas non plus en phase avec une mise en scène passive. Ce clap de fin aura néanmoins permis d’évaluer un choc de cultures, encore persistant de nos jours. Mais pour une meilleure démonstration, il faudra revenir sur quelques pas en arrière, là où le maître a laissé sa flamme pour le combat et son amour pour sa famille.
Le pire, est de loin, des Ip man. Ce scénario part dans tous les sens. Ça ressemble à "Martine aux Amériques". Les très méchants blancs contre la communauté chinoise frileuse, eux même contre Ip man sans trop savoir pourquoi, pourtant homme de bien qui ne pense qu'a l'avenir de son fils, mal dans sa peau. En plus de tout ça, se mêle l'histoire d'une adolescente qui.... et blablabla .... arf.
Je n'ai pas du tout aimé ce film parce qu'il a un scénario affligeant, que même un enfant de 7 ans n'oserait pas pondre, parce qu'il a un scénario nul, parce que l'histoire n'a aucun intérêt, est un brin raciste, parce qu'on connait la fin dès le début, parce que les acteurs jouent comme des pieds, parce que strictement rien dans ce film n'a le moindre intérêt à part quelques pirouettes chorégraphiques qui n'intéresseront que les spécialistes.
Normalement, un adulte ne peut pas aller au bout d'un scénario aussi affligeant sans s'endormir, exploser de rire, de pitié, allumer son téléphone et lancer un jeu vidéo, aller aux toilettes, demander le remboursement du billet, .
Insupportable de premier degré, on s'attend à une parodie de série B des années 60-70, mais rien ne vient, c'est scolaire, bas du front, un empilement de clichés sans distance et sans humour. Je suis sorti avec la nausée. Bon, les chorégraphies sont regardables.
"Ip Man 4: le dernier combat" est le quatrième volet de la saga des "Ip Man". Un film avec un scénario plutôt sympa, les acteurs sont convainquant et les scènes d'action sont excellents. J'ai trouvé qui y avait un peu de longueurs à certain moment du film.