Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Parce qu’il apporte une conclusion épique et techniquement aboutie à une des plus spectaculaires et attachantes sagas martiales de ces dernières décennies, "Ip Man 4 : Le Dernier Combat" est appelé à rester comme l’un des grands spectacles de 2020, à ne rater sous aucun prétexte.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
20 Minutes
par Caroline Vié
Les combats chorégraphiés par Yuen Woo-ping, connu pour avoir orchestré ceux du diptyque Kill Bill(2004) de Quentin Tarantino et de Tigre et Dragon (2001) de Ang Lee, sont sublimes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Frédéric Ambroisine
Wilson Yip conclut sa saga martiale de façon spectaculaire et émouvante.
Le Parisien
par Michel Valentin
Danny Chan, qui a déjà interprété celui qui a révélé les films d'arts martiaux aux Occidentaux dans la série « La Légende de Bruce Lee », livre une prestation flamboyante lors d'un combat d'anthologie, mimiques du visage et cris inclus.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Marc Godin
Comme dans le troisième volet, c'est Yuen Woo-ping qui cisèle les séquences de baston, de vrais moments de grâce où Donnie Yen fracasse des méchants Américains – tous forcément racistes et bas du front – et prouve, avec un kung-fu très beau et très pur, qu'il est toujours le roi du genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Dernier volet d'une superbe saga d'arts martiaux commencée en 2010, "Ip Man 4" est magnifiquement chorégraphié, historiquement passionnant, et ne souffre que d'avoir opposé, au jeu sobre de Donnie Yen, celui, caricaturalement lourdaud, de Scott Adkins.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par François Cau
Cette ouverture inattendue dans un paysage cinématographique désormais marqué par le repli sur soi, ainsi que le coeur mis à l'ouvrage devant et derrière la caméra, parviennent à faire miraculeusement oublier que ce patron de film est usé jusqu'à la corde.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
La partie martiale est assez simpliste, avec ses méchants caricaturaux et ses combats assez sages, quoique bien mis en scène. La partie filiation est assez touchante : Ip Man évolue avec des adolescents cherchant leur place dans un monde en perpétuelle évolution.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Au-delà des considérations politiques (mais peut-on vraiment ignorer une manipulation aussi évidente), "Ip Man 4" vaut pour le spectacle, encore faut-il le passer au tamis de son discours réducteur et simpliste.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Les chorégraphies des combats sont merveilleuses, et le côté sérieux (respect, code de l’honneur, cancer), un peu lourdaud. Les fans vont adorer. Les autres…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Au programme : combats virtuoses, et très intéressant point de vue asiatique sur une Amérique des années 60 rongée par le racisme.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Un film dont les forces ne sont pas forcément là où on les attend.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Théo Rampazzo
Si les multiples intrigues sont surtout prétexte à la bagarre, Ip Man demeure un bon divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Même s'il y a une dimension anti-raciste, c'est quand même de la grosse série B avec un scénario construit autour de très méchants finalement punis ! Mais grâce à la chorégraphie des combats, ça peut être un moment de détente signé Wilson Yip.
Paris Match
par Yannick Vely
Un héros très gentil confronté à des méchants très méchants, des enjeux familiaux propices à de grands sentiments (patriotiques) et bien sûr des combats magnifiquement chorégraphiés tous les quarts d'heure. Le charisme de Donnie Yen fait le reste et si le scénario est cousu de fil blanc, Ip Man tire sa révérence avec une élégance féline.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Hubert Niogret
[La chorégraphie] est brillamment mise au point par Yuen Woo-ping, un des meilleurs techniciens pour représenter le kung-fu. Passé les combats, la partie biographique [...] est assez conventionnelle dans sa conception comme dans son filmage.
Première
par Christophe Narbonne
La saga Ip Man se termine en beauté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Maryline Alligier
Malgré quelques stéréotypes, les combats à couper le souffle et le récit émouvant de cet opus en font une belle réussite.
Télérama
par Nicolas Didier
Même si le film manque de subtilité — il s’apparente au cinéma de propagande chinois, comme La Fureur de vaincre (1972), où Bruce Lee affrontait des Japonais —, il a le mérite de pointer les discriminations dont sont victimes, encore aujourd’hui, les Sino-Américains.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A. V.
Un final sans grande surprise scénaristique, mais animé par de bonnes intentions et des combats spectaculaires.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Avec ses chorégraphies soignées et son scénario manichéen, le dernier combat du maître applique la recette éprouvée des précédents opus.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film retrouve dans sa naïveté de bande dessinée une forme de candeur qui en limite la violence. Reste le plaisir d’admirer Donnie Yen, combattant paisible et invincible, et les combats chorégraphiés par le fabuleux Yuen Wooping.
Ecran Large
Parce qu’il apporte une conclusion épique et techniquement aboutie à une des plus spectaculaires et attachantes sagas martiales de ces dernières décennies, "Ip Man 4 : Le Dernier Combat" est appelé à rester comme l’un des grands spectacles de 2020, à ne rater sous aucun prétexte.
20 Minutes
Les combats chorégraphiés par Yuen Woo-ping, connu pour avoir orchestré ceux du diptyque Kill Bill(2004) de Quentin Tarantino et de Tigre et Dragon (2001) de Ang Lee, sont sublimes.
CinemaTeaser
Wilson Yip conclut sa saga martiale de façon spectaculaire et émouvante.
Le Parisien
Danny Chan, qui a déjà interprété celui qui a révélé les films d'arts martiaux aux Occidentaux dans la série « La Légende de Bruce Lee », livre une prestation flamboyante lors d'un combat d'anthologie, mimiques du visage et cris inclus.
Le Point
Comme dans le troisième volet, c'est Yuen Woo-ping qui cisèle les séquences de baston, de vrais moments de grâce où Donnie Yen fracasse des méchants Américains – tous forcément racistes et bas du front – et prouve, avec un kung-fu très beau et très pur, qu'il est toujours le roi du genre.
Les Fiches du Cinéma
Dernier volet d'une superbe saga d'arts martiaux commencée en 2010, "Ip Man 4" est magnifiquement chorégraphié, historiquement passionnant, et ne souffre que d'avoir opposé, au jeu sobre de Donnie Yen, celui, caricaturalement lourdaud, de Scott Adkins.
Mad Movies
Cette ouverture inattendue dans un paysage cinématographique désormais marqué par le repli sur soi, ainsi que le coeur mis à l'ouvrage devant et derrière la caméra, parviennent à faire miraculeusement oublier que ce patron de film est usé jusqu'à la corde.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La partie martiale est assez simpliste, avec ses méchants caricaturaux et ses combats assez sages, quoique bien mis en scène. La partie filiation est assez touchante : Ip Man évolue avec des adolescents cherchant leur place dans un monde en perpétuelle évolution.
Franceinfo Culture
Au-delà des considérations politiques (mais peut-on vraiment ignorer une manipulation aussi évidente), "Ip Man 4" vaut pour le spectacle, encore faut-il le passer au tamis de son discours réducteur et simpliste.
L'Obs
Les chorégraphies des combats sont merveilleuses, et le côté sérieux (respect, code de l’honneur, cancer), un peu lourdaud. Les fans vont adorer. Les autres…
La Voix du Nord
Au programme : combats virtuoses, et très intéressant point de vue asiatique sur une Amérique des années 60 rongée par le racisme.
Le Dauphiné Libéré
Un film dont les forces ne sont pas forcément là où on les attend.
Le Figaro
Si les multiples intrigues sont surtout prétexte à la bagarre, Ip Man demeure un bon divertissement.
Ouest France
Même s'il y a une dimension anti-raciste, c'est quand même de la grosse série B avec un scénario construit autour de très méchants finalement punis ! Mais grâce à la chorégraphie des combats, ça peut être un moment de détente signé Wilson Yip.
Paris Match
Un héros très gentil confronté à des méchants très méchants, des enjeux familiaux propices à de grands sentiments (patriotiques) et bien sûr des combats magnifiquement chorégraphiés tous les quarts d'heure. Le charisme de Donnie Yen fait le reste et si le scénario est cousu de fil blanc, Ip Man tire sa révérence avec une élégance féline.
Positif
[La chorégraphie] est brillamment mise au point par Yuen Woo-ping, un des meilleurs techniciens pour représenter le kung-fu. Passé les combats, la partie biographique [...] est assez conventionnelle dans sa conception comme dans son filmage.
Première
La saga Ip Man se termine en beauté.
Télé Loisirs
Malgré quelques stéréotypes, les combats à couper le souffle et le récit émouvant de cet opus en font une belle réussite.
Télérama
Même si le film manque de subtilité — il s’apparente au cinéma de propagande chinois, comme La Fureur de vaincre (1972), où Bruce Lee affrontait des Japonais —, il a le mérite de pointer les discriminations dont sont victimes, encore aujourd’hui, les Sino-Américains.
Voici
Un final sans grande surprise scénaristique, mais animé par de bonnes intentions et des combats spectaculaires.
Le Journal du Dimanche
Avec ses chorégraphies soignées et son scénario manichéen, le dernier combat du maître applique la recette éprouvée des précédents opus.
Le Monde
Le film retrouve dans sa naïveté de bande dessinée une forme de candeur qui en limite la violence. Reste le plaisir d’admirer Donnie Yen, combattant paisible et invincible, et les combats chorégraphiés par le fabuleux Yuen Wooping.