Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Femme Actuelle
par La rédaction
Un film magnifique et profond sur le prix de la liberté à travers une histoire d'amour poignante.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Sebastian Lelio signe ici un superbe film cérébral et physique.
Bande à part
par Jo Fishley
Sebastian Lelio rend présent le passé aboli d’un amour saphique interdit et retrouvé : c’est ce qui s’appelle rechercher le temps perdu. C’est être proustien.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
"Désobéissance" traite, sans jamais tomber dans le pathos ni le voyeurisme, du deuil, de la dévotion à la religion, de la transgression et de l’homosexualité. Le trio d’acteurs explose par la puissance de son jeu et l’émotion gagne le spectateur, jusqu’à un épilogue libérateur.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un mélo brut et aride qui finit par éclater dans un lyrisme sensuel et sexuel dévastateur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Porté par une Rachel Weisz renversante, "Désobéissance" raconte une histoire d'amour impossible avec une infinie délicatesse mais également une volonté de déniaiser la romance.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une action en pointillés, composée par petites touches, au service d’un propos humaniste qui atteint l’universel.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans ce fil entremêlé de sentiments et de contraintes, la finesse de l’interprétation et la subtilité d'une réalisation qui suggère plus qu’elle n’appuie donnent à ce qui aurait pu n’être que le pathos du mélo la puissance subversive et bouleversante de la passion.
Le Figaro
par La rédaction
Lelio filme ce mélo lesbien sans la crudité d'un Kechiche ("La Vie d'Adèle") ni l'élégance d'un Todd Haynes ("Carol") mais avec toute la finesse psychologique qu'on lui connaît depuis "Gloria".
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Florence Colombani
"Désobéissance" réussit le petit miracle de raconter une histoire d'amour qui a une âme.
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Un drame sentimental d’une grande finesse et profondément bienveillant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
Mis en scène avec épure, ce triangle amoureux chez les juifs orthodoxes est un mélo bouleversant porté par des acteurs sous tension.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
(...) une radiographie minutieuse du droit à la différence face aux traditions, porté par l’intensité du duo Rachez Weisz/Rachel McAdams. Un film impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Olivier De Bruyn
Aussi convaincant dans son scénario (...) que dans sa mise en scène, qui excelle à dépeindre dans des univers clos les conflits et désirs des protagonistes, le film confirme le talent précieux d'un cinéaste plus que jamais à suivre de près.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Un film sensible sur le péché et la rédemption porté par deux grandes actrices.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sebastian Lelio a du mal à conclure, mais réalise une oeuvre forte, assez peu prévisible où les acteurs vibrent dans un registre tout en finesse.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par C.P.
Avec une belle empathie pour ses personnages et une mise en scène délicate, Sébastian Lelio explore à merveille les tourments de l'âme. II est servi par l'interprétation remarquable de ses actrices.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Avec une belle empathie pour ses personnages et une mise en scène délicate, Sebastian Lelio explore à merveille les tourments de l'âme.
Télérama
par Frédéric Strauss
Avec cette distribution des rôles, les chocs sont inévitables, violents. Mais c’est, au contraire, la note feutrée du meilleur cinéma intimiste qui l’emporte dans "Désobéissance".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Pour son premier film en langue anglaise, le réalisateur chilien Sébastian Lelio filme sans ostentation, avec une austérité qui n'interdit jamais la sensualité, des amours transgressives, où se mélangent profane et sacré.
L'Express
par Eric Libiot
Cette "Désobéissance" est trop longue (quasi deux heures, c'est inutile), mais elle réussit à faire naître une empathie certaine sans surdramatiser.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un drame touchant, délicat et lucide.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Servi par deux actrices qui font assaut d’inventivité, le cinéaste mène les personnages au bord de la crise. La façon dont il les y précipite est moins convaincante.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Même si Lelio se sort avec les honneurs de l’exercice de la mise en scène d’un film de commande, "Désobéissance" n’échappe jamais vraiment aux rets trop serrés de son récit, presque en contradiction avec l’appel à la liberté que veut exprimer le récit.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Anouk Féral
Mis en scène avec épure et tension, ce drame psychologique procure tous les frissons du feu sous la glace.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
La bonne tenue relative de ce produit mainstream est gâchée par une fin hésitante et confuse qui s’étire à l’infini, le cinéaste semblant surtout essayer de gagner sur tous les tableaux.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le Chilien Sebastian Lelio (...) perd sa singularité et sa passion avec ce mélo terne sur une relation homosexuelle refoulée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Seul le duo Weisz-McAdams apporte un peu de souffle à cette fiction étriquée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Critikat.com
par Thomas Choury
Lelio exacerbe ici les extrémités contraires de son scénario pour s’adjuger un courage de bon aloi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
Un film magnifique et profond sur le prix de la liberté à travers une histoire d'amour poignante.
Studio Magazine
Sebastian Lelio signe ici un superbe film cérébral et physique.
Bande à part
Sebastian Lelio rend présent le passé aboli d’un amour saphique interdit et retrouvé : c’est ce qui s’appelle rechercher le temps perdu. C’est être proustien.
CNews
"Désobéissance" traite, sans jamais tomber dans le pathos ni le voyeurisme, du deuil, de la dévotion à la religion, de la transgression et de l’homosexualité. Le trio d’acteurs explose par la puissance de son jeu et l’émotion gagne le spectateur, jusqu’à un épilogue libérateur.
CinemaTeaser
Un mélo brut et aride qui finit par éclater dans un lyrisme sensuel et sexuel dévastateur.
Ecran Large
Porté par une Rachel Weisz renversante, "Désobéissance" raconte une histoire d'amour impossible avec une infinie délicatesse mais également une volonté de déniaiser la romance.
Franceinfo Culture
Une action en pointillés, composée par petites touches, au service d’un propos humaniste qui atteint l’universel.
Le Dauphiné Libéré
Dans ce fil entremêlé de sentiments et de contraintes, la finesse de l’interprétation et la subtilité d'une réalisation qui suggère plus qu’elle n’appuie donnent à ce qui aurait pu n’être que le pathos du mélo la puissance subversive et bouleversante de la passion.
Le Figaro
Lelio filme ce mélo lesbien sans la crudité d'un Kechiche ("La Vie d'Adèle") ni l'élégance d'un Todd Haynes ("Carol") mais avec toute la finesse psychologique qu'on lui connaît depuis "Gloria".
Le Point
"Désobéissance" réussit le petit miracle de raconter une histoire d'amour qui a une âme.
Les Fiches du Cinéma
Un drame sentimental d’une grande finesse et profondément bienveillant.
Ouest France
Mis en scène avec épure, ce triangle amoureux chez les juifs orthodoxes est un mélo bouleversant porté par des acteurs sous tension.
Paris Match
(...) une radiographie minutieuse du droit à la différence face aux traditions, porté par l’intensité du duo Rachez Weisz/Rachel McAdams. Un film impressionnant.
Positif
Aussi convaincant dans son scénario (...) que dans sa mise en scène, qui excelle à dépeindre dans des univers clos les conflits et désirs des protagonistes, le film confirme le talent précieux d'un cinéaste plus que jamais à suivre de près.
Rolling Stone
Un film sensible sur le péché et la rédemption porté par deux grandes actrices.
Sud Ouest
Sebastian Lelio a du mal à conclure, mais réalise une oeuvre forte, assez peu prévisible où les acteurs vibrent dans un registre tout en finesse.
Télé 2 semaines
Avec une belle empathie pour ses personnages et une mise en scène délicate, Sébastian Lelio explore à merveille les tourments de l'âme. II est servi par l'interprétation remarquable de ses actrices.
Télé Loisirs
Avec une belle empathie pour ses personnages et une mise en scène délicate, Sebastian Lelio explore à merveille les tourments de l'âme.
Télérama
Avec cette distribution des rôles, les chocs sont inévitables, violents. Mais c’est, au contraire, la note feutrée du meilleur cinéma intimiste qui l’emporte dans "Désobéissance".
Voici
Pour son premier film en langue anglaise, le réalisateur chilien Sébastian Lelio filme sans ostentation, avec une austérité qui n'interdit jamais la sensualité, des amours transgressives, où se mélangent profane et sacré.
L'Express
Cette "Désobéissance" est trop longue (quasi deux heures, c'est inutile), mais elle réussit à faire naître une empathie certaine sans surdramatiser.
Le Journal du Dimanche
Un drame touchant, délicat et lucide.
Le Monde
Servi par deux actrices qui font assaut d’inventivité, le cinéaste mène les personnages au bord de la crise. La façon dont il les y précipite est moins convaincante.
Les Inrockuptibles
Même si Lelio se sort avec les honneurs de l’exercice de la mise en scène d’un film de commande, "Désobéissance" n’échappe jamais vraiment aux rets trop serrés de son récit, presque en contradiction avec l’appel à la liberté que veut exprimer le récit.
Première
Mis en scène avec épure et tension, ce drame psychologique procure tous les frissons du feu sous la glace.
Cahiers du Cinéma
La bonne tenue relative de ce produit mainstream est gâchée par une fin hésitante et confuse qui s’étire à l’infini, le cinéaste semblant surtout essayer de gagner sur tous les tableaux.
L'Humanité
Le Chilien Sebastian Lelio (...) perd sa singularité et sa passion avec ce mélo terne sur une relation homosexuelle refoulée.
L'Obs
Seul le duo Weisz-McAdams apporte un peu de souffle à cette fiction étriquée.
Critikat.com
Lelio exacerbe ici les extrémités contraires de son scénario pour s’adjuger un courage de bon aloi.