Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
saifujiwara
2 abonnés
195 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 22 décembre 2018
Encore une fois assez déçu par ce volet. La saga est vraiment fade d'un bout à l'autre c'est dommage car le potentiel était vraiment là. Le début est plutôt pas mal, mais s'en suit une série de fusillade non stop pendant 30 minutes avec la présence de mercenaires (problématique déjà évoqué dans le 2 je crois) et avec des incohérences dans le scénario et du coup sur la saga dans son ensemble. Ca restera une grosse déception même s'il y a des bonnes choses, surtout dans les décors et la mise en place. Les jump scare et l'ambiance sauvent le film. Attention à la crise d'épilepsie quand ils sont dans l'immeuble à la fin.
Je reste sur ma lancée, je pense que ce concept n'avait sa place qu'en jeu vidéo ou en série de plusieurs saisons.
Le quatrième volet du film « American Nightmare » va se pencher sur les origines de la purge où le temps d’une nuit, les crimes et délits sont autorisés afin de pousser le taux de criminalité habituel en-dessous de 1%. Le film a clairement perdu de son essence et les pseudos théories politiques et démographiques ne sont exposées à la va-vite que pour prétexter une boucherie. Si les suites s’épuisent sans cesse, l’idée d’un préquel est de rebooster la franchise. Ici c’est peine perdue, « American Nightmare 4 : Les Origines » est médiocre et ne vaut même pas la peine d’être vu pour sa casquette film d’horreur. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
un film sur les origines mais qui ne répond pas totalement aux questions. La fin est juste beaucoup trop moyenne. Pas mal de vu et du revu sur le déroulement du scénario. Dommage
On n'arrête pas un filon qui fonctionne si bien... Le premier soucis du film est que ces "origines" sont très caricaturaux, simplistes et primaires dans le sens où l'antagonisme riche/pauvre est ici résumé purement et simplement à la haine raciale noir/blanc. Il y a un concept technologique intéressant genre video live mais qui est sous-exploité et surtout qui ne colle pas à l'évolution de la saga ; en effet si un tel système existe en 2017 il est étonnant et peu plausible qu'il n'y ait pas à minima un système similaire dans les années futures... Site : Selenie
Pour mettre leur première purge en place, les vilains politiciens blancs choisissent une zone pleine de noirs et de latinos (#malin). Las, une fois le gong retenti, ils découvrent avec horreur que tous les noirs sont gentils, remplis d'amour les uns pour les autres et que plutôt que de s'entre-tuer, ils préfèrent faire la fête dans le calme (à part 1 illuminé ou deux). spoiler: Du coup ils envoient des mercenaires blonds aux yeux bleus déguisés avec des tenues du KKK et des uniformes nazis (#subtilité) pour faire le job attendu (un massacre) . Parce que ne l'oublions pas, les blancs sont des ordures, c'est bien connu. Heureusement pour nos amis des minorités, ils sont sauvés (ou vengés pour ceux qui sont morts) par le dealer local, sans doute bien inspiré de préserver sa clientèle en bon état, faut pas pousser non plus. Les blancs se battent comme des incapables, pendant que les noirs au coeur pur virevoltent gracieusement avec machettes et autres kalachnikov (une dans chaque main!)...les femmes donnent des leçons de combat aux hommes et leur expliquent comment tenir un 357 Magnum. Bref ce film est une bouse féministo-gauchiste hollywoodienne, un genre qui pullule actuellement au cinéma, souvent sous des formes plus insidieuses.
Ayant plutôt apprécié les précédents opus, j'ai tenu à voir celui-ci qui prétendait nous révéler les origines. Programme alléchant malheureusement très mal conduit. - le héros est un super-dealer qui s'avère en réalité être une sorte de Robin des Bois du crack qui, après avoir gangréné sa société en vendant ses produits toxiques, décide d'en devenir le protecteur, - les personnages sont peu attachants, - le scénario peu fouillé et navigue entre les précédents épisodes sans grande nouveauté ni explication profonde de cette fameuse "purge", - les scène d'action sont moyennes, ni spectaculaires, ni réalistes.
Mais le vrai problème, c'est le racisme insupportable de ce film. Les bons, les victimes, les humanistes sont de la communauté Afro-américaine et Latino-américaine et les méchants sont les Blancs, généralement de type Anglo-saxons. Tout y passe en matière de cliché : on nous ressort le Klu-Klux-Klan, la mafia Russe, les Néo-Nazis, le gouvernement blanc corrompu et complice de cette purge qui ne vise qu'à masquer un racisme d'état et n'est en réalité qu'une purge des ethnies indésirables. Cette vision n'est pas seulement ridiculement manichéenne et stupide, elle est insultante...
Bon ben, qu'est ce que c'est fadasse. Le premier volet avait un bon scénario qui le rangeait dans la catégorie thriller. Le deuxième avait sacrifié le scénario, mais recherchait un peu d'originalité dans les scènes de purge. Le troisième surfait sur le principe sans rien réinventer; ça commençait sérieusement à tourner à la suffisance. Là, on touche le fond. Le "scénario" (hem...) à oublier, le concept de la purge disparait vite, et on a un blougiboulga de scènes qui se superposent, sans que cela ne me génère aucune émotion ou réaction. Et la succession de caricatures : les gentils pauvres noirs (même les trafiquants sont sympas), les méchants riches blancs, les russes mercenaires, la politique complotiste, la religion refuge... Sans parler des effets numériques d'une nullité affligeante. Bref déçu. La seule chose qui me rassure, c'est que je ne suis pas le seul.
The First Purge est le 4e volet de la saga American Nightmare, et évidemment nous avons le droit à un préquel pour nous expliquer les origines de la purge. L’histoire prend lieu à Staten Island qui sert de zone test à cette invention révolutionnaire censée soulager la population. Les amateurs de tueries gratuites seront satisfaits, cet opus délaisse la tension pour être dans l'action, même si l'introduction est un chouia trop longue. Pour le reste, le propos est un peu léger: on assiste en gros à la lutte entre deux camps, les gentils blacks contre les méchants blancs. Les clichés sont de sortie, avec d'un côté les dealers et de l'autre les nazis. Personnellement je regarde ce genre de film au second degré (voire plus) et je ne l'ai pas trouvé mauvais. Je ne me suis pas ennuyé donc je peut dire que c'était pas mal.
C'est un bon film. Il est différent des précédents, exclusivement centré sur la communauté noire. Sorte de guérilla/guerre de gangs, pas aussi angoissant que les autres films de la quadrilogie. Moins violent/gore aussi. Les effets spéciaux ne sont extraordinaires. J'ai trouvé l'idée excellente de l'expérience, et j'ai aimé le twist final vraiment prenant ! La bande son est top, vraiment cool
Un film qui diffère des précédents, puisque presque calibré comme un blckbuster d'action. Car les scènes de fusillades sont nombreuses et l'action omniprésente dans son dernier volet. Beaucoup de violence et de sang également. Le film envoie clairement un message en direction de la politique de Donald Trump, et l'on ne peut s'empêcher de penser aux USA d'aujourd'hui. Au final, un vrai film de divertissement, moins subversif et subtil que les précédents, notamment au niveau du scénario, mais qui compasse par son rythme et son action frénétique parfois empruntée à la bd ou au jeu vidéo.
Saga qui au final a beaucoup de bagage pour faire un film intéressant mais qui en fait rien et se contente de faire moins même des fois que le minimum syndicale et ce 4ème Film en fait parti. Les origines était la bonne occasion pour donner un aspect psychologique, enjeu social... et c’est au final plus que survolé c’est décevant et rend le tout inintéressant. Même sur l’aspect horreur c’est vide. Un film vraiment pas intéressant et de plus pas divertissant. Encore un scénario de gros feignant et ça en devient gênant
C’est dommage, un concept qui mérite tellement mieux... On s’imagine avoir les origines de la Purge avec des vraies idées morales, mais on se retrouve avec un truc insipide sans vraiment d’interêt. Pourtant, ça démarre bien et ça laisse présager un film divertissant. Au final, on tombe dans un film d’action évident et qui n’apporte pas grand chose à American Nightmare. Au contraire, ce volet dessert totalement la saga...
Sans être exceptionnel, le premier film (The Purge) de James DeMonaco était une petite série B assez originale et efficace pour marquer les esprits, faire un carton au box-office, et devenir une nouvelle franchise (American Nightmare). Les films suivants n’apportaient rien de vraiment nouveau mais n’enlevait rien à la “bonne� idée de départ. Celui-ci prétend revenir aux origines du phénoméne, en mode blaxploitation et mise en ligne des tueries enregistrées par des drones et autres lentilles de contact, et s’avère donc totalement anachronique, inutile et vain.