Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
julien2222
33 abonnés
1 277 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 23 décembre 2018
Bon, déçu. Ça manque de profondeur, de violence et de suspense. Aucune innovation, ni de nouveauté. Le scénario est fade ! Même pas un petit épilogue à la fin ! Bref sans intérêt pour l'histoire, ce film est fait pour engranger l'argent sur le dos de la franchise !
4e opus de cette aventure barbare qu'est "la purge" mais avec, ici, ces origines!! Bon bon il est temps que cela s'arrête car même si en apprend sur le pourquoi du comment, ce film est un prétexte a de l'action de bourrin sans véritable grande idée. Savoir les origines oui ok intéressant mais il y a trop de chose incohérente (la psy qui se fait flinguer ok cela passe..., les caïds qui flinguent des mercenaires surentraîné ok...etc donc voilà connaître les origines est juste un prétexte pour faire un dernier film là dessus. Perso le 1er fut top mais ensuite...piou NOTE: 4/10
Ce quatrième opus de la franchise "American Nightmare" réalisé cette fois par Gerard McMurray et sorti en 2018 n'est vraiment pas terrible ! C'est très dommage et il me déçoit d'ailleurs beaucoup car les trois premiers étant réussis, je m'attendais au même résultat. J'attendais d'autant plus ce film car le sujet m'intéressait beaucoup. Nous sommes effectivement ici avant les trois premiers (et la série que je ne connais pas) et nous assistons à la première purge, plus précisément à la nuit étendue uniquement sur un quartier pour tester cette purge. Bien évidemment, comme pour les trois premiers, nous avons une critique sociale qui est encore plus marquée ici puisque le quartier désigné pour être le lieu de la nuit test est un quartier "qui craint". Du coup, avec tous ces éléments, on ne pouvait s'attendre qu'à quelque chose de bien ! Et puis finalement, plus le film avance, plus on s'enfonce dans une histoire qui n'est pas intéressante et qui n'arrive pas à capter l'attention. Les personnages ne sont en effet pas intéressants, on n'a pas vraiment envie de s'intéresser à eux non plus. Malheureusement, il est assez rare qu'un quatrième opus d'une saga soit aussi bon que les précédents films, voir bon tout court et ici, nous en avons l'exemple parfait. C'est effectivement ici que l'on se rend compte que malgré un sujet intéressant, la saga finit par s’essouffler et tourner en rond, les trois précédents films ayant déjà exploité le filon jusqu'au bout. Je me demande d'ailleurs ce que cela va donner avec le cinquième opus, normalement prévu pour cette année. En ce qui concerne la réalisation, mis à part quelques plans sympas, nous sommes loin des autres opus qui étaient plutôt originaux et très réussis à ce niveau-là. Je n'irais pas non plus jusqu'à dire que c'est mauvais, simplement qu'elle est classique et déjà-vu. En ce qui concerne les acteurs, nous n'en avons honnêtement aucun de marquant, ce qui est peut-être également dû à leur personnage. "American Nightmare 4 : Les Origines" est donc une suite décevante mais surtout une très bonne idée mal exploitée.
Ce quatrième aurait pu apporter un peu de fraicheur à la saga, mais il s'est totalement planté. Tout ou presque y est lourd ou raté : des procédés intéressants se retrouvent massacrés dans des scènes à la limite de la parodie (les jeux de lumière qui clignote dans un couloir sombre avec un héros progressant dans l'obscurité, ici totalement illisible et inutile), l'ensemble des clichés les plus simplets et lourds sont repris dans les grandes largeurs et il n'y a absolument rien d'imprévisible de tout le film. Sans compter le discours de la série, qui nous est rabâché inlassablement, sans aucune zone d'ombre, de mystère, d'ambiguïté ou de surprise. Le genre de film où des héros sans armes traqués dans une cité en proie à l'anarchie prennent le temps de parler de leur ras-le-bol existentiel et de leur appartement insalubre. En bref, ce quatrième opus est loin d'être ne serait-ce que divertissant, comme l'était le premier.
Le moins bon opus de la saga, mais qui captive pour amener la première purge. Bonne idée de réduire le périmètre à un ghetto. Dommage que la genèse du concept n'est pas plus développé. Le film est assez gore (très graphique) sur sa seconde partie. Vivement la suite en série...
Après deux épisodes, pâles copies du premier au scénario pourtant novateur, ce préquel ne donne malheureusement aucun nouveau souffle au concept. Une nouvelle fois, le réalisateur se concentre, juste avant le déclenchement de la nuit de la purge, sur quelques personnages principaux, ici un groupement d’afro-américains, ce qui donne un côté communautariste à ce groupe et frôle la caricature, notamment face aux blancs quasi tous extrémistes ! Encore une fois également, certains protagonistes auront des comportements incohérents voire super risqués lors de cette nuit de violences gratuite. Ainsi, peu de tension, des personnages et actions prévisibles, ainsi qu’une réflexion sociale pauvre, auront vite fait de vous achever avant la fin. Quid alors de la série éponyme ?
La Purge présentée par le NFFA comme une catharsis sociétale n'est-elle pas en fait une manœuvre politique ? Ce quatrième volet tourne au ridicule ! Ce n'est pas intéressant et aucunement empathique ! Sûrement du au fait d'avoir tourné cela en mode riches gouvernants et puissants blancs vs pauvre peuple soumis noir, Ku Klux Klan et autres réjouissances, avec ce brin de victimisation insupportable. Cela se résume à une grosse heure de coups de couteaux, de tirs nourris, d'hémoglobine à profusion dans un brouillard sombre indescriptible. D'autre part, je ne suis pas sûr qu'un préquel eût été nécessaire étant donné qu'on n'apprend rien de nouveau... On savait déjà tout !
“Ceci n'est pas un exercice. Ce message d'alerte annonce le commencement de l'expérience sociologique mené par le NFFA à Staten Island dans l'état de New York. L'usage d'armes de "Classe 4" ou inférieures est autorisé pendant toute la durée de l'expérience. Tous crimes y compris celui d'homicide sera légal durant les 12 heures qui suivront. Bénis soient nos nouveaux pères fondateurs et l'Amérique, une nation ressuscitée. Que Dieu soit avec vous.�
Le moins bon des 5... Quelle dommage ! L'idée du prequel était à prévoir mais mon dieu quel échec ! tout est gâché par son scénario. Incohérence /100. Le problème également du film est que l'idée du film de base s'essoufle au fur et à mesure...
spoiler: Ps : la scène dans l'immeuble à la fin est par contre très bien réalisé !
Hémingway a écrit : "Si on donnait aux gens normaux l'autoristation, pendant 24 heures, de tuer tous les salopards, le monde se porterait mieux". Préquel, expliquant qu'au départ, il s'agit d'éliminer une certaine catégorie de la société pour tester l'idée, le film ne tient pas ses promesses, hormis les acteurs plutôt bons dans l'ensemble. Donc, il y a un début et une fin . On explique le but de La Purge, on comprend qu'on va s'attaquer aux Africains-Américains de l'île. Il y a un mauvais blanc, une scientifique qui se repent (pas de rependre). Ensuite c'est un film d'aventures. Sauf que le héros est une saloperie de dealer avec du sang sur les mains, qui spoiler: peut-être se repent aussi?spoiler: Clichés, quelques scènes d'action presque réussies. L'ayant vu au cinéma, je regrette ma première critique, basée sur une copie, euh, comment dire...
Attention, American Nightmare 4 n’est pas seulement un préquel, mais également une dérive vers le film d’action pur et dur plus que vers l’horreur. On est donc loin de l’ambiance du premier opus (le meilleur à ce jour), mais cela ne veut pas dire pour autant que le résultat soit médiocre. Si le début fait un peu peur avec sa dérive vers la culture black urbaine (je ne suis pas amateur de rap et de ce style), la suite est davantage convaincante grâce à un discours politique affirmé, largement anti-Trump. Le long-métrage ne fait pas pour autant l’apologie de la criminalité et de la drogue comme le laisse craindre le début. En réalité, il réactive et réactualise pour un jeune public la notion de lutte des classes qu’il double d’une lutte pour la reconnaissance des droits des minorités. La fameuse purge est certes une vision excessivement pessimiste de notre société, mais quand on voit l’actualité et l’attitude des « démocraties » vis-à-vis des migrants, on se dit que le monde est mûr pour ce type d’expérience. Le résultat est une œuvre militante qui n’en oublie pas pour autant l’efficacité immédiate. Du bon boulot.
Ce film était vraiment une belle surprise. J’avais adoré le premier, déçu par le second, dépité par le troisième, je m’attendais donc à une catastrophe pour le quatrième. Eh bien on en est bien loin. La construction est bien amenée. Le but de cet opus est de nous présenter la situation précédant la première purge et ce qui a poussé dans cette voie. C’est clair et rentre dans la logique des autres films. Cela crée un tout cohérent. La tension va monter au fur et à mesure que cette redoutable soirée approche. On voit les préparatifs et l’appréhension de chacun. D’ailleurs, dans celui-ci, la psychologie des personnages est beaucoup plus travaillée. Lex Scott Davis, Joivan Wade et sans oublier Y'lan Noël auront une vraie profondeur. Ce dernier est celui que j’ai préféré. Un caïd de la drogue attaché à son quartier et qui ne compte pas se laisser faire. Tout cela donne un récit intéressant, si on aime la saga bien entendu. Par contre, quelle déception quand arrive les moments forts de la purge. Je les trouve plus que banals. J’avais été habitué à mieux. Pour une fois, le soin a tellement été apporté au travail du récit, que le feu de l’action a été délaissé. On rentre dans des massacres assez basiques sans rien d’extraordinaire. Pour une première purge, j’aurais aimé voir plus de déferlements de haines domestiques entre voisins ou des meurtres complètement tordu. Ce qui est censé être le point fort deviendra pour une fois le point faible. Ça n’handicapera cependant pas trop AMERICAN NIGHTMARE 4 car il est très prenant et réussit totalement son objectif. Entre la série qui s’est lancée en Septembre aux USA et le cinquième (dernier) film en préparation, Blumhouse ne lâche pas encore la poule aux œufs d’or.
AMERICAN NIGHTMARE 4: LES ORIGINES (2018): L'idée de départ était pourtant intéressante, choisir une ville teste pour la purge. Mais par la suite… la violence sera bien là, mais les effets de frayeur ne seront pas assez présents, un suspense pas assez soutenu, rien n'étonnera, des personnages pas vraiment attachants (frime… altruisme gnangnan), tout cela dans une haine raciale. Pour moi cet opus sera le moins réussi de la saga.
Après trois numéros échelonnés par thème et par ambiance, « American Nightmare 4 : Les Origines » revient sur l’embryon de cette nuit d’horreur annuelle. Plutôt moyen dans l’organisation des perspectives, ce dernier opus divague et s’inscrit comme celui de trop… Pour les connaisseurs, la théorie d’une purge pour des biens-faits sociaux-économiques s’est progressivement affinée au fil de la série. Cette idée, brièvement évoquée lors du second opus, a pris forme dans le troisième épisode pour aujourd’hui devenir le pilier central dans ce quatrième numéro. C’est dans ce sens que le prémisse est très bien entreprit avec des images d’archives journalistiques, notamment sur des situations de crises. Au regard de quelques clichés ingénieux mal éparpillés, le film s’est fortement inspiré de la cynique série « Black Mirror ». Une paire de lentille de contact connectée permettra à chacun des participants de relayer les images les plus chocs sur les chaînes d’informations continues et sur les réseaux sociaux. Une vision juste et sarcastique quant à l’évolution de notre société. Malheureusement, cet attrait pourtant intéressant, ne sera utilisé qu’un petit quart d’heure dans le film… Là où « American Nightmare » s’est littéralement planté, c’est en liant cette réflexion pseudo-économique et intellectuelle à la complication communautaire des Etats-Unis. Les générations descendantes de l’immigration hispanique ou la population afro-américaine sont donc clairement visées pour subir de plein fouet cette nouvelle forme de violence. Entre autre, Dmitri, LE dealer du ghetto, va se racheter une conscience morale dans la défense des siens. Le métrage entreprend ainsi une banalisation de son passé criminel au profit d’une repentance jugée juste. Ce scénario ultra simpliste illustre de manières grossières des citoyens d’origines étrangères soudés en opposition à d’autres, qui, théoriquement, auraient plus de moyens de se protéger. Ces clichés encourage une haine viscérale du mâle blanc, accusé comme institutionnellement dominant. La couleur de peau et l’origine deviennent explicitement des séparatismes sociaux, économiques et culturels. Quelques milices d’extrême droite et autres tueurs masqués s’imposent. Ce fantasme d’une suprématie à la recherche de la race unique coûte cher à un film qui en devient dérangeant. Le summum du ridicule sera l’apparition d’un tueur grimé en SS allemand des années 1930, laissant croire aux plus crédules qu’une nostalgie du nazisme est encore possible… Fort dommage puisque cette perte d’objectivité annule le degré anticipatif des métrages antérieurs. Un contre-exemple type : Dans « American Nightmare 2 : Anarchy », certaines victimes sont SDF blancs, et un jeune couple de classe moyenne est en traque. Il n’y avait donc pas de règles hiérarchisées, le concept de « purge » détenait un sens insécuritaire où tout le monde était concerné… Alors que la franchise avait successivement séduit ces cinq dernières années, « American Nightmare 4 : Les Origines » déçoit et devient le film le plus inconsistant de la saga. Peut-être est-ce dû au changement de réalisateur, peu importe, l’ensemble tantôt bancal est désormais destiné à une cible victimaire, clairement choisie… Espérons que la série à venir en septembre prochain rattrape ce début de massacre… Bilan : Un fond sans forme… Nous ne savions pas que ce dernier « American Nightmare » s’était fait lui aussi légalement assassiner pendant sa préparation… Toute la critique et bien plus encore sur Cinephilion.net !
Après trois films, la saga semblait finalement avoir été bouclé et l'arrivée d'un nouvel épisode qui allait revenir dans le passé ne me semblait vraiment pas intéressant à voir. Avec "American Nightmare 4 : Les Origines", on ressent clairement l'envie de poncer l'idée à fond pour continuer de surfer sur la bonne popularité de la saga. Mais globalement, malgré mes réticences, je dois avouer que j'ai apprécié ce quatrième volet. Et j'ai été assez surpris de voir les avis sur de celui-ci, qui est clairement considéré comme un film raciste. Ce que je ne comprends pas. Nous sommes arrivés à une période de la culture moderne où un projet peut se faire insulter de ce genre de mot pour vraiment pas grand-chose. Oui, les noirs sont les héros, et alors ? Le film présente clairement l'idée que l'histoire se déroule dans les endroits les plus pauvres des U.S.A.. Et cela vous choque que cela soit dans des endroits où les afro-américains soient présents, alors que c'est la population la plus discriminée et la plus pauvre du pays ? Si c'est le cas, vous ne devez pas sortir beaucoup de chez-vous pour rester poli. Mais là, on va me dire que cela n'est pas le problème, mais qu'au contraire, le problème est que les noirs sont les gentils, tout beaux et parfaits, et que les blancs sont les vilains méchants. Donc le personnage de Dmitri, personnage noir et gangster, qui n'hésite pas à tuer sans vergogne, est tout gentil pour vous ? Le personnage du Dr Updale, personnage blanc, qui est clairement contre les idées politiques liées à cette purge et qui ira jusqu'à le faire savoir de vive voix, est une grande méchante ? Je trouve que l'on accuse clairement le film de maux complètement injustifiés. Moi, j'y ai vu un long-métrage vraiment divertissant et aux personnages bien écrits. Certes, James DeMonaco n'est plus qu'à l'écriture, mais Gerard McMurray fait également un très bon travail et propose une mise en scène assez soignée. Par exemple, j'ai particulièrement aimé toute la scène où Dmitri affronte des soldats dans un escalier. Une scène tout en plan-séquence pour suivre correctement l'action, et filmer en caméra épaule pour rendre compte de sa tension. Une des meilleures scènes de la saga ! Bref, si ce film n'ait pas exceptionnel, on a beaucoup trop craché sur lui pour pas grand-chose et je pense que le faire passer pour ce qu'il n'est pas été clairement la critique la plus basse à faire. Pour conclure, une suite pas indispensable, mais sympathique.
Clairement le moins bon des 4. Même si je trouve assez intéressant de savoir comment s'est déroulée la première purge de l'histoire, mais je la trouve décevante.. Les personnages sont moins attachants que dans les précédents opus et le dénouement est trop facile à mes yeux.. 3/5